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  Bible et Calendrier Maya 

Histoire, Bible et Avenir révélé...

 

 

Fin du monde en 2027 :

 

http://www.leseditionsdunet.com/histoire-et-actualites/404-fin-du-monde-en-2027-patrick-dolciani-9782312002576.html

 

Livre « Fin du monde en 2027 » (14 pages affichées) :

http://www.u-reed.com/lecteur.php?id=270&width=580&height=848&bg=FFFFFF

 

 

Vente de « Mystères Révélés » Éditions La Pensée Universelle (1989) de Patrick DOLCIANI :

http://www.priceminister.com/offer?action=desc&aid=549302215

 

 

Cycles calendrier Maya et Bible :

 

Les cycles du calendrier mésoaméricain sont formés par un ensemble de 5 "Soleils" de « 1040 ans » chacun, soit un ensemble cyclique de « 52 siècles ».
Le début du 5ème "Soleil" se célébra en 987 de notre ère (date connue de tous les historiens) ; 520 ans plus tard (1040 ans / 2), en 1507, les feux nouveaux furent célébrés par les Aztèques, juste au milieu du cycle de 1040 ans du 5ème "Soleil" (date également connue de tous les historiens). Nous avons ici la preuve irréfutable que les cycles du calendrier mésoaméricain comptaient bel et bien des années solaires réelles de 365 jours et non des cycles de 360 jours.
Or l'erreur des archéologues fut de compter des années de 360 jours (18 x 20 jours) et cela donna 1040 fois 360 jours (soit 374400 jours = 1025 années solaires), soit la détermination erronée de l'année 2012 pour dater la fin du 5ème "Soleil" (987 + 1025 ans = 2012). Or en fait le 5ème "Soleil" ne se terminera pas avant l’année 2027 (987 + 1040 ans = 2027). L’année mésoaméricaine comptait en réalité 365 jours, car il fallait lui ajouter 5 jours supplémentaires (lit annuel), comme dans l’ancien calendrier égyptien : 18 x 20 jours = 12 x 30 jours = 360 jours, auxquels il était toujours ajouté 5 jours pour obtenir une année solaire effective de 365 jours.

 

Preuves que l’année du calendrier mésoaméricain compte bel et bien 365 jours (et non 360 jours) :

Cycle de 8 années solaires du calendrier mésoaméricain :

8 x 365 jours = 2920 jours = 5 x 584 jours ou 5 révolutions synodiques de Vénus.

Cycle de 52 ans du calendrier mésoaméricain :

52 x 365 jours = 18980 jours = 73 x 260 jours (le cycle de 260 jours représente le tiers de 780 jours, révolution synodique de Mars).

Cycle de 20 ans du calendrier Maya :

20 x 365 jours = 7300 jours = 63 x 115,8763 jours ou 63 révolutions synodiques de Mercure. Observons ici que les cycles du calendrier Maya sont les mêmes que ceux du calendrier Aztèque.

 

Dates réelles de la naissance et de la mort de Jésus :

Nous savons que lorsque les Mages arrivèrent à Jérusalem, Jésus était déjà né depuis 2 ans et le roi Hérode I° le Grand (37 – 4 av. notre ère) était toujours vivant (voir Matthieu 2, versets 7 et 8 et Matthieu 2, verset 16). La famille alla se réfugier en Egypte sans doute pendant une année entière jusqu’en 4 av. notre ère, année de la mort du roi ; cela place la naissance de Jésus TROIS ANS avant la mort d’Hérode I° le Grand et c’est ici la certitude que Jésus est bien né en l’an 7 av. notre ère, année où le recensement, ordonné par Auguste en 8 av. notre ère, fut appliqué en Palestine (voir Luc 2, verset 1 à 3). Il fut par conséquent crucifié en l’an 27 de notre ère, à l’âge de 33 ans (il commença son ministère en 24 de notre ère, à 30 ans, lequel dura 3 ans). Il n’y a pas de contradiction entre les Evangiles de Luc et de Matthieu, mais Luc se rapporte à la naissance réelle de Jésus, tandis que Matthieu raconte ce qui s’est passé 2 années plus tard (le temps que les Mages venus de Perse accomplissent leur voyage, car l’étoile leur était apparue dans leur pays au moment même de la naissance de Jésus). Par ailleurs, la datation de Luc (ch. III, v. 1 – 6) est, soit l’année de la composition de l’Evangile en 29 de notre ère, soit une erreur de transcription des copistes qui auraient peut-être changé « la 5° année du règne de Tibère-César » en « 15° année ». Jean-Baptiste aurait dans ce cas commencé son ministère à l’âge de 25 ans, soit en 19 de notre ère (29 - 10 ans = 19).

Luc 2, verset 1 à 3 :

« 1 Or il arriva, en ces jours-là, qu’un décret fut rendu de la part de César Auguste, [portant] qu’il fût fait un recensement de toute la terre habitée. 2 (Le recensement lui-même se fit seulement lorsque Cyrénius eut le gouvernement de la Syrie.) 3 Et tous allaient pour être enregistrés, chacun en sa propre ville. »

Matthieu 2, versets 7 et 8 :

« 7 Alors Hérode, ayant appelé secrètement les mages, s’informa exactement auprès d’eux du temps de l’étoile qui apparaissait ; 8 et les ayant envoyés à Bethléem, il dit : Allez et enquérez-vous exactement touchant le petit enfant; et quand vous l’aurez trouvé, faites-le-moi savoir, en sorte que moi aussi j’aille lui rendre hommage. »

Matthieu 2, verset 16 :

« 16 Alors Hérode, voyant que les mages s’étaient joués de lui, fut fort en colère ; et il envoya, et fit tuer tous les enfants qui étaient dans Bethléem et dans tout son territoire, depuis l’âge de deux ans et au-dessous, selon le temps dont il s’était enquis exactement auprès des mages. »

Caractéristiques particulières de l’étoile « ovni » dans Matthieu 2, versets 9 et 10 :

« 9 Et eux, ayant ouï le roi, s’en allèrent ; et voici, l’étoile qu’ils avaient vue dans l’orient allait devant eux, jusqu’à ce qu’elle vint et se tint au-dessus du lieu où était le petit enfant. 10 Et quand ils virent l’étoile, ils se réjouirent d’une fort grande joie. »

 

PREUVE PAR NEUF :
Hérode le Grand (37-4 av. notre ère), construisit le Temple la 18° année de son règne, c’est-à-dire en 20 av. notre ère (donnée historique), et selon Jean ch. 2, v. 20, cela faisait à ce moment précis 46 années passées : c'était donc bien en 27 de notre ère que Jésus chassait les vendeurs du Temple, juste avant la fête de la Pâque Juive, avant sa crucifixion.
Or, 27 de notre ère moins 33 ans (durée de la vie de Jésus), donne bien l'an - 6 (en année astronomique), soit en l'an 7 av. notre ère, année confirmée de sa naissance (car il n'y a pas d'an 0 dans la chronologie de notre calendrier).
Enfin, il est connu que le même jour de la semaine revient à la position de la pleine lune une fois tous les 3 ans et les années possibles pour faire correspondre la pleine lune avec un jeudi sont l'an 27, ou 30, ou 33 de notre ère. Il a fêté la Pâque un jeudi de pleine lune, et il a bien été crucifié le lendemain, le vendredi 8 avril de l'an 27 de midi à 15 heures ! Il ne pouvait pas y avoir d'éclipse, car ce n'était pas la nouvelle lune : les ténèbres manifestées ce jour là ont une origine probablement climatique !

Observation : 37 lunaisons en trois ans font : 37 x 29,530588 jours = 1092 jours = 156 semaines (la pleine lune tombe le même jour de la semaine).

Jésus a été crucifié en 27 de notre ère (car il est né en 7 av. notre ère) ; notons que 2000 ans (ère zodiacale des Poissons) après l'an 27, nous serons en 2027 (début de l’ère zodiacale du Verseau).

 

Chronologie de l’histoire de l’humanité en adam :

L'apôtre Pierre donne la clé de la chronologie des ères zodiacales de l’histoire de l’humanité en Adam (2ème Pierre 3, 8) : « un jour est devant le Seigneur comme mille ans, et mille ans comme un jour ». Il y a en effet 7 jours dans la semaine et cela représente 7 fois 1000 ans ou 7000 ans dans l’histoire de l’humanité, depuis Adam créé à l’image des anges, jusqu’au jour du Jugement Dernier. Il y a par conséquent 2000 ans depuis Adam jusqu’à Abraham, 2000 ans depuis Abraham jusqu’à Jésus, puis l'histoire de l'église compte elle aussi 2000 ans (de l’an 27 à 2027), soit en tout 3 fois 2000 ans ou 6 fois 1000 ans pour compter les six premiers jours de la semaine jusqu’au retour de Jésus. Le 7ème jour correspond enfin avec le Millénium, jour du « repos ».

 

2 Pierre 3, 1-10 :

« 1 Je vous écris déjà, bien-aimés, cette seconde lettre ; et, dans l’une et dans l’autre, je réveille votre pure intelligence en rappelant [ces choses] à votre mémoire, 2 afin que vous vous souveniez des paroles qui ont été dites à l’avance par les saints prophètes, et du commandement du Seigneur et Sauveur par vos apôtres, 3 sachant tout d’abord ceci, qu’aux derniers jours des moqueurs viendront, marchant dans la moquerie selon leurs propres convoitises 4 et disant : Où est la promesse de sa venue ? Car, depuis que les pères se sont endormis, toutes choses demeurent au même état dès le commencement de la création. 5 Car ils ignorent volontairement ceci, que, par la parole de Dieu, des cieux subsistaient jadis, et une terre [tirée] des eaux et subsistant au milieu des eaux, 6 par lesquelles le monde d’alors fut détruit, étant submergé par de l’eau. 7 Mais les cieux et la terre de maintenant sont réservés par sa parole pour le feu, gardés pour le jour du jugement et de la destruction des hommes impies. 8 Mais n’ignorez pas cette chose, bien-aimés, c’est qu’un jour est devant le Seigneur comme mille ans, et mille ans comme un jour. 9 Le Seigneur ne tarde pas pour ce qui concerne la promesse, comme quelques-uns estiment qu’il y a du retardement ; mais il est patient envers vous, ne voulant pas qu’aucun périsse, mais que tous viennent à la repentance. 10 Or le jour du Seigneur viendra comme un voleur ; et, dans ce jour-là, les cieux passeront avec un bruit sifflant, et les éléments embrasés seront dissous, et la terre et les œuvres qui sont en elle seront brûlées entièrement. »

 

En grec le mot poisson se dit "ichthus". Les initiales du mot grec forment les premières lettres de l'expression "Jésus-Christ, Fils de Dieu, Sauveur".
Ainsi c'était le poisson qui symbolisait la foi chrétienne au premier siècle de notre ère.
Il y a aussi une autre raison, celle de la précession des équinoxes : le début de l'histoire de l'église correspond avec l'ère des Poissons, faisant suite à celle du Bélier. Le retour de Jésus inaugurera l'ère du Verseau.

Les trois premières ères durent 2000 ans chacune et correspondent à la précession des équinoxes dans le Taureau, le Bélier et les Poissons (sur un zodiaque à 13 signes, qui comprend le “ Sphinx ” en signe supplémentaire placé entre le Lion et la Vierge, soit : 13 fois 2000 ans = 26000 ans, année précessionnelle) ; la quatrième ère, celle du Verseau, commence avec le Millenium :

 

1) Ere du Taureau ou des fils d’Adam : de l’an 3974 à 1974 av. notre ère ;
2) Ere du Bélier ou des fils d’Abraham : de 1974 av. notre ère à 27 de notre ère ;
3) Ere des Poissons ou Ere chrétienne : de 27 de notre ère à 2027 ;
4) Demi ère du Verseau ou Millenium : de 2027 à 3027. C’est au milieu de l’Ere du Verseau que se termine le grand cycle de 7000 ans de l’Histoire de l’Humanité. Il y aura 6000 ans
passés dans les cycles des ères en 2027.

 

Caractéristiques des cycles de l’histoire du monde en Adam :

Schéma des cycles de l’histoire du monde en Adam a les particularités suivantes :

1)      Il s’accorde avec perfection avec les divisions cycliques de l’année solaire sans aucun jour laissé en « vide » excepté les cinq jours additionnels de l’année qui fait 360 jours ou 12 fois 30 jours : ces cinq jours sont appelés « lit annuel » en Méso-Amérique ;

2)      Il s’accorde avec la Chronologie Biblique ;

3)      Il s’accorde avec les périodes sothiaques du calendrier égyptien (de 1460 ans) ;

4)      Il s’accorde enfin avec le calendrier mésoaméricain.

Il n’y a pas la moindre contradiction en ce qui concerne le schéma cyclique de l’histoire du monde et la chronologie biblique et, par conséquent, le Millenium commencera comme indiqué par le schéma lui-même, en 2027, également date du retour de Jésus !

Ce schéma était connu des anges dès le début et le livre apocryphe d’Hénoch (chapitre 92, versets1 à 18), lequel se trouvait dans le canon byzantin des Saintes Ecritures, en faisait déjà mention (9 périodes qui correspondent avec des cycles de 780 ans). C’est donc un schéma universel !

Nous pouvons faire le calcul suivant :

4 x 780 ans font 3120 ans ;

3120 ans = 3 x 1040 ans.

Les six dernières divisions de l’étoile à sept branches (cycles de 52 jours ou 52 x 20 ans) font :

6 x 1040 ans = 6240 ans.

Il y a en 6240 ans 8 fois 780 ans :

6240 ans / 780 = 8 (cycles de 780 ans).

Il manque alors le premier cycle de 780 ans qui se place avant la date inaugurale du calendrier méso-américain, soit 900 ans après la création d’Adam, en 4074 :

4074 – 900 ans = 3174 av. notre ère ;

3174 + 780 ans = 3954 av. notre ère, 1° cycle de 780 ans.

Cela correspond avec 120 ans après la création d’Adam :

4074 av. notre ère – 3954 av. notre ère = 120 ans.

Dans ces conditions, nous observons que le premier cycle de 780 ans dont parlait Enoch commençait lorsqu’Adam avait 120 ans, probablement 20 ans après la sortie du Jardin d’ Eden ! C’est pourquoi ces cycles de 780 ans peuvent être appelés « ères de civilisation » de l’Histoire du Monde, lesquelles commencent avec la première civilisation, celle des fils d’Adam !

D’autres indications sont données dans le livre d’Hénoch qui prouvent que les anges ont « initié » les premiers hommes, fils d’Adam. L’histoire d’Hénoch est confirmée par le livre de la Genèse (ch. 6, versets 1 à 4).

Les clés chronologiques :

1)  Création d’Adam : 0 (4074 av. notre ère) ;

2)  Déluge : 1656 ans après (2478 av. notre ère) ;

3)  Naissance de Térakh, père d’Abraham : 222 ans après (2196 av. notre ère) ;

4)  Naissance d’Abraham : 130 ans après (2026 av. notre ère) ;

5)  Abraham en Canaan : 75 ans après (1991 av. notre ère) ;

6)  Circoncision d’Abraham : 24 ans après (1967 av. notre ère) ;

7)  Exode sous Moïse : 430 ans après (1537 av. notre ère) ;

8)  Construction du Temple de Jérusalem sous Salomon : 520 ans après (1017 av. notre ère) ;

9)  Schisme Israël-Juda : 37 ans après (980 av. notre ère) ;

10)  1° Départ en Captivité à Babylone (Daniel I, 1-2) : 373 ans après (6O7 av. notre ère) ;

11)  1° Retour d’Exil : 70 ans après (537 av. notre ère) ;

12)  Départ chronologique des 69 semaines d’années de Daniel IX (Application de l’Edit d’Artaxerxés selon Esdras VII) : 80 ans après (457 av. notre ère) ;

13)  Crucifixion, mort et résurrection de Jésus : 483 ans après (27 de notre ère).

*       Total des durées : 4100 ans.

La preuve de l’authenticité de cette chronologie est une « preuve par neuf » :

Elle fait apparaître un schéma cyclique parfaitement en accord avec les divisions cycliques de l’année solaire pour un jour = 20 ans.

C’est une « preuve par neuf », car ces correspondances ne sont pas l’effet d’un trucage.

Il s’est en effet glissé une erreur de 40 ans dans l’interprétation chronologique classique de l’Ancien Testament, car il y a en réalité 520 ans depuis l’Exode d’Israël sous Moïse jusqu’aux fondations du Temple de Jérusalem, la quatrième année du règne du roi Salomon.

A l’origine de cette erreur il y a, au premier livre des Rois, ch. VI, v. 1, une indication chronologique, que nous avions « textuellement » prise en compte, mentionnant : « 480 ans après la sortie des Israélites du pays d’Egypte ». Il ne s’agissait pas en réalité d’une référence à l’Exode, comme nous l’avions cru, mais du temps compté depuis la « Sortie du Sinaï », sans doute considéré comme un prolongement du territoire égyptien, c’est-à-dire au moment du passage du Jourdain – et non pas de la mer Rouge – pour entrer dans la terre promise, définitivement hors d’Egypte.

Il apparaît que la chronologie du livre des Juges, trop souvent négligée, donne en réalité 390 ans depuis la première oppression d’Israël par Cusan-Risathaïm, roi de Mésopotamie (Juges ch. III, v. 8), jusqu’à celle des Philistins (Juges ch. XIII, v. 1). Nous sommes alors au début du règne de Saül, en 1100 avant notre ère. De ce fait, la chronologie des Juges nous permet de dater en 1490 avant notre ère (390 ans avant 1100) le début de la première oppression d’Israël, par le roi de Mésopotamie, juste 7 ans après l’entrée des Israélites en Palestine, laquelle se fit en 1497, c’est-à-dire 480 ans avant la fondation du Temple de Jérusalem, qui eut lieu en 1017 av. notre ère. Par ailleurs, nous observons que le livre de Josué, ch. XV, v. 15-17, et des Juges, ch. I, v. 11-13, que le premier libérateur, Othniel, était effectivement contemporain de Josué et Caleb.

Il faut donc compter, après l’Exode, 40 ans de marche dans le désert du Sinaï sous la conduite de Moïse, puis 397 ans pour le temps des Juges (après la mort de Moïse), jusqu’au début du règne de Saül, premier roi d’Israël, et, enfin, 83 ans jusqu’à la quatrième année du règne du roi Salomon, soit 520 ans au total au lieu de « 480 ans ». Nous obtenons, après cette étude, bel et bien une différence de 40 ans, origine de notre erreur.

Le schéma des cycles de l’Histoire du Monde révèle, ce qui nous avait échappé jusqu’ici, à savoir : l’emplacement exact de l’Apocalypse, de 2020 à 2027 de notre ère.

Car nous observons dès lors qu’il y a en réalité 1993 ans, au lieu de « 1953 ans » depuis l’alliance de la Circoncision faite avec Abraham en 1967 av. notre ère (c’est-à-dire 430 ans avant l’Exode, durée indiquée dans Galates III, v. 17, ou 470 ans avant l’entrée d’Israël en Palestine), jusqu’à la Crucifixion de Jésus en 27 de notre ère, sachant qu’il est né en l’an 7 av. notre ère. Soit 1960 ans (ou 7 fois 280 ans, les sept âges de la « postérité d’Abraham »), jusqu’à la naissance de Jésus, auxquels il faut ajouter les 33 années de sa vie.

De même, il y a aussi une durée de 1993 ans depuis la Résurrection de Jésus, soit 1960 ans (ou 7 fois 280 ans, les sept âges de l’Histoire de l’Eglise), auxquels il faut ajouter un temps supplémentaire de 33 ans (répétition des cycles ou « effet miroir »), jusqu’au début de l’Apocalypse.

Ces observations faites, il faut ensuite ajouter les sept années de l’Apocalypse elle-même, dont nous connaissons la durée exacte grâce à la prophétie des « 70 semaines d’années » du prophète Daniel (ch. IX, v. 24-27), pour rattraper ce qui reste des « 40 ans » (7 ans ajoutés à 33 ans font bien 40 ans). Cela donne enfin 2000 ans car l’Apocalypse commence à la fin du cycle de 1993 ans. Nous obtenons deux millénaires depuis la Mort et la Résurrection de Jésus jusqu’à son prochain Retour, de l’an 27 de notre ère jusqu’en 2027 (et non pas depuis sa naissance).

Le schéma général des cycles, définitivement achevé, compte 71 siècles depuis la Création d’Adam en 4074 av. notre ère, jusqu’à la fin du Millénium en 3027, alors que d’autres ont cru devoir en trouver soixante-dix (7000 ans).

Cependant, il apparaît que l‘ensemble des cycles de l’histoire schématique du Monde compte 72 siècles depuis le début de la Création en 4174 av. notre ère, laquelle a été probablement décidée et mise en œuvre après un cataclysme d’ordre planétaire (et non cosmique), provoqué probablement par la chute d’un ou de plusieurs astéroïdes. Nous obtenons un siècle de plus car il faut compter 100 ans depuis le milieu du premier jour (apparition de la lumière), jusqu’au milieu du sixième jour (création d’Adam), chaque « jour » de la Création ayant une durée « schématiquement » définie de 20 ans.

Milieu du « premier jour » = 20 ans - 10 ans ; « quatre jours » effectifs = 4 x 20 ans ou 80 ans ; milieu du « sixième jour » = 20 ans - 10 ans. Total : 10 ans + 80 ans + 10 ans = 100 ans.

Nous pouvons néanmoins obtenir un ensemble de 70 siècles. Pour cela, il faut compter 2000 ans depuis la sortie d’Adam « schématiquement » indiquée du Jardin d’Eden en 3974 av. notre ère, lorsqu’il avait 100 ans (nous savons qu’il vécut 930 ans), jusqu’au début du « compte à rebours » de sept années avant la destruction, faite par les anges, de Sodome et Gomorrhe (destruction par le « feu du ciel » après sept ans d’attente par rapport à la position d’origine du nouveau cycle, ce qui peut être interprété comme une préfiguration de l’Apocalypse). Il faut ensuite ajouter les 2000 ans qui suivent le début de ce premier « compte à rebours » jusqu’à la Crucifixion de Jésus, soit 4000 ans accomplis. Pour tenir compte du temps complet de l’Histoire de l’Eglise (1960 ans + 33 ans + 7 ans), il faut ajouter 2000 ans depuis la Résurrection de Jésus jusqu’à son Retour attendu pour l’an 2027, soit 6000 ans accomplis. Enfin, pour terminer, nous devons ajouter les 1000 ans du Millénium, dont la durée est nettement indiquée dans l’Apocalypse de Saint-Jean (ch. XX, v. 1-3 et 7-10), pour obtenir très exactement une durée globale de 7000 ans (70 siècles), depuis l’entrée dans le Monde du péché en Adam jusqu’à la libération finale du Diable suivie du Jugement dernier. Cette durée s’accorde avec les ères précessionnelles : ère du Taureau (2000 ans) ; ère du Bélier (2000 ans) ; ère des Poissons (2000 ans) et Millénium (1000 ans dans la première moitié de l’ère du Verseau), soit 7000 ans en tout ou 3,5 ères précessionnelles (3,5 x 2000 ans = 7000 ans).

Pour ce qui concerne l’ensemble des cycles de 1040 ans (périodes méso-américaines de quatre fois 260 ans (roues de katuns), ils existent effectivement dans cette structure et ils se confondent avec ceux du calendrier méso-américain lui-même. De ce fait, le schéma général des cycles de l’Histoire du Monde s’en trouve simplifié.

Patrick DOLCIANI

 

 

 

 

 

Les grandes énigmes résolues

 

De Patrick DOLCIANI

 

 

 

Introduction :

 

Ce livre est consacré à l’étude des cycles de l’histoire, de la Bible et de la prophétie. Le calendrier de la Mésoa-mérique (Amérique Centrale) est fondé à la fois sur l’astronomie (et non pas l’astrologie) et sur les cycles historiques, car il y a une relation entre les révolutions synodiques des planètes dans le ciel et les évolutions cycliques de l’histoire. Chaque fois qu’une pyramide a été construite, cela s’est fait en prenant en compte les révolutions synodiques des planètes dans le ciel (Mercure, Vénus, Mars et la Lune, notre satellite), donc également en relation avec les cycles historiques eux-mêmes. C’est le cas pour les Grandes pyramides en Egypte, mais aussi pour toutes celles de la Mésoamérique (Mayas et Aztèques en particulier).

 

Il se trouve que la chronologie biblique s’accorde parfaitement avec les cycles historiques, lesquels reproduisent les divisions cycliques de l’année solaire et se présentent sous la forme d’un calendrier.

 

L’histoire prise en compte est celle de l’humanité « en Adam », c'est-à-dire depuis environ 6000 ans. Cela ne signifie pas que « l’homme » n’existait pas auparavant. Mais il y a eu une intervention des « Elohim » sur terre après un cataclysme (chutes d’astéroïdes) : c’est ainsi qu’il faut expliquer la création du livre de la Genèse. Adam fut le « nouvel homme », celui qui fut capable d’engendrer des fils dont la nature leur permettait d’entrer en relation avec Dieu. La civilisation commença à Sumer.

 

Enoch fut le premier prophète, et fut enlevé par les anges (Elohim) pour être « initié ». Daniel fut le premier prophète du « temps des nations », qui se caractérisa par la révélation des « visions prophétiques » (Lion de Babylone, Ours des Perses, Léopard Grec et Monstre Romain) ; après lui Jean reçu la suite et la conclusion des visions de Daniel : l’Apocalypse. Le mot « Apocalypse » signifie « révélation », mais il est aussi précisé juste après « des choses qui doivent arriver » dans l’avenir.

 

La chronologie de la vie de Jésus est-elle enfin résolue :


Nous savons que lorsque les Mages arrivèrent à Jérusalem, Jésus était déjà né depuis 2 ans et le roi Hérode I° le Grand (37 – 4 av. notre ère) était toujours vivant. La famille alla se réfugier en Egypte sans doute pendant une année entière jusqu’en 4 av. notre ère, année de la mort du roi ; cela place la naissance de Jésus TROIS ANS avant la mort d’Hérode I° le Grand et c’est ici la certitude que Jésus est bien né en l’an 7 av. notre ère, année où le recensement, ordonné par Auguste en 8 av. notre ère, fut appliqué en Palestine. Il fut par conséquent crucifié en l’an 27 de notre ère, à l’âge de 33 ans (il commença son ministère en 24 de notre ère, à 30 ans, lequel dura 3 ans). Il n’y a pas de contradiction entre les Evangiles de Luc et de Matthieu, mais Luc se rapporte à la naissance réelle de Jésus, tandis que Matthieu raconte ce qui s’est passé 2 années plus tard (le temps que les Mages venus de Perse accomplissent leur voyage, car l’étoile leur était apparue dans leur pays au moment même de la naissance de Jésus). Par ailleurs, la datation de Luc (ch. III, v. 1 – 6) est, soit l’année de la composition de l’Evangile en 29 de notre ère, soit une erreur de transcription des copistes qui auraient peut-être changé « la 5° année du règne de Tibère-César » en « 15° année ». Jean-Baptiste aurait dans ce cas commencé son ministère à l’âge de 25 ans, soit en 19 de notre ère (29 - 10 ans = 19).


PREUVE PAR NEUF :
Hérode le Grand (37-4 av. notre ère), construisit le Temple la 18° année de son règne, en 20 av. notre ère (donnée historique), et selon Jean ch. 2, v. 20, cela faisait à ce moment précis 46 années passées : c'était donc bien en 27 de notre ère, l'année où Jésus chassait les vendeurs du Temple, juste avant la Pâque et avant sa crucifixion.
Or, 27 de notre ère moins 33 ans (vie de Jésus), donne l'an - 6 (en année astronomique), soit en l'an 7 av. notre ère, année de sa naissance (car il n'y a pas d'an 0 dans la chronologie du calendrier).
Enfin, il est connu que le même jour de la semaine revient à la position de la pleine lune une fois tous les 3 ans et les années possibles pour faire correspondre la pleine lune avec un jeudi sont l'an 27, ou 30, ou 33 de notre ère. Il a fêté la Pâque un jeudi de pleine lune, et il a bien été crucifié le lendemain, le vendredi 8 avril de l'an 27 de midi à 15 heures ! Il ne pouvait pas y avoir d'éclipse, car ce n'était pas la nouvelle lune : les ténèbres manifestées ce jour là ont une origine probablement climatique.

 

Patrick DOLCIANI

 

 

Chapitre premier :

La création

 

 

 « Le dernier secret de Nostradamus » de Guy Tarade et Alexandra SCHREYER, aux Editions RAMUEL en 1998, pages 139 et 140 :

(…) « Un groupe de savants américains et argentins, dirigés par le docteur William A. Cassidy, de l’université de Columbia (New York), ont découvert dans la région de Campo del Cielo, dans le nord de l’Argentine, une succession de neuf cratères disposés en ligne sur une distance de 16 kilomètres.

Après avoir effectué trois expéditions dans les provinces semi-arides de Santiago del Estero et du Chaco, presque à mi-chemin entre Tucuman et Corrientes, et mis au jour, à proximité des cratères, un champ de petites météorites qui s’étend sur 72 kilomètres, ces savants affirment qu’un satellite naturel de la Terre, après s’être désagrégé dans l’atmosphère, a creusé, il y a quelque 6000 ans, ces entonnoirs géants. En effet, des fouilles leur ont permis de recueillir plus de cinq cents fragments d’un poids variant de 500 grammes à 35 kilos. La teneur en carbone 14 du charbon trouvé dans le fond d’un cratère a permis d’évaluer à 5800 ans l’âge maximal des neuf dépressions. »

 

La Création du premier chapitre de la Genèse :

(Traduction de Patrick DOLCIANI, faite en 1978)

 

Premier chapitre du livre de la Genèse traduit de l’hébreu en 1978 par Patrick DOLCIANI

(Pages 114 à 116 de “Mystères révélés” publié en 1989, Editions « La Pensée Universelle ») :

Au commencement de leur œuvre, les fils de Dieu créèrent les espaces aériens et le continent. Or, le continent était dans un état chaotique (tohu-bohu) tandis que l’obscurité recouvrait la face de l’abîme. Alors les Fils de Dieu (Elohim) propagèrent un vent violent qui se glissa sur la face des eaux.

Et les Fils de Dieu dirent : Qu’il y ait de la lumière ! Et la lumière fut. Les Fils de Dieu virent que la lumière était bonne et ils firent une distinction entre la lumière et l’obscurité. Les Fils de Dieu nommèrent la lumière en l’appelant “jour” et ils nommèrent l’obscurité en l’appelant “nuit”.

Il y eut un soir, puis un matin, soit un jour.

Et les Fils de Dieu dirent : Qu’il y ait un ciel au milieu des eaux et qu’une différence s’établisse entre elles de part et d’autre ! Les Fils de Dieu firent apparaître le ciel et ils établirent une distinction entre les eaux du dessous du ciel et celles du dessus du ciel. Et ce fut ainsi. Les Fils de Dieu nommèrent le ciel en l’appelant “espaces aériens”.

Il y eut un soir, puis un matin : deuxième jour.

Et les Fils de Dieu dirent : Que les eaux du dessous des espaces aériens se retirent vers un même endroit et que la terre ferme apparaisse ! Et ce fut ainsi. Les Fils de Dieu nommèrent la terre ferme en l’appelant “pays” et ils nommèrent le rassemblement des eaux en l’appelant “mers”. Les Fils de Dieu virent que c’était bien.

Et les Fils de Dieu dirent : Que le pays produise de la verdure, des plantes avec de la semence et des arbres fruitiers sur le continent donnant des fruits selon leur espèce qui contiennent en eux de la semence ! Et ce fut ainsi. Le pays produisit de la verdure, des plantes portant de la semence selon leur espèce et des arbres donnant des fruits qui contiennent en eux de la semence. Et les Fils de Dieu virent que c’était bien.

Il y eut un soir, puis un matin : troisième jour.

Et les Fils de Dieu dirent : Qu’il y ait des corps de lumière dans le ciel des espaces aériens pour établir une différence entre le jour et la nuit et qu’ils servent de signes pour marquer les temps, les jours et les années! Qu’ils servent aussi de luminaires dans le ciel des espaces aériens pour éclairer le pays ! Et ce fut ainsi. Les Fils de Dieu firent apparaître les deux grands corps de lumière, le plus grand pour régir le jour et le plus petit pour régir la nuit avec les étoiles ; les Fils de Dieu les donnèrent au ciel des espaces aériens pour éclairer le pays, pour régir le jour et la nuit et pour établir une différence entre la lumière et l’obscurité. Et les Fils de Dieu virent que c’était bien.

Il y eut un soir, puis un matin : quatrième jour.

Et les Fils de Dieu dirent : Que les eaux grouillent d’une multitude d’êtres vivants ayant un souffle de vie et que des oiseaux s’envolent au-dessus du continent vers la face du ciel des espaces aériens ! Les Fils de Dieu créèrent les grands reptiles aquatiques et tous les êtres vivants ayant une respiration aérienne qui se meuvent et qui grouillent dans les eaux selon leur espèce, et tous les oiseaux ailés selon leur espèce. Et les Fils de Dieu virent que c’était bien. Ils les bénirent en leur disant : Soyez féconds et devenez nombreux, remplissez les eaux dans les mers et que les oiseaux se multiplient à l’intérieur du pays !

Et il y eut un soir, puis un matin : cinquième jour.

Et les Fils de Dieu dirent : Que le pays produise des êtres vivants ayant un souffle de vie selon leur espèce : des animaux domestiques, des reptiles et des bêtes sauvages du continent selon leur espèce ! Et ce fut ainsi. Les Fils de Dieu firent apparaître les bêtes sauvages du continent selon leur espèce, les animaux domestiques selon leur espèce et tous les reptiles qui se meuvent sur la terre selon leur espèce. Et les Fils de Dieu virent que c’était bien.

Puis, les Fils de Dieu dirent : Faisons un Terrien de notre forme selon notre ressemblance ! Et qu’ils asservissent les poissons de la mer, les oiseaux des espaces aériens, les animaux domestiques, tout le pays et tous les reptiles qui se meuvent sur le continent ! Les Fils de Dieu créèrent le Terrien (Adam, tiré de la « terre » : « adama ») selon leur forme, c’est-à-dire en le créant selon leur propre aspect physique. Et ils les créèrent mâle et femelle. Alors les Fils de Dieu les bénirent et leur dirent : Soyez féconds et devenez nombreux, remplissez le pays et faites-en la conquête ! Asservissez les poissons de la mer, les oiseaux des espaces aériens et tous les reptiles qui se meuvent sur le continent ! Et les Fils de Dieu leur dirent encore : Voici, nous vous donnons toutes les plantes qui donnent de la semence sur toute la surface du pays et tous les arbres qui portent en eux leurs fruits ayant de la semence : ils vous serviront de nourriture. Toute verdure servira de nourriture à tous les êtres vivants du continent, à tous les oiseaux des espaces aériens et à tous les reptiles du pays qui abrite en lui des êtres vivants ayant un souffle de vie. Et ce fut ainsi. Les Fils de Dieu considérèrent tout ce qu’ils avaient fait et ils trouvèrent que c’était parfaitement bien !

Il y eut un soir, puis un matin, soit le sixième jour.

C’est ainsi que furent achevés les espaces aériens, le pays et toute leur armée d’êtres vivants. Les Fils de Dieu avaient terminé le septième jour ce qu’ils avaient accompli en six jours et ils se reposèrent le septième jour de toute l’œuvre qui était terminée. Les Fils de Dieu bénirent le septième jour et le placèrent à part car, en ce jour-là, ils se reposèrent de toute l’œuvre qu’ils avaient créée en la faisant.

Commentaire :

Nous pouvons observer que la Création se fait sur le globe terrestre et non ailleurs ! Ce n’est pas une création de l’univers et il n’est pas question du “Big Bang” des astrophysiciens ! Le globe terrestre se trouve dans un état chaotique, recouvert par les eaux et plongé dans l’obscurité. Il y a eu certainement un cataclysme, probablement provoqué par la chute d’un ou de plusieurs astéroïdes.

Alors, les Fils de Dieu interviennent et propagent “un vent violent” qui se glisse sur la face des eaux.

Premier jour :

Alors apparaissent la lumière ou le “jour”, puis les ténèbres ou la “nuit”.

Cela se passe probablement “vu de l’espace” à partir d’un point qui pourrait correspondre avec la satellisation d’un vaisseau spatial. Il faut comprendre que, vue du ciel, l’obscurité se dissipe autour du globe terrestre de telle sorte que la lumière du jour finit par apparaître autour de lui.

Deuxième jour :

La chaleur du soleil provoque bientôt l’évaporation des eaux et les nuages se forment. L’atmosphère transparente apparaît progressivement et sépare les eaux de la mer visibles maintenant au-dessous des nuages. Il s’agit des “espaces aériens” où pourront par la suite se mouvoir les oiseaux !

Troisième jour :

Les eaux des océans recouvrent les terres, mais bientôt elles se retirent et laissent apparaître les continents. La terre ferme apparaît et laisse bientôt apparaître le “pays”.

Les plantes recouvrent alors les terres.

Quatrième jour :

L’atmosphère s’éclaircit toujours davantage et laisse apparaître le soleil comme astre du jour et la lune comme astre de la nuit, avec les étoiles qui deviennent également visibles dans la voûte céleste.

Cinquième jour :

Les Fils de Dieu repeuplent la mer et le ciel d’animaux : des reptiles aquatiques dans les eaux et les oiseaux dans les espaces aériens.

Sixième jour :

Ils repeuplent ensuite d’animaux la terre ferme : reptiles terrestres, animaux sauvages et domestiques.

Le sixième jour les Fils de Dieu créèrent aussi l’Homme, Adam, appelé “Terrien”. Ils le créèrent à leur propre ressemblance, c’est-à-dire avec un aspect physique semblable à celui des anges.

Ainsi les animaux sont divisés en cinq catégories :

Cinquième jour :

1)   Reptiles aquatiques ;

2)   Oiseaux.

Sixième jour :

3)   Reptiles terrestres ;

4)   Animaux sauvages ;

5)   Animaux domestiques.

L’Homme est placé à part, créé après les animaux terrestres, mais aussi le sixième jour.

L’auteur a traduit le premier chapitre de la Genèse en 1978, deux ans avant sa découverte des cycles historiques faite en septembre 1980. La découverte des cycles historiques a fait apparaître que la Création s’est faite en un siècle, c’est-à-dire en cinq fois vingt ans depuis l’apparition de la lumière le premier jour jusqu’à la création de l’Homme le sixième jour.

Premier jour : Au milieu ou “au midi” du premier jour : Apparition de la lumière redevenue visible sur le globe terrestre.

Deuxième jour : Après 20 ans : Evaporation des eaux grâce à la chaleur du jour.

Troisième jour : Après 40 ans : Apparition des terres qui émergent des eaux, comme après un déluge. Les plantes repoussent à nouveau.

Quatrième jour : Après 60 ans : Les astres apparaissent à nouveau dans la voûte céleste : soleil, lune et étoiles.

Cinquième jour : Après 80 ans : Création des reptiles aquatiques et des oiseaux.

Sixième jour : Après 100 ans : Création des animaux terrestres : reptiles terrestres, animaux sauvages et domestiques. Création de l’homme.

Il y a donc eu une intervention des Fils de Dieu sur le globe terrestre après un cataclysme : ce sont les anges de la Bible, lesquels sont soumis à l’Eternel des Armées, que nous pouvons aussi appeler l’Etre suprême des Fils de Dieu.

La création du livre de la Genèse se place de 4174 à 4074 avant notre ère, date de la création d’Adam.

Il y a donc eu un cataclysme sur le globe terrestre vers 4200 avant notre ère, telle est l’explication qui permet de comprendre la Création du livre de la Genèse.

Les animaux et l’homme existaient sur la terre bien avant cette catastrophe. Mais l’être humain qui vivait avant cela n’était pas le même : c’était l’homme d’avant Adam. En Adam, l’homme est devenu un être spirituel, plus évolué,  capable de connaître Dieu et de s’entretenir avec lui. Il a été créé par Dieu, à la ressemblance des anges.

Depuis, la civilisation s’est développée en Mésopotamie, en Egypte et en Inde. La civilisation de Sumer fut la première civilisation de l’homme qui descendait d’Adam.

Une nouvelle histoire commençait alors sur le globe terrestre, c’est l’Histoire du Monde en Adam, laquelle révèle l’existence des cycles historiques.

 

Chapitre Deuxième :

L’Atlantide

 

Extraits tirés du texte de « L’Atlantide, civilisation disparue »

De Philippe AZIZ, Editions FAMOT, Genève 1975.

« Cette immense puissance, écrit Platon, prêtant sa plume aux prêtres égyptiens dans le Timée, marchait insolemment sur l’Europe et l’Asie (Mineure) tout entières, venant d’un autre monde situé dans l’océan Atlantique. On pouvait alors traverser cet océan ; car il s’y trouvait une île devant ce détroit que vous appelez, dites-vous, les Colonnes d’Hercule. Cette île était plus grande que la Libye et l’Asie (Mineure) réunies. De cette île on pouvait alors passer dans les autres îles et de celles-ci gagner tout le continent qui s’étend en face d’elles et borde cette véritable mer. Car tout ce qui est en deçà du détroit dont nous parlons ressemble à un port dont l’entrée est étroite, tandis que ce qui est au-delà forme une véritable mer et que la terre qui l’entoure a vraiment tous les titres pour être appelée continent. »

 

Note d’après Garcia BELTRAN (livre de Robert CHARROUX « Histoire inconnue des hommes depuis cent mille ans », pages 91 et 92) :

« Les Pyramides avaient été créées, outre leur destination transcendantale, dans le but pratique de faire pleuvoir. Elles étincelaient à des centaines de kilomètres, on les appelait « Les Lumières », car elles étaient recouvertes de plaques de métal blanc très lisse, qui eut dû être de l’argent, mais que l’on avait remplacé par un alliage, l’argent étant trop rare en Egypte. On retrouve ce métal actuellement, mélangé à un revêtement calcaire, sur les murs des mosquées et notamment sur ceux de la mosquée du Caire, qui ont un reflet brillant et argenté. Les archéologues égyptiens savent que ce revêtement provient du pillage des plaques de métal des Pyramides. »

 

Sumer (encyclopédie Larousse) :

 « Région de la basse Mésopotamie, près du golfe Persique.

 Les Sumériens apparaissent vers le milieu du IVème millénaire avant J.-C. dans la basse Mésopotamie, qui leur doit sans doute le travail du cuivre, les maisons de brique, les sceaux, l’écriture. »

 

Le déluge babylonien (encyclopédie Larousse) :

 

« C’est une légende insérée dans la XIème tablette du mythe de Gilgamesh. Un conseil des dieux ayant décidé de détruire le monde par le déluge, le dieu Ea donna des instructions à Outanapishtim (Noé) pour qu’il pût se sauver. Outanapishtim construisit un vaisseau et y embarqua tous les siens, toute semence de vie, tous les animaux sauvages et domestiques, tout son or et son argent. Les flots sont déchaînés ; le feu du ciel brûle ce qui n’est pas noyé. »

 

Relation de Platon (v. 427-347 av. notre ère) sur l’Atlantide :

« Ecoute, Socrate (470-399 av. notre ère), dit Critias, (oncle de Platon, 450-404 av. notre ère), une histoire admirable mais très vraie que raconte Solon (l’un des 7 sages de la Grèce, v. 640-v. 558 av. notre ère)… d’après une confidence des prêtres de Saïs (ancienne ville de Basse-Egypte, sur le delta du Nil, dont les princes fondèrent la XXVIème dynastie, de 664 à 525 av. notre ère) :

« Avant le Déluge, le royaume de l’Atlantide était une île plus étendue que la Libye et l’Asie Mineure réunies (terres de la Méditerranée orientale au Sud-est de la Grèce). Un terrible tremblement de terre joint à un déluge procuré par une pluie continuelle et torrentielle d’un jour et d’une nuit, entrouvrit la terre… et l’Atlantide disparut sous la mer. Tel est, Socrate, le résumé de ce que mon bisaïeul disait avoir appris de Solon.

 « Socrate répondit : Il est important qu’on regarde ce que tu viens de dire, non comme une fable inventée par nous, mais comme une histoire vraie. »

 

Définition de l’Atlantide par l’encyclopédie Larousse :

 « … à une époque reculée, les Grecs eurent à repousser un peuple, les Atlantes, sortis d’une grande île de l’Atlantique, en face des colonnes d’Hercule (détroit de Gibraltar). Cette île fut engloutie dans un cataclysme en « une nuit et un jour », et, toujours selon Platon, ce fait se situerait 9000 ans avant l’époque où vécut Solon, soit environ 9600 av. notre ère. »

 

Conclusion de Patrick DOLCIANI (10 mai 2009) :

Le Déluge de Noé eut lieu en 2418 av. notre ère, ce qui donne 1860 ans passés à la mort de Solon (2418 – 558).

9000 ans doit être compris comme « 1800 ans », soit 9000 ans / 5.

En effet, 2418 av. notre ère – 1800 ans = 618 av. notre ère, date qui correspond avec l’âge de Solon lorsqu’il avait 22 ans (640 av. notre ère – 22 ans).

Année solaire de 365 jours / 5 = 73 jours.

Les « 9000 ans » ne sont pas des années solaires, mais en réalité 9000 périodes de 73 jours, car la période de 73 jours avait la particularité de s’accorder à la fois avec les révolutions synodiques de Vénus et l’année solaire :

2920 jours = 40 x 73 jours = 8 x 365 jours = 5 x 584 jours (ou 5 révolutions synodiques de Vénus).

Dans ces conditions, la destruction de l’Atlantide correspond avec celle de la civilisation antédiluvienne dont parle le livre d’Enoch, laquelle se fit par le Déluge de Noé décrit dans le livre de la Genèse. L’île dont il est question dans le récit de Platon était aussi grande que les rives de la Méditerranée orientale et se situait au-delà des colonnes d’Hercule ; or, à l’époque, il fallait contourner l’Afrique pour pouvoir accéder à l’Océan Indien par mer (comme le firent les Phéniciens) et rejoindre le Golfe Persique jusqu’à Sumer, « l’île » comprenant l’Arabie, la Mésopotamie et la Perse ; en y ajoutant la région de l’Indus, cette contrée était en effet plus étendue que les terres qui se trouvaient autour de la Méditerranée orientale.

Il se trouve que les premières civilisations des descendant d’Adam avant le Déluge se trouvèrent en Mésopotamie, en Egypte et dans la vallée de l’Indus (Mohenjo-Daro). La notion « d’île » correspondrait de nos jours à « foyer de civilisation », ici celle de l’époque antédiluvienne. Ce n’est donc pas d’un continent englouti sous la mer qu’il s’agissait, mais d’une région du globe terrestre submergée par les eaux des pluies et la montée des eaux de la mer ; les eaux de la mer se retirèrent dans l’année qui suivit, car Noé resta dans l’Arche avec sa famille un peu plus d’un an. La mer était montée jusqu’au sommet du mont Ararat où échoua l’Arche, le septième mois (Genèse ch. 8, verset

Une étude approfondie du texte de l’Atlantide de Platon fait ressortir que ce n’est pas à Mohenjo-Daro dans l’Indus que se trouvait l’Atlantide à proprement parler, mais à Sumer en Mésopotamie. Les dimensions du territoire correspondent avec la vallée de Mésopotamie, de même que les relations de l’Atlantide avec les pays qui l’environnaient, en fait, les mêmes que ceux qui entouraient Sumer.

Sumer a été le centre de la première civilisation de l’humanité, laquelle fut initiée par les anges déchus selon le livre d’Enoch. A l’Est, il y avait Mohenjo-Daro dans la vallée de l’Indus, à l’Ouest l’Egypte, au Nord-Ouest en remontant les fleuves (Tigre et Euphrate) il y avait l’Asie Mineure, laquelle donnait sur la Grèce et l’Italie.

Le retournement du globe terrestre expliquerait le Déluge à l’époque de Noé :  l’actuel pôle Sud se trouvait au Nord, et en se déplaçant il fit face au soleil, ce qui provoqua la fonte des glaces et la montée des eaux de la mer, en particulier de l’Océan Indien en direction des rives du continent Indien et du Moyen-Orient.

Le globe terrestre se stabilisa après le renversement des pôles et l’Atlantide disparue ressurgit des eaux, mais les rives de Sumer devinrent impraticables, à cause de l’envasement du golfe Persique.

 

 

Chapitre Troisième :

Les Grandes Pyramides

 

 

Reconstitution du Cadran Solaire des Grandes Pyramides :

Les Grandes Pyramides et le Grand Sphinx formaient un immense Cadran Solaire que nous pouvons reconstituer. En effet, le Grand Sphinx occupe la place d’une pyramide qui aurait pu être exactement la même que celle de Khephren.

Reconstitution du plan du Cadran Solaire formé par les Grandes Pyramides :

 

 

Nous avons représenté des « obélisques » marqués par des points disposés en arc de cercle. Ils devaient probablement exister à l’époque de l’achèvement des constructions. Leur rôle servait à « marquer les heures » de la façon suivante : lorsque leur ombre correspondait avec leur alignement sur le centre de la pyramide de Chéops, elle indiquait l’heure représentée par la position de l’obélisque en 1° (1° heure), 2° (2° heure) ou 3° place (3° heure), etc. Autrement dit, à six heures du matin (1° heure), le premier pilier avait son ombre en alignement avec la plateforme de la Grande Pyramide ; à sept heures du matin (2° heure), c’était le deuxième obélisque qui alignait son ombre avec le centre de la pyramide de Chéops, et chaque pilier donnait ainsi successivement son heure. Le Grand Sphinx fait office de quatrième pilier et la pyramide de Khephren de dixième ; le pilier du centre annonçait « midi » et le dernier (en 13° position) annonçait « 18 heures ». La disparition des « obélisques » pourrait être due au Déluge car les Grandes Pyramides furent submergées à cette époque et elles restèrent seules en place.

Nous observons qu’il n’y a pas eu de construction d’une seconde pyramide semblable à celle de Mykérinos (représentée en clair sur la gauche en haut du schéma). Nous pensons que ce n’était pas seulement pour « économiser » le travail, mais que le « jeu des ombres et lumières » était pris en compte : le matin, il ne devait pas y avoir d’ombre dans le Centre de l’amphithéâtre (à l’intérieur de l’arc de cercle), mais uniquement la clarté bienveillante du lever du jour et c’est pourquoi le Grand Sphinx « couché » remplace une pyramide ; mais le soir, au contraire, les ombres projetées par les pyramides placées à l’Ouest projetaient leur ombre sur le Centre de l’amphithéâtre pour annoncer la nuit.

Voilà pourquoi la disposition des Grandes Pyramides apparaît de nos jours comme une seule « moitié » de cadran solaire. Mais la présence du Grand Sphinx indique que ce cadran solaire était complété par des obélisques disposés en « arc de cercle » pour marquer les heures ; dans ces conditions, le Cadran Solaire formé par les Grandes Pyramides était complet.

Cependant, il ne faut pas croire que les Grandes Pyramides ne remplissaient que cette fonction. Toutes leurs structures indiquent qu’elles avaient été conçues et édifiées pour nous laisser plusieurs messages : cycles synodiques des planètes, cycles historiques, et représentation des planètes elles-mêmes : Mercure par Mykérinos, Vénus par Khephren et de la Terre elle-même par Chéops. Elles pouvaient aussi représenter Sirius avec son système de « triple étoile », d’où seraient originaires les « initiateurs des hommes » d’avant le Déluge, lesquels étaient des anges (voir livre d’Hénoch).

Caractéristiques des Grandes Pyramides :

 

Pyramide de Chéops :

o        Côté : 231,42 mètres (348 coudées).

o        Hauteur : 146,30 mètres (220 coudées).

o        Hauteur du triangle de façade : 184,00 mètres (276,69 coudées).

o        Diagonale de la base : 327,27 mètres (492,14 coudées).

o        Volume : 2 611 709 m3.

 

Pyramide de Khephren :

o        Côté : 215,46 mètres (324 coudées).

o        Hauteur : 138,32 mètres (208 coudées).

o        Hauteur du triangle de façade : 172,63 mètres (259,60 coudées).

o        Diagonale de la base : 304,70 mètres (458,20 coudées).

o        Volume : 2 140 410 m3.

 

Pyramide de Mykérinos :

o        Côté : 107,73 mètres (162 coudées).

o        Hauteur : 66,50 mètres (100 coudées).

o        Hauteur du triangle de façade : 84,64 mètres (127,28 coudées).

o        Diagonale de la base : 152,35 mètres (229,10 coudées).

o        Volume : 257 260 m3.

Côté du « carré de rayonnement » (servant à la disposition des pyramides) : 678,30 mètres (1020 coudées ou 170 cannes).

Valeur retrouvée du « carré de rayonnement » des Grandes Pyramides :

Le côté du « carré de rayonnement » détermine la valeur proportionnelle du rapprochement ou de l’éloignement  des Grandes Pyramides entre elles. Nous avons calculé qu’il ne correspond pas par exemple avec « 160 cannes », mais avec « 170 cannes ».

Etant donné que « le carré de l’hypoténuse est égal à la somme des carrés des deux autres côtés », nous déterminons que « 170 cannes » de côté du « carré de rayonnement » des Grandes Pyramides font une « hypoténuse » ou « diagonale » de :

170 cannes x 170 cannes x 2 = « racine carrée » de 57 800 = 240,4163 cannes.

Diagonale du « carré de rayonnement » moins la diagonale de la pyramide de Khephren :

240,4163 cannes – 76,3675 cannes = 164,0488 cannes.

Valeur de la moitié restante :

164,0488 cannes / 2 = 82,0244 cannes.

Après avoir retranché la moitié de la diagonale de la pyramide de Chéops (82,0243 cannes / 2 = 41,01215 cannes), il reste :

82,0244 cannes – 41,01215 cannes = 41,01225 cannes.

Valeur de 41,01225 cannes par rapport à la diagonale de la pyramide de Chéops :

41,01225 cannes / 82,0243 cannes = 50 %.

La différence entre 41,01225 cannes et 41,01215 cannes (demie diagonale de Chéops) est de 0,0001 canne ou de 0,0006 coudée ou de 0,015 pouce, soit de 0,000399 mètre. Il s’agit d’une valeur insignifiante. Par conséquent, la pyramide de Khephren est éloignée de la première pyramide (sur leur axe des diagonales) par une valeur équivalente à celle de la moitié de la diagonale de Chéops.

Cela signifie que la pyramide de Khephren est « éloignée » de chaque « côté » du « carré de rayonnement » de la valeur équivalente à celle du côté de la pyramide de Chéops, soit de 58 cannes. C’est en effet le « secret » de la valeur de 170 cannes du côté du « carré de rayonnement » qui permet de réaliser cette « coïncidence », car :

54 cannes (côté de Khephren) + 116 cannes (côté de Chéops x 2) = 170 cannes.

Cela permet de créer un « échiquier » reproduisant alternativement les deux surfaces des bases des pyramides comme des « projections » faites pour créer une harmonie de l’ensemble.

 

Loi d’harmonie de la distance de séparation entre deux pyramides :

La pyramide la plus petite doit être éloignée en « alignement angulaire » par une distance équivalente à la moitié de la diagonale de la plus grande. 

Voici la représentation des Grandes Pyramides qui représentent le Soleil (Chéops), la Terre (Khephren) et la Lune (Mykérinos). En effet, les alignements des « ombres » des « obélisques » placés sur les degrés évoquent le rayonnement solaire de Chéops :

 

 

En observant le schéma des Grandes Pyramides dans le cadre du « carré de rayonnement », la pyramide de Chéops représente le soleil, celle de Khephren la Terre et celle de Mykérinos la Lune. L’ensemble forme un « cadran solaire » et il présente un « arc de cercle » équivalent au quart du périmètre d’un cercle, lequel part de l’angle Nord-ouest et arrive à l’angle Sud-est du « carré de rayonnement ». Cet arc de cercle se divise naturellement en six parties qui représentent les six heures allant de « midi » à « 18 h 00 ». La première ligne horaire à tracer est celle de « 15 h 00 » : elle part de l’angle Sud-ouest du « carré de rayonnement » et se prolonge jusqu’au cœur de la pyramide de Chéops (le « Soleil ») ; les deux autres parties de l’arc de cercle se divisent naturellement chacune en deux parties égales pour former un ensemble de « sept rayons » en prenant en compte les côtés Est et Nord du « carré de rayonnement ». Ce sont ces « rayons » qui présentent la pyramide de Chéops comme « un soleil ». Dans le cadran solaire, ils sont matérialisés par des obélisques, aujourd’hui disparus, qui projettent leur ombre vers le cœur de la Grande Pyramide ou sa « plateforme » chaque fois que l’heure solaire les « désigne », l’un après l’autre : celui qui se trouve à l’angle Sud-est du « carré de rayonnement » projette son ombre vers le cœur de la pyramide à « midi », le suivant fait la même chose à « 13 heures », et ainsi de suite jusqu’à « 18 heures ». C’est ainsi que l’heure solaire pouvait être lue du sommet de la pyramide : l’ombre de l’obélisque qui se projetait tout droit en direction de la plateforme était l’heure du moment.

La pyramide de Chéops est placée au centre de l’angle Nord-est du « carré de rayonnement », comme pour signifier qu’elle est placée en hauteur, au-dessus de lui ; la pyramide de Khephren se situe juste au milieu du « carré de rayonnement » et celle de Mykérinos se positionne par dessous son rebord Sud-ouest. L’interprétation qu’il faut en donner est la suivante : l’arc de cercle est le quart d’un cercle complet qui entoure la pyramide de Chéops, c’est-à-dire qu’il représente l’orbite de la Terre (représentée ici par Khephren) autour du Soleil ; le pourtour du « carré de rayonnement » représente l’orbite de la Lune (représentée ici par Mykérinos) autour de la Terre (Khephren placée au cœur du même carré). Par ailleurs, si nous traçons une ligne parallèle à la diagonale Sud-est – Nord-ouest du « carré de rayonnement », à partir de l’angle Nord-est de la pyramide de Mykérinos, nous observons qu’elle arrive très exactement au milieu du côté Sud de la pyramide de Khephren qui représente la Terre : cela confirme l’alignement de Mykérinos sur Khephren ou de la Lune sur la Terre.

Nous avons par conséquent une représentation particulièrement importante : le Soleil est placé au centre du cercle, c’est-à-dire de l’orbite de la Terre qui gravite autour de lui et la Terre est placée au centre du « carré de rayonnement », c’est-à-dire de l’orbite de la Lune qui gravite autour d’elle. La nuit, les étoiles du ciel brillaient au-dessus des Grandes Pyramides et du cadran solaire qu’elles formaient et elles pouvaient être observées à partir de la plateforme placée au sommet de la Grande Pyramide ; de ce fait, celles-ci formaient un « manteau » étoilé placé au-dessus du plateau de Gizeh. Cela ne va pas sans rappeler l’apparition de la Vierge de la Guadalupe au Mexique ou la « femme enveloppée du soleil » du livre de l’Apocalypse, chapitre 12. 

Mesures reconstituées du Grand Sphinx :

a)    Longueur totale du corps (avec queue) : 71,82 mètres (2700 pouces = 108 coudées = 18 cannes) ;

b)   Longueur du corps (sans la queue) : 57,19 mètres (2150 pouces = 86 coudées) ;

c)    Hauteur : 19,95 mètres (750 pouces = 30 coudées = 5 cannes) ;

d)   Hauteur de la face : 4,9875 mètres (187,50 pouces = 7,50 coudées) ;

e)    Largeur de la figure : 4,1496mètres (156 pouces = 13 pieds = 6,24 coudées) ;

f)     Bouche : 2,3275 mètres (87,50 pouces = 3,50 coudées) ;

g)    Oreille : 1,7955 mètres (67,50 pouces = 2,70 coudées).

Comment la plateforme de la Grande Pyramide servait d’observatoire astronomique :

Nous pouvons penser qu’à l’origine, la pyramide de Chéops possédait un escalier taillé à partir des dalles de revêtement de façon à pouvoir accéder facilement à son sommet. En effet, la disposition des Grandes Pyramides correspond avec la moitié d’un cadran solaire.

 

Disposition du Cadran Solaire des Grandes Pyramides :

 

 

Il est inscrit dans un carré qui mesure 170 cannes de côté (678,30 mètres) et que nous pouvons appeler « carré de rayonnement ». Au centre de ce carré se trouve la pyramide de Khephren qui mesure 54 cannes de côté (215,46 mètres) et ses angles correspondent très exactement avec ceux du carré de rayonnement ; ses côtés sont placés à une distance de 58 cannes (231,42 mètres qui correspondent avec le côté de la pyramide de Chéops) des côtés du carré de rayonnement. Le centre de la pyramide de Chéops est positionné très exactement sur l’angle Nord-est du carré de rayonnement ; de ce fait elle forme un carré de 58 cannes de côté (231,42 mètres) dont les côtés Sud et Est sont traversés à leur milieu par les côtés Est et Nord du carré de rayonnement ; son côté Sud est placé à 141 cannes (562,59 mètres) de l’angle Sud-est du carré de rayonnement. Les angles des deux grandes pyramides (Khephren et Chéops) s’alignent très exactement avec l’angle Nord-est – Sud-ouest du carré de rayonnement, lequel est comme « posé sur une calle » à la base de son angle Sud-ouest, c’est-à-dire sur un « petit carré » qui est formé par la pyramide de Mykérinos, lequel mesure 27 cannes de côté (107,73 mètres) ; le côté Nord de la « petite pyramide » est placé par-dessous le côté Sud du carré de rayonnement en prolongement du côté Ouest du carré de rayonnement, lequel est prolongé de 27 cannes pour faire une longueur totale de 197 cannes (786,03 mètres). Par contre, le côté Nord de la pyramide de Mykérinos réduit le côté Sud du carré de rayonnement de 27 cannes et il reste 143 cannes (570,57 mètres) jusqu’à son angle Sud-est. La petite pyramide forme une « allée » large de 27 cannes placée au-dessous du côté sud du carré de rayonnement. La pyramide de Chéops, quant à elle, elle a formé également une « allée » large de 29 cannes (115,71 mètres) sur le bord extérieur du côté Est de carré de rayonnement, lequel correspond à la moitié de son côté (58 cannes / 2) ; les deux « allées » se croisent dans l’angle Sud-est du même carré de rayonnement : cela forme une rectangle dont les côtés Est et Ouest mesurent 27 cannes et les côtés Sud et Nord mesurent 29 cannes. Enfin, la pyramide de Chéops forme une « deuxième allée » au-dessus du côté Nord du carré de rayonnement de 29 cannes de large cette allée « réduit » son côté Nord de 29 cannes et elle mesure 141 cannes de longueur (562,59 mètres), comme celle du côté Est.

Au sommet de la Pyramide de Chéops se trouve la plateforme placée très exactement au-dessus de l’angle Nord-est du carré de rayonnement. Le Sud de la plateforme est aligné avec le côté Est du carré de rayonnement, lequel donne la direction du Sud à l’observateur placé au sommet de la Grande Pyramide. La direction de l’Est est indiquée par le prolongement à l’Est de l’alignement de la plateforme avec le long du côté Nord du carré de rayonnement ; par ailleurs, comme les côtés de la plateforme mesurent une canne et demie (5,985 mètres), nous pouvons imaginer que les côtés du carré de rayonnement forment une « petite allée » d’une canne et demie de largeur. Enfin, la direction Sud-ouest est indiquée par le sommet de la pyramide de Khephren, lequel correspond avec l’alignement des angles Nord-est et Sud-ouest du carré de rayonnement.

Nous avons par conséquent trois directions indiquées par la disposition des Grandes Pyramides vues à partir de la plateforme placée au sommet de la pyramide de Chéops : le Sud, le Sud-ouest et l’Ouest. En traçant un « arc de cercle » à l’intérieur du carré de rayonnement à partir du centre situé à son angle Nord-est, là où se trouve la plateforme de la Grande Pyramide, depuis l’angle Sud-est jusqu’à l’angle Nord-ouest, nous obtenons un quart de cercle sur lequel peuvent être positionnés les « degrés » (sans doute à l’origine des obélisques) qui indiquent les « heures » : il faut diviser « l’arc de cercle » en six parties égales. Ensuite, chacune de ses parties doit être divisée en trois parties égales, lesquelles indiquent des sous-divisions de vingt minutes ; la division de l’heure en trois fois vingt minutes semble indiquée par la position de la pyramide de Mykérinos dont l’alignement des angles Sud-ouest et Nord-est correspond avec une sous division horaire de 20 minutes, située entre 14 h 40 et 15 heures.

Nous avons ainsi obtenu la moitié d’un immense cadran solaire, formé par la disposition des Grandes Pyramides sur le plateau de Gizeh, lequel indique les heures de l’après-midi. Pour connaître l’heure du matin, il suffit à l’observateur de se placer au Sud de la plateforme sur le sommet de la pyramide de Chéops, en prolongement du côté Est du carré de rayonnement ; en levant la main gauche, il doit désigner l’emplacement du soleil et lever ensuite la main droite à une distance équivalente vers la droite, où se trouvent les pyramides de Khephren et de Mykérinos : il obtient l’heure du matin avec sa main droite en faisant le chemin inverse de la course du soleil l’après midi, c’est-à-dire en lisant le « cadran solaire » formé par les pyramides « à l’envers ». Ce geste se confond avec une « salutation au soleil », qui en réalité n’en était pas une.

Dans les représentations peintes du « Soleil », la Grande Pyramide faisait office elle-même de « soleil » à cause du rayonnement des différentes directions observées à partir du sommet de la plateforme et représentées par des « flèches ». La nuit, vues à partir de la plateforme, les pyramides de Khephren et de Mykérinos éclairées par le rayonnement lunaire, servaient de repères pour observer les positions des étoiles, de la lune et des planètes du ciel ; ainsi la plateforme servait d’observatoire astronomique, lequel était placé à 220 coudées de hauteur (146,30 mètres).

Point d’observation des Grandes Pyramides :

En observant les Grandes Pyramides à partir d’un plan ou d’une maquette, il apparaît immédiatement que les pyramides de Chéops et de Khephren sont alignées par la ligne de leurs angles du Nord-est au Sud-ouest. En prolongeant cette ligne, elle arrive jusqu’à l’angle Nord-ouest de la pyramide de Mykérinos. A partir de ce point, nous nous trouvons à l’angle de la base Ouest d’un immense triangle isocèle (en ligne imaginaire) qui prolonge le côté Nord de la petite pyramide en ligne droite vers l’Est. Le centre de ce triangle isocèle se trouve dans le prolongement du sommet de la pyramide de Chéops en ligne droite vers le Sud : cette ligne est celle de la « hauteur » du même triangle (qui part à la fois du sommet de la Grande Pyramide et du centre de son côté sud en ligne droite vers le Sud). De ce point (croisement des lignes de la base et de la « hauteur » du triangle isocèle), nous observons que nous nous trouvons dans le prolongement de la ligne des angles Nord-est de la pyramide de Khephren. Ce point, placé au milieu de la ligne de la base du triangle isocèle, celui à partir duquel on détermine la « hauteur » de ce même triangle, est en même temps déterminé par les trois pyramides à la fois, de telle sorte qu’il a été « voulu » par l’architecte qui a déterminé les positions (des unes par rapport aux autres) des Grandes Pyramides du plateau de Gizeh.

 

Point d'observation des Grandes Pyramides :

 

 

De ce point extraordinaire, nous pouvons faire les observations suivantes :

a)    Lorsque le soleil se lève le matin à l’Est, du côté de Grand Sphinx, les faces Est des pyramides  de Chéops, Khephren et de Mykérinos apparaissent éclairées. La pyramide de Chéops laisse également voir son ombre placée derrière sa face Ouest.

b)   Lorsqu’il est « midi », les faces Sud des pyramides de Chéops et de Khephren sont éclairées et la pyramide de Mykérinos laisse voir son ombre placée derrière sa face Nord.

c)    Le soir venu, seule la face Ouest de la pyramide de Chéops apparaît éclairée à l’observateur, mais les ombres des trois pyramides sont visibles derrière leurs faces Est. Cette fois, les ombres des pyramides s’imposent à l’observateur et elles annoncent l’arrivée de la nuit.

Il est donc possible, en observant les Grandes Pyramides à partir de ce point unique, de connaître l’heure du jour sans avoir besoin d’une horloge. En réalité, c’est parce que les pyramides du plateau de Gizeh forment un « cadran solaire » qui a été voulu par les constructeurs. L’heure du jour en Egypte peut être « décodée » vue du ciel, comme de la terre. Nous savons que c’est l’heure de GREENWICH, heure « G.M.T. », qui détermine le fuseau horaire de la planète. Mais il faudrait plutôt que ce soit « l’heure des Grandes Pyramides » qui soit prise en compte pour cette fonction. Retenons toutefois que lorsqu’il est « midi » à GREENWICH, il est « 14 h 00 » en Egypte.

L’Image de la Bête et le Grand Sphinx :

L’Image de la Bête est la statue de l’Antéchrist qui sera dressée dans le but d’établir le « culte mondial de l’Antéchrist ». Elle mesurera « 60 coudées » de hauteur suivant les indications données dans le livre du prophète Daniel. Tout semble indiquer qu’elle sera dressée sur le sommet de la Grande Pyramide. En effet, le plateau de Gizeh est placé au « Centre du Monde » d’un point de vue géographique suivant les directions des angles de la pyramide elle-même : elles se dirigent du Canada vers l’Australie et de l’Amérique du sud vers la Sibérie en se croisant au centre en Egypte. Nous pouvons supposer qu’elle regardera vers l’Est, en direction du soleil levant, suivant la route suivie autrefois par Alexandre le Grand pour réaliser ses conquêtes.

 

"Image de la Bête" placée au sommet de la Grande Pyramide...

 

 

La hauteur de la statue est de 10 cannes (60 coudées) et la hauteur de la pyramide de Chéops est de 36,6666 cannes (220 coudées). La statue mesure par conséquent 27,2727 % de la hauteur de la Grande Pyramide.

1 coudée pyramidale : 0,665 mètre ;

1 canne pyramidale (6 coudées) : 3,99 mètres.

 

Hauteur de la statue :

60 coudées = 10 cannes = 39,90 mètres.

Hauteur de la pyramide de Chéops :

220 coudées = 36,6666 cannes = 146,30 mètres.

Hauteur de la Grande Pyramide surmontée de la statue :

280 coudées = 46,6666 cannes = 186,20 mètres.

Côté de la plateforme au sommet de la Grande Pyramide :

9 coudées = 1,5 canne = 5,985 mètres.

Proportion du côté de la plateforme par rapport à la hauteur de la statue :

10 cannes / 1,5 canne  = 6,666 = 2/3 de 10 cannes.

Il faut donc multiplier les 2/3 de la hauteur de la statue par la valeur du côté de la plateforme pour obtenir « 10 cannes ».

Soit : 6,666 x 1,5 canne (côté de la plateforme) = 10 cannes.

Nous observons ici que la valeur de « 6,666 » rappelle étrangement le nombre de la Bête. En effet, le nombre « 666 » forme les 2/3 de 1000 (666,6666 / 1000 = 2/3). Notons que le nombre « 666 » fait deux tiers de « 1000 » en « nombre entier ».

Le piédestal :

1,5 canne (côté de la plateforme) / 10 cannes (hauteur de la statue) = 15 %.

Le côté de la plateforme est juste suffisant pour servir de piédestal à la statue. Celui-ci peut être « encastré » sur le sommet de la pyramide avec des prises sur les angles de la pyramide. Il suffit de construire une statue légère et très solide, faisant « corps » avec son piédestal, lequel serait lié par des prolongements métalliques avec les angles de la pyramide jusqu’à sa base.

Hauteur de la pyramide de Mykérinos :

100 coudées = 16,6666 cannes = 66,50 mètres.

Hauteur de la statue par rapport à la pyramide de Mykérinos :

10 cannes / 16,6666 cannes = 60 %.

Nous observons que la hauteur de la statue fait 60 % de celle de la pyramide de Mykérinos, offrant une harmonie notable à l’ensemble des proportions.

L’Antéchrist sorti du Sphinx :

Le Sphinx représente l’être humain, car l’homme est une créature spirituelle qui vit dans un corps « animal » ; il y a en lui deux natures : une charnelle et une spirituelle. Cette réalité engendre en lui une contradiction, car sa nature charnelle, animale, s’oppose toujours à ses dispositions spirituelles : il veut faire le bien, mais c’est le mal qui reste attaché à lui. Qui le délivrera de ce corps de péché ? Seul le Christ peut le faire, comme l’enseignait l’apôtre Paul (Romains 7, 14-25).

Il y a donc une dualité en l’être humain, laquelle n’est généralement jamais avouée, mais qui se trouve soulignée ici avec évidence, par la représentation du Grand Sphinx : un homme dans un corps de lion, c’est-à-dire de « bête sauvage ».

Nous remarquons que la statue de l’image de la Bête mesure 60 coudées de haut, tandis que le Grand Sphinx a une hauteur de 30 coudées seulement, soit la moitié. Mais il est allongé et la statue de l’Antéchrist représente effectivement la hauteur normale d’un homme placé à côté d’un lion.

En effet, si la hauteur du Sphinx n’est que de 30 coudées, il se trouve que sa longueur totale est de 108 coudées (corps de 85,80 coudées – soit 57,057 mètres – et queue de 22,20 coudées – soit 14,763 mètres). Son corps de 85,80 coudées dépasse en longueur la hauteur de la statue de 25,80 coudées, soit de 43 % (25,80 coudées / 60). Nous observons dans ces conditions que les proportions des deux corps sont bien celles d’un homme placé debout à côté d’un lion allongé.

Or, ce qui est « sorti du Sphinx », c’est l’Antéchrist, c’est-à-dire une créature spirituelle non régénérée, ayant l’apparence d’un homme, mais restée en réalité « animale ». C’est pourquoi sa représentation est appelée dans les textes prophétiques de la Bible : « image de la Bête ».

Ressuscité par la puissance du Diable, il sera présenté comme « ayant vaincu la mort ». C’est pourquoi, sa statue, placée très probablement au sommet de la Grande Pyramide, le représentera, « sorti de la tombe », en position de « domination du Monde ». Mais en réalité, à quoi peut servir un corps ressuscité s’il doit finir précipité dans les flammes éternelles de l’enfer ? C’est ce qui arrivera car son règne ne doit durer que trois ans et demi : le retour de Jésus y mettra un terme définitif !

Au sujet de la maquette des Grandes Pyramides :

Fabrication de la maquette :

Pour fabriquer la maquette, prenez des feuilles de dessin ordinaires ; les pyramides se dessinent d’abord en dressant quatre carrés « étoilés » :

Si vous le souhaitez, vous pouvez faire une maquette deux fois plus grande en doublant les mesures indiquées.

1° Carré « étoilé » : la pyramide de Chéops.

Il doit faire 5,8 cm de côté et être accompagné à chacun de ses côtés d’un triangle de 4,6 cm de hauteur ; cela forme une étoile avec le carré au centre.

2° Carré « étoilé » : la pyramide de Khephren.

Il doit faire 5,4 cm de côté et être accompagné à chacun de ses côtés d’un triangle de 4,3 cm de hauteur ; cela forme une seconde étoile, plus petite, avec le carré au centre.

3° Carré « étoilé » : la pyramide de Mykérinos.

Il doit faire 2,7 cm de côté et être accompagné à chacun de ses côtés d’un triangle de 2,1 cm de hauteur ; cela forme une troisième étoile, deux fois plus petite que la précédente, avec son carré au centre.

Avant de procéder au découpage des carrés en « étoiles », prévoir un rebord sur un côté de chaque triangle qui doit servir à pouvoir les coller entre eux en les pliant pour former la pyramide.

Découper un carré de 30 cm de côté dans une feuille cartonnée. Placer les pyramides et les coller sur la feuille de la façon suivante :

Le haut de la feuille cartonnée est appelé « rebord nord » et son côté gauche « rebord ouest ». Placer le côté Ouest de la pyramide de Chéops à 15,10 cm du rebord « ouest » et son côté Nord à 3 cm du rebord « nord » (les faces des pyramides doivent correspondre avec les alignements « nord-sud » et « est-ouest ») ; placer le côté Ouest de la pyramide de Khephren à 6,8 cm du rebord « ouest » et son côté Nord à 11,60 cm du rebord « nord », de façon à ce qu’elle soit alignée par ses angles avec celle de Chéops ; placer enfin le côté Ouest de la pyramide de Mykérinos à 1 cm du rebord « ouest » et son côté Nord à 22,8 cm du rebord « nord », de façon à ce que la pointe de son angle « Nord-Ouest » touche à la ligne imaginaire d’alignement des angles des deux autres pyramides. Placer enfin le « Sphinx » à 16 cm du « rebord nord » de la feuille et à 28 cm du « rebord ouest » ; il regarde vers l’Est se lever le soleil et la pyramide de Khephren, placée derrière lui, s’aligne avec lui à partir de la deuxième moitié sud de sa face Est. Il peut être fabriqué avec un petit objet quelconque qui ne doit pas dépasser en longueur les deux tiers d’un côté de la pyramide de Mykérinos. Enfin, coller la feuille cartonnée sur une boîte ayant des mesures correspondantes et pouvant servir de socle.

Vous avez enfin obtenu une maquette des Grandes Pyramides du plateau de Gizeh. Toutes les proportions des pyramides sont respectées, de même que leur emplacement sur le site. Observez-les et remarquez la distance « idéale » à laquelle vous vous placez pour les regarder en conservant une bonne vue d’ensemble. Il se trouve qu’elle correspond à peu près à 75 cm par rapport au centre de la maquette. Tenant compte que la pyramide de Chéops mesure 146,30 mètres de haut et sa maquette fait 3,70 cm de haut, nous faisons le calcul suivant :

75 cm / 3,70 = 20,27.

Cela signifie que nous regardons la maquette à une distance qui correspond à 20,27 fois la hauteur de la pyramide de Chéops représentée sur la maquette. Calcul suivant :

146,30 mètres x 20,27 = 2965,50 mètres.

C’est ici que se trouve tout l’intérêt d’avoir fabriqué une maquette des Grandes Pyramides. Il semble à peu près certain que les pyramides du plateau de Gizeh ont été construites dans le but d’être vues du ciel, à une hauteur d’environ 3000 mètres (3 kilomètres). C’est normal, lorsque nous savons que ceux qui en ont conçu le plan venaient du ciel ! Elles leur servaient de « cadran solaire » pour donner l’heure terrienne, simplement en observant la position des ombres des Grandes Pyramides !

 

L’énigme du Grand Sphinx :

Valeur du pouce pyramidal : 0,0266 mètre ;

Valeur de la coudée pyramidale : 0,665 mètre (25 pouces) ;

Valeur de la canne pyramidale : 3,99 mètres (6 coudées).

(Voir tableau des mesures des pyramides dans l’article N° 28.)

Grand Sphinx :

Longueur (en comptant la queue) : 18 cannes ;

Hauteur :

30 coudées.

De même que les hauteurs des Grandes Pyramides mesurées en coudées représentent des cycles en nombre d’années (voir article N° 29), la hauteur du Grand Sphinx représente un cycle de 30 ans. Le cycle de 30 ans marque la « majorité spirituelle » de l’homme et s’accorde avec les cycles de lunaisons :

30 ans = 371 lunaisons.

La longueur des « côtés » des Grandes Pyramides marquent les rapports de proportions qui existent entre elles et nous observons que la longueur du Grand Sphinx est de 18 cannes, soit les deux tiers de celle de la pyramide de Mykérinos, qui fait 27 cannes (27 / 3 = 9 ; 9 x 2 = 18). Il s’agit d’un rapport de proportion qui permet d’établir une « harmonie » dans l’ensemble architectural des Grandes Pyramides et du Sphinx du plateau de Gizeh, mais il s’agit aussi d’une « clé » : celle des « deux tiers ». En effet, 2/3 du cycle de 30 ans du Grand Sphinx font 20 ans :

30 ans / 3 = 10 ans ;

10 ans x 2 = 20 ans.

Il y a 94,5 révolutions synodiques de Mercure en 30 ans, et il y en a 63 en 20 ans. Tandis que la pyramide de Mykérinos définit les périodes de siècles (car elle fait 100 coudées de hauteur), le Grand Sphinx, grâce à la clé des 2/3, indique qu’il définit des cycles de 20 ans (en correspondance avec les 63 cycles de Mercure).

Tourné vers l’Est, il « compte » les 365 levers de soleil qui se produisent dans l’année. Mais les cycles de « 20 ans » sont aussi les « jours de l’histoire du monde » et nous observons que « 365 x 20 ans » font 7300 ans ou 73 siècles. Enfin, il se trouve que 7300 ans font très exactement cinq périodes sothiaques du calendrier égyptien :

7300 ans = 5 x 1460 ans = 365 x 20 ans.

Ainsi, tourné vers le levant, le Grand Sphinx « compte les jours » de l’année solaire, mais aussi ceux de l’histoire du monde, si bien que la résolution de son « énigme » est la suivante :

« Les Grandes Pyramides et le Sphinx du plateau de Gizeh forment le calendrier astronomique de l’histoire du monde ». 

La plate-forme de la Grande Pyramide :

Elle mesure 225 pouces ou 9 coudées (1,5 canne) de côté, soit 5,985 mètres. Sa surface est de 81 coudées carrées ou de 35,820 m2.

Les mesures des bases des Grandes Pyramides établissent des relations d’ordre proportionnel entre elles et il en est de même ici avec le côté de la plate-forme qui fait :

Ø      1/36° de celui de Khephren (324 coudées / 9) ;

Ø      1/18° de celui de Mykérinos (162 coudées / 9) ;

Ø      1/12° de la longueur du Grand Sphinx (108 coudées / 9).

Dans ces conditions, le côté de 9 coudées de la plate-forme de la pyramide de Chéops, non divisible un nombre entier de fois par son propre côté (348 coudées / 9 = 38,666), devient néanmoins le « dénominateur commun » des mesures des côtés des deux autres pyramides et de la longueur du Grand Sphinx. Il divise en effet le côté de Khephren en 36 parties égales (36 x 9), le côté de Mykérinos en 18 parties égales (18 x 9) et la longueur totale du Grand Sphinx (avec la queue) en 12 parties égales (12 x 9). Cela nous fait remarquer qu’il y a un rapport établi avec le calendrier égyptien, puisqu’il se divise en 360 jours, auxquels il faut ajouter les « 5 jours épagomènes ». Or, 360 jours / 36 = 10 jours, 360 jours / 18 = 20 jours et 360 jours / 12 = 30 jours. Notons que les cycles de 20 jours sont les « mois » du calendrier méso-américain et que ceux de 30 jours sont ceux du calendrier égyptien. Quant au cycle de 10 jours, il est commun aux deux calendriers : 30 jours / 10 = 3 (trois dizaines) ; 20 jours / 10 = 2 (deux dizaines).

Le secret des dimensions des Grandes Pyramides :

Valeur du pouce pyramidal : 0,0266 mètre ;

Valeur de la coudée pyramidale : 0,665 mètre (25 pouces) ;

Valeur de la canne pyramidale : 3,99 mètres (6 coudées).

(Voir tableau des mesures des pyramides dans l’article N° 28.)

Pyramide de Mykérinos :

Base : 27 cannes x 4 = 108 cannes ;

Hauteur :

100 coudées.

Pyramide de Khephren :

Base : 54 cannes x 4 = 216 cannes ;

Hauteur :

208 coudées.

Pyramide de Chéops :

Base : 58 cannes x 4 = 232 cannes ;

Hauteur :

220 coudées.

a)         Les « hauteurs » des Grandes Pyramides mesurées en « coudées » définissent les cycles astronomiques.

La pyramide de Mykérinos a une hauteur de 100 coudées et représente les siècles dans l’histoire du monde. En 20 ans, il y a 63 révolutions synodiques de Mercure (20 x 365 jours 7300 jours = 63 x 115,8763 jours). Cinq fois 20 ans font un siècle. Mais elle se réfère également aux périodes sothiaques du calendrier égyptien, car cinq périodes sothiaques (de 1460 ans) font 73 siècles :

5 x 1460 ans = 7300 ans = 73 x 100 ans.

La pyramide de Khephren a une hauteur de 208 coudées et représente les cycles de conjonctions des planètes Vénus et Mars en relation avec les cycles de l’histoire du monde.

208 ans (208 x 365 jours) = 130 révolutions synodiques de Vénus (130 x 584 jours) = 146 fois 520 jours (soit 146 fois les 2/3 de la révolution synodique de Mars qui compte 780 jours). Un « Soleil » méso-américain compte 1040 ans ou cinq fois 208 ans.

La pyramide de Chéops a une hauteur de 220 coudées et représente les cycles de lunaisons en relation avec les années solaire de la façon suivante :

Deux lunaisons font 59 jours :

29,5 jours x 2 = 59 jours ;

17 x 59 jours (34 lunaisons) = 1003 jours ;

Mais 34 lunaisons font : 34 x 29,530588 jours = 1004 jours ;

Il faut donc ajouter un jour toutes les 34 lunaisons pour continuer à avoir un compte juste ;

34 lunaisons x 4 = 136 lunaisons = 11 ans ;

20 fois 11 ans = 220 ans = 11 x 20 ans ;

Mais « 220 ans » = 2721 lunaisons (au lieu de « 2720 ») ;

Il faut donc ajouter « une lunaison » tous les 220 ans pour faire correspondre le cycle de « 136 lunaisons » avec un nombre entier d’années solaires.

Par conséquent, le cycle de 220 ans est un cycle « luni-solaire » qui permet d’établir un calendrier lunaire sur la base du cycle de 59 jours (en ajoutant « un jour » au cycle lunaire toutes les 34 lunaisons et en ajoutant « une lunaison » du cycle de « 136 lunaisons » tous les 220 ans, c’est-à-dire en comptant 137 lunaisons dans le dernier cycle).

Cinq fois 220 ans font « 1100 ans » ou 11 siècles (nombre entier de siècles).

b)         Les « côtés » des Grandes Pyramides mesurées en « cannes » établissent les proportions de grandeur qui les harmonisent.

Nous observons que Mykérinos mesure 27 cannes de côté (cube de 3) et que Khephren mesure 54 cannes de côté (2 x 27 canes), c’est-à-dire qu’il mesure le double de celui de Mykérinos.

Mais si Khephren mesure 54 cannes de côté (2 x 27 cannes), Chéops a un côté qui fait 58 cannes (2 x 29 cannes). Le côté de Chéops fait par conséquent « quatre cannes » de plus que celui de Khephren. Il se trouve que cette différence établit une « harmonie de couple » entre les deux pyramides : « 2 x 27 » contre « 2 x 29 ». Si Chéops mesurait par exemple « 2 x 28 coudées », la « différence » entre les deux pyramides passerait plus ou moins « inaperçue ». Il fallait par conséquent établir une distinction « remarquable » entre elles, en particulier parce qu’elles ne représentent pas les mêmes cycles astronomiques ; par ailleurs, le choix de « 2 x 29 cannes » prend en compte le nombre « 29 », lequel se trouve naturellement à la base du calendrier lunaire pour établir une succession alternative de « 29 et 30 jours ».

Les clés chronologiques de la Grande Pyramide :

Pour trouver la chronologie définie par les couloirs et les chambres de la Grande Pyramide, il fallait prendre le problème « à l’envers ». En effet, les études qui ont été publiées jusqu’à ce jour sont toutes erronées et il n’était pas possible de s’en référer pour aboutir. Par conséquent, la méthode suivie a consisté à trouver en premier lieu la valeur du « pouce chronologique » de la Grande Pyramide, lequel ne semblait pas être le même que celui qui avait servi aux mesures extérieures de l’ouvrage. Ensuite, sur la base de la chronologie de l’histoire du monde, définitivement établie depuis la découverte des cycles historiques, il fallait retrouver les points chronologiques qui ont servi de référence à l’élaboration de tout le système des couloirs et des chambres de la Grande Pyramide.

Pour y parvenir, il fallait d’abord retrouver la valeur du « pouce chronologique » grâce aux mesures de la chambre du Roi et de la cuve intérieure. Nous avons par conséquent ajusté la valeur du pouce aux dimensions suivantes :

Chambre du Roi :

Longueur : 400 pouces, soit 10, 46 mètres.

Largeur : 200 pouces, soit 5,23 mètres.

Hauteur : 213 pouces, soit 5,57 mètres.

Cuve placée à l’intérieur de la Chambre du Roi :

Longueur : 88 pouces, soit 2,3 mètres.

Largeur : 37,5 pouces, soit 0,98 mètre.

Hauteur : 40 pouces, soit 1,046 mètre.

Profondeur : 33,3 pouces, soit 0,87 mètre.

Valeur trouvée du « pouce chronologique » : 0,02615 mètre.

Valeur de la « coudée chronologique » : 0,65375 mètre (25 pouces).

Valeur trouvée du « pied chronologique »: 0,3138 mètre (12 pouces).

Voici maintenant la chronologie qui correspond avec les couloirs et les chambres de la Grande Pyramide et également avec celle de l’histoire du monde établie par la découverte des cycles historiques :

Première période sothiaque égyptienne : 2774 avant notre ère ;

Exode des fils d’Israël sous Moïse : 1537 avant notre ère ;

Naissance de Jésus : 7 avant notre ère ;

Crucifixion, mort et résurrection de Jésus : 27 de notre ère ;

Retour de Jésus, après 2000 ans : 2027 de notre ère.

 

 

Cela donne :

1237 ans + 1530 ans + 33 ans + 2000 ans = 4800 ans.

Longueur du premier couloir descendant : 32,34 mètres (en comptant la longueur du trajet supplémentaire nécessaire à gravir pour accéder à l’entrée du premier couloir depuis le pied de la pyramide) ;

Longueur du premier couloir ascendant à partir du point chronologique correspondant à l’Exode : 40 mètres ;

Longueur de l’intersection représentant la vie de Jésus : 0,86 mètre ;

Longueur de la Grande Galerie et du couloir horizontal qui suit et qu’il faut parcourir pour arriver jusqu’à la chambre du Roi : 52,30 mètres ;

Longueur totale : 125,52 mètres.

Longueur de la Grande Galerie au plafond : 46,67775 mètres ;

Longueur totale du couloir jusqu’à la Chambre du Roi : 6,4852 mètres ;

Total : nous observons que nous obtenons « 53,16295 mètres » au lieu de « 52,30 mètres ».

Mais, pour trouver la valeur globale de 125,52 mètres, il faut compter la valeur de la longueur de la Grande Galerie au plafond, soit : 46,67775 mètres ; ensuite, il faut retrancher l’équivalent de la vie de Jésus, soit 0,86 mètre ; nous obtenons : 45,81775 mètres ; il faut alors ajouter les 6,4852 mètres de la longueur du couloir qui reste à parcourir, et nous obtenons : 52,30 mètres, soit la longueur du trajet à parcourir pour arriver à la Chambre du Roi ! C’est en effet, la ligne qui suit la hauteur de la Grande Galerie qui poursuit la chronologie, mais son point de départ se fait en retrait par rapport à la ligne du sol : par conséquent la chronologie de la Grande Galerie reprend en compte l’équivalent de la vie du Christ une « seconde fois » !

Il reste à définir les détails particuliers de cette chronologie (voir tableau ci-dessous).

Le temps pris en compte par la chronologie des couloirs et chambres de la Grande Pyramide est de 4800 ans depuis le début de la première période sothiaque en Egypte, en 2774 avant notre ère, jusqu’au retour de Jésus en 2027 de notre ère. 4800 ans font 12 baktuns (12 x 400 ans). Ces baktuns sont les mêmes que ceux qui s’inscrivent dans les cycles de l’histoire du monde et dans le calendrier méso-américain : 2774 avant notre ère se situe au début du 4° baktun de l’histoire du monde et au début du 2° baktun du calendrier méso-américain.

Tableau des mesures des couloirs et des Chambres de la Grande Pyramide (réalisé par Patrick DOLCIANI le 27/08/06) :

 

Grande Pyramide :

Pouces :

Mètres :

Coudées :

Pieds :

0,02615

 

0,65375

0,3138

1° couloir descendant :

1071,00

28,00665

42,84

89,25000

Suite 1° couloir descendant :

3000,00

78,45000

120,00

250,00000

Chambre de la Folie:

42,00

1,09830

1,68

3,50000

Hauteur chambre de la Folie :

51,00

1,33365

2,04

4,25000

Profondeur chambre de la Folie :

1167,00

30,51705

46,68

97,25000

1° couloir ascendant :

1530,00

40,00950

61,20

127,50000

1° couloir horizontal :

1455,00

38,04825

58,20

121,25000

Longueur chambre de la Reine :

220,00

5,75300

8,80

18,33333

Largeur chambre de la Reine :

200,00

5,23000

8,00

16,66667

Grande Galerie au sol :

1832,00

47,90680

73,28

152,66667

Grande Galerie au plafond :

1785,00

46,67775

71,40

148,75000

Hauteur de la Grande Galerie :

330,00

8,62950

13,20

27,50000

Décroissance Grande Galerie :

57,00

1,49055

2,28

4,75000

1° passage bas :

50,00

1,30750

2,00

4,16667

Antichambre :

100,00

2,61500

4,00

8,33333

2° passage bas :

98,00

2,56270

3,92

8,16667

Longueur totale du couloir :

248,00

6,48520

9,92

20,66667

Longueur Chambre du Roi :

400,00

10,46000

16,00

33,33333

Largeur Chambre du Roi :

200,00

5,23000

8,00

16,66667

Hauteur Chambre du Roi :

213,00

5,56995

8,52

17,75000

Facteur-Déplacement :

279,00

7,29585

11,16

23,25000

Largeur du couloir :

42,00

1,09830

1,68

3,50000

Hauteur du couloir :

51,00

1,33365

2,04

4,25000

Longueur de l’étalon de mesure :

24,00

0,62760

0,96

2,00000

Epaisseur de l’étalon :

1,00

0,02615

0,04

0,08333

Longueur du Coffre :

88,00

2,30120

3,52

7,33333

Largeur du Coffre :

37,50

0,98063

1,50

3,12500

Profondeur du Coffre :

33,30

0,87080

1,33

2,77500

 

Note : L’étalon de mesure de la Grande Pyramide fait « deux pieds » ou « 24 pouces » au lieu d’une coudée de « 25 pouces ».

Valeur du 1° couloir descendant :

 

Grande Pyramide :

Pouces :

Mètres :

Coudées :

Pieds :

0,02615

 

0,65375

0,3138

1° couloir descendant :

1071,00

28,00665

42,84

89,25000

 

Valeur du 1° couloir ascendant :

Grande Pyramide :

Pouces :

Mètres :

Coudées :

Pieds :

0,02615

 

0,65375

0,3138

1° couloir ascendant :

1530,00

40,00950

61,20

127,50000

 

Valeur de la Grande Galerie au plafond :

Grande Pyramide :

Pouces :

Mètres :

Coudées :

Pieds :

0,02615

 

0,65375

0,3138

Grande Galerie au plafond :

1785,00

46,67775

71,40

148,75000

 

Valeur du couloir horizontal qui conduit à la Chambre du Roi :

Grande Pyramide :

Pouces :

Mètres :

Coudées :

Pieds :

0,02615

 

0,65375

0,3138

Longueur totale du couloir :

248,00

6,48520

9,92

20,66667

 

Total obtenu :

1071 pouces + 1530 pouces + 1785 pouces + 248 pouces = 4634 pouces.

Reste sur les 4800 pouces du total chronologique :

4800 pouces – 4634 pouces = 166 pouces.

Valeur traduite en années solaires (un pouce = un an) :

166 ans + 1071 ans + 1530 ans + 1785 ans + 248 ans = 4800 ans.

Note :

Dans la mesure où le point de départ de la chronologie de la pyramide ne correspondrait pas avec la première période sothiaque égyptienne (2774 avant notre ère), il faudrait alors envisager à sa place la date du début du calendrier méso-américain, qui correspond avec l’arrivée des Vigilants, en 3174 avant notre ère. Il y a une différence de 400 ans ou d’un baktun entre les deux dates. Cela signifie qu’il faudrait ajouter 400 ans à la période initiale de 166 ans (qui correspond avec la distance à parcourir avant d’entrer dans le 1° couloir de la pyramide), soit : 166 ans + 400 ans = 566 ans. Cela donnerait une distance de 566 pouces (15,0556 mètres) au lieu de 166 (4,4156 mètres) à parcourir avant d’accéder à l’entrée du premier couloir. Dans ces conditions, la chronologie des couloirs de la Grande Pyramide serait la même que celle du calendrier méso-américain lui-même : 13 baktuns ou 5200 ans qui se décomposeraient de la façon suivante :

566 ans + 1071 ans + 1530 ans + 1785 ans + 248 ans = 5200 ans.

5200 ans = 13 x 400 ans = 5 x 1040 ans (soleils méso-américains).

Mais comme cette distance « à parcourir » se trouve en fait placée à l’extérieur des couloirs de la pyramide, elle reste une question d’ordre hypothétique…

Reconstitution de la « chronologie pyramidale » à partir de ces données :

2774 avant notre ère : Départ de la 1° période sothiaque égyptienne ;

2608 avant notre ère : Noé (3018-2068 avant notre ère) avait 410 ans à cette date, averti du Déluge, cette année fut probablement celle où il commença la construction de l’Arche, 190 ans avant le Déluge. 190 pouces font 4,9685 mètres, peut-être était-ce l’épaisseur du « bouchon » qui obstruait l’entrée du 1° couloir ?

1537 avant notre ère : Exode des fils d’Israël sous Moïse ;

7 avant notre ère : Naissance de Jésus ;

1779 de notre ère : Cette année se situe 3 ans après l’indépendance américaine en 1776, définitivement acquise en 1783 (il y a sept ans de 1776 à 1783), et elle se situe aussi 10 ans avant la Révolution française (1789). Nous observons que l’accent est mis sur la formation des Etats-Unis d’Amérique.

2027 de notre ère : Retour de Jésus.

 

Grande Pyramide :

Pouces :

Mètres :

Coudées :

Pieds :

0,02615

 

0,65375

0,3138

1° passage bas :

50,00

1,30750

2,00

4,16667

Antichambre :

100,00

2,61500

4,00

8,33333

 

Le « premier passage bas » commence 50 ans avant l’année 1829, c’est-à-dire en 1779 de notre ère.

Le début de l’Antichambre (100 pouces) se situe 100 ans avant l’année 1929, c’est-à-dire en 1829 de notre ère. L’année suivante, en 1830, nous observons : Louis-Philippe, roi de France ; Mormons, de Joseph Smith ; Adventistes, mouvement de William Miller ; Balzac : La Comédie humaine. C’est une période de « renouveau spirituel qui commence », laquelle durera un siècle (longueur de l’Antichambre).

 

Grande Pyramide :

Pouces :

Mètres :

Coudées :

Pieds :

0,02615

 

0,65375

0,3138

2° passage bas :

98,00

2,56270

3,92

8,16667

 

Le deuxième « passage bas » abouti directement sur la Chambre du Roi ; il mesure 98 pouces et représente 98 ans. Cela donne 2027 – 98 ans = 1929 de notre ère. En 1929, Mussolini était au pouvoir depuis 4 ans (depuis 1925) et 4 ans plus tard Hitler accédait au pouvoir (en 1933). L’année 1929 se situait 11 ans après la fin de la Première Guerre Mondiale (1918) et 10 ans avant le début de la Deuxième Guerre Mondiale (1939) ; elle se situait par conséquent entre les deux Guerres Mondiales. Il n’y aura plus de « renouveau spirituel » en ce sens que le monde dans son ensemble rejette l’autorité de la « Parole de Dieu », c’est-à-dire la Bible elle-même en laquelle il ne croit plus !

 

Suivez la "ligne rouge"...

 

 

Valeurs corrigées des mesures des Grandes Pyramides et du Sphinx :

Le « pouce pyramidal » ne correspond pas avec le « pouce chronologique » et ils ne doivent pas être confondus entre eux. Ce qui signifie que les mesures des chambres et des couloirs de la pyramide de Chéops n’ont pas été faites avec le même « pouce » que celui qui a servi à réaliser les dimensions extérieures de l’ensemble des Grandes Pyramides et du Sphinx. L’explication de cette contradiction vient du fait que le « pouce chronologique » devait rester « caché » à l’extérieur des pyramides, mais il était néanmoins révélé à l’intérieur de la pyramide de Chéops, grâce aux dimensions de la Chambre du Roi et du Coffre intérieur.

Par ailleurs, le pouce pyramidal de « 0,0266 mètre » ne correspond pas avec celui de « 0,0255 mètre », qui avait servi jusqu’ici à mesurer la Grande Pyramide. Ce dernier pouvait correspondre avec les dimensions de la Pyramide de Chéops, mais pas réellement avec celles des autres pyramides. Maintenant, nous venons de découvrir le pouce pyramidal de « 0,0266 mètre », parce qu’il se rapproche de très près du « pouce chronologique » de « 0,02615 mètre » et que nous avons fait des recherches à partir de cette base. La particularité du « pouce pyramidal » de « 0,0266 mètre » est qu’il permet d’établir une relation harmonieuse entre les mesures des trois Grandes Pyramides et du Sphinx. Cette propriété extraordinaire est tout à fait unique car elle ne peut pas s’établir avec un « pouce » d’une autre taille. C’est pourquoi nous savons que ce pouce est celui qui a réellement servi à construire les Grandes Pyramides. En effet, lorsqu’un système de mesure s’applique à plusieurs constructions différentes, il ne peut s’agir que de celui qui a servi à la construction de l’ensemble : ici, il s’agit à l’évidence du pouce pyramidal de « 0,0266 mètre ». Il fut difficile à trouver, car il s’agit d’un pouce nettement « plus grand » que ceux qui ont habituellement été utilisés dans le passé ; par exemple, six coudées de 0,45 mètre (25 pouces de 0,018 mètre) font 2,5 mètres, mais six coudées de 0,665 mètre (25 pouces de 0,0266 mètre) font 3,99 mètres. Il y a une différence de 1,49 mètre pour un ensemble de six coudées (six coudées font une canne). Si un pouce nettement plus grand a été choisi pour construire les Grandes pyramides, c’est simplement parce qu’elles étaient de taille « gigantesque ».

Tableau des mesures des Grandes Pyramides établies sur la base du pouce pyramidal de 0,0266 mètre :

 

Les Grandes Pyramides et le Sphinx (en pouces) :

 

Valeur en mètres :

Valeur :

Valeur en pouces :

 

Côté :

Base :

Hauteur :

Côté :

Base :

Hauteur :

Chéops :

231,42

925,68

146,3

0,0266

8700

34800

5500

Khephren :

215,46

861,84

138,32

0,0266

8100

32400

5200

Mykérinos :

107,73

430,92

66,5

0,0266

4050

16200

2500

Sphinx :

4,1496

57,057

19,95

0,0266

156

2145

750

(Largeur)

(Longueur)

 

 

(Largeur)

(Longueur)

 

Les Grandes Pyramides et le Sphinx (en coudées) :

 

Valeur en mètres :

Valeur :

Valeur en coudées :

 

Côté :

Base :

Hauteur :

Côté :

Base :

Hauteur :

Chéops :

231,42

925,68

146,3

0,665

348

1392

220

Khephren :

215,46

861,84

138,32

0,665

324

1296

208

Mykérinos :

107,73

430,92

66,5

0,665

162

648

100

Sphinx :

4,1496

57,057

19,95

0,665

6,24

85,8

30

(Largeur)

(Longueur)

 

 

(Largeur)

(Longueur)

 

Les Grandes Pyramides et le Sphinx (en pieds) :

 

Valeur en mètres :

Valeur :

Valeur en pieds :

 

Côté :

Base :

Hauteur :

Côté :

Base :

Hauteur :

Chéops :

231,42

925,68

146,3

0,3192

725

2900

458,3333

Khephren :

215,46

861,84

138,32

0,3192

675,00

2700,00

433,3333

Mykérinos :

107,73

430,92

66,5

0,3192

337,50

1350,00

208,3333

Sphinx :

4,1496

57,057

19,95

0,3192

13

178,75

62,5

(Largeur)

(Longueur)

 

 

(Largeur)

(Longueur)

 

Les Grandes Pyramides et le Sphinx (en cannes) :

 

Valeur en mètres :

Valeur :

Valeur en cannes :

 

Côté :

Base :

Hauteur :

Côté :

Base :

Hauteur :

Chéops :

231,42

925,68

146,3

3,99

58,00

232,00

36,6667

Khephren :

215,46

861,84

138,32

3,99

54,00

216,00

34,6667

Mykérinos :

107,73

430,92

66,5

3,99

27,00

108,00

16,6667

Sphinx :

4,1496

57,057

19,95

3,99

1,04

14,3

5

(Largeur)

(Longueur)

 

 

(Largeur)

(Longueur)

 

 

Plan d’harmonisation des Grandes Pyramides :

a)           Les divisions en séries de  « 100 pouces » pour les bases :

Pyramide de Chéops :

Base : 87 x 100 pouces.

Pyramide de Khephren :

Base : 81 x 100 pouces.

Pyramide de Mykérinos :

Base : 4,05 x 100 pouces.

La base de la pyramide de Chéops fait 600 pouces de plus que celle de Khephren, tandis que sa hauteur fait 300 pouces de plus. Nous observons des « nombres entiers » en « cannes » (une canne = 6 coudées) dans les mesures des côtés des trois pyramides.

b)           Les divisions en séries de « 100 pouces » pour les hauteurs :

Pyramide de Chéops :

Hauteur : 55 x 100 pouces = 11 x 500 pouces.

Pyramide de Khephren :

Hauteur : 52 x 100 pouces = 13 x 400 pouces.

Pyramide de Mykérinos :

Hauteur : 25 x 100 pouces = 5 x 500 pouces.

 

 

Disposition des Grandes Pyramides :

Note :

Nous observons que les dimensions des trois Grandes Pyramides évoquent les trois planètes suivantes du système solaire : La Terre, Vénus et Mercure, dont les diamètres sont respectivement de 12756, 12104 et 4878 kilomètres. Vénus fait 94,88 % du diamètre de la Terre tandis que la hauteur de la pyramide de Khephren fait 94,54 % de celle de Chéops ; Mercure fait 40,30 % du diamètre de Vénus et la pyramide de Mykérinos fait 48,07 % de la hauteur de celle de Khephren. Les proportions des Grandes Pyramides ne correspondent qu’avec ces trois planètes du système solaire.

Nous observons également que lorsque le Soleil se lève à l’Est et monte au-dessus du plateau de Gizeh, il tourne autour des Grandes Pyramides. Du point de vue de la position du Soleil lui-même, au levant (en regardant à partir de l’angle droit du plateau de Gizeh vers le centre), les trois pyramides apparaissent dans l’ordre suivant, de droite à gauche : Chéops (la Terre), Khephren (Vénus) et Mykérinos (Mercure). A midi (en regardant à partir milieu placé au Sud du plateau de Gizeh vers le centre où se trouvent les pyramides), les Grandes Pyramides se sont rapprochées les unes des autres et on remarque que Chéops (la Terre) est plus éloignée que Khephren (Vénus plus proche du Soleil que la Terre) et Khephren est plus éloignée que Mykérinos (Mercure, plus proche du Soleil que Vénus). Enfin, au couchant (en regardant à partir de l’angle gauche du plateau de Gizeh vers le centre), nous observons que les trois pyramides sont alignées les unes derrière les autres ou sont « entrées en conjonction ». Quant au Grand Sphinx, il a été vu comme s’il était en train de tourner autour de Chéops (la Terre) et il représente par conséquent la Lune.

La signification de cette disposition particulière des Grandes Pyramides et du Grand Sphinx sur le plateau de Gizeh est claire : elle évoque la triple conjonction « Terre – Vénus – Mercure » en passant devant le Soleil. En effet, en quarante ans, nous observons :

40 x 365 jours (40 années solaires) = 14600 jours = 25 x 584 jours (25 révolutions synodiques de Vénus) = 126 x 115,873 jours (126 révolutions synodiques de Mercure).

Il s’agit de la base fondamentale des cycles astronomiques à l’origine des cycles historiques, ici ceux de 40 ans.

Il y aurait trois passages souterrains qui relieraient les trois Grandes Pyramides au Sphinx ; leur point de jonction se trouverait à l’arrière du Sphinx et suivrait une « Chambre » circulaire, puis un « Temple », placé juste au-dessous du Sphinx ; à partir de là, un autre passage souterrain à l’avant du Sphinx conduirait jusqu’au Nil. Dans la mesure où cette information « confidentielle » se confirmerait exacte, elle signifierait qu’il y a bien eu une origine commune à la construction des Grandes Pyramide, faite à partir d’un seul plan architectural.

Complément d’article :

Découvertes sur les Grandes Pyramides de Patrick DOLCIANI, faites à partir du 26 août 2006, cinq jours après l’article précédent :

Pour trouver la chronologie définie par les couloirs et les chambres de la Grande Pyramide, il fallait prendre le problème « à l’envers ». En effet, les études qui ont été publiées jusqu’à ce jour sont toutes erronées et il n’était pas possible de s’en référer pour aboutir. Par conséquent, la méthode suivie a consisté à trouver en premier lieu la valeur du « pouce chronologique » de la Grande Pyramide, lequel ne semblait pas être le même que celui qui avait servi aux mesures extérieures de l’ouvrage. Ensuite, sur la base de la chronologie de l’histoire du monde, définitivement établie depuis la découverte des cycles historiques, il fallait retrouver les points chronologiques qui ont servi de référence à l’élaboration de tout le système des couloirs et des chambres de la Grande Pyramide.

Pour y parvenir, il fallait d’abord retrouver la valeur du « pouce chronologique » grâce aux mesures de la chambre du Roi et de la cuve intérieure. Nous avons par conséquent ajusté la valeur du pouce aux dimensions suivantes :

Chambre du Roi :

Longueur : 400 pouces, soit 10, 46 mètres.

Largeur : 200 pouces, soit 5,23 mètres.

Hauteur : 213 pouces, soit 5,57 mètres.

Cuve placée à l’intérieur de la Chambre du Roi :

Longueur : 88 pouces, soit 2,3 mètres.

Largeur : 37,5 pouces, soit 0,98 mètre.

Hauteur : 40 pouces, soit 1,046 mètre.

Profondeur : 33,3 pouces, soit 0,87 mètre.

Valeur trouvée du « pouce chronologique » : 0,02615 mètre.

Valeur de la « coudée chronologique » : 0,65375 mètre (25 pouces).

Valeur trouvée du « pied chronologique »: 0,3138 mètre (12 pouces).

Voici maintenant la chronologie qui correspond avec les couloirs et les chambres de la Grande Pyramide et également avec celle de l’histoire du monde établie par la découverte des cycles historiques :

Première période sothiaque égyptienne : 2774 avant notre ère ;

Exode des fils d’Israël sous Moïse : 1537 avant notre ère ;

Naissance de Jésus : 7 avant notre ère ;

Crucifixion, mort et résurrection de Jésus : 27 de notre ère ;

Retour de Jésus, après 2000 ans : 2027 de notre ère.

 

Cela donne :

1237 ans + 1530 ans + 33 ans + 2000 ans = 4800 ans.

Longueur du premier couloir descendant : 32,34 mètres (en comptant la longueur du trajet supplémentaire nécessaire à gravir pour accéder à l’entrée du premier couloir depuis le pied de la pyramide) ;

Longueur du premier couloir ascendant à partir du point chronologique correspondant à l’Exode : 40 mètres ;

Longueur de l’intersection représentant la vie de Jésus : 0,86 mètre ;

Longueur de la Grande Galerie et du couloir horizontal qui suit et qu’il faut parcourir pour arriver jusqu’à la chambre du Roi : 52,30 mètres ;

Longueur totale : 125,52 mètres.

 

Longueur de la Grande Galerie au plafond : 46,67775 mètres ;

Longueur totale du couloir jusqu’à la Chambre du Roi : 6,4852 mètres ;

Total : nous observons que nous obtenons « 53,16295 mètres » au lieu de « 52,30 mètres ».

Mais, pour trouver la valeur globale de 125,52 mètres, il faut compter la valeur de la longueur de la Grande Galerie au plafond, soit : 46,67775 mètres ; ensuite, il faut retrancher l’équivalent de la vie de Jésus, soit 0,86 mètre ; nous obtenons : 45,81775 mètres ; il faut alors ajouter les 6,4852 mètres de la longueur du couloir qui reste à parcourir, et nous obtenons : 52,30 mètres, soit la longueur du trajet à parcourir pour arriver à la Chambre du Roi ! C’est en effet, la ligne qui suit la hauteur de la Grande Galerie qui poursuit la chronologie, mais son point de départ se fait en retrait par rapport à la ligne du sol : par conséquent la chronologie de la Grande Galerie reprend en compte l’équivalent de la vie du Christ une « seconde fois » !

Il reste à définir les détails particuliers de cette chronologie (voir tableau ci-dessous).

Le temps pris en compte par la chronologie des couloirs et chambres de la Grande Pyramide est de 4800 ans depuis le début de la première période sothiaque en Egypte, en 2774 avant notre ère, jusqu’au retour de Jésus en 2027 de notre ère. 4800 ans font 12 baktuns (12 x 400 ans). Ces baktuns sont les mêmes que ceux qui s’inscrivent dans les cycles de l’histoire du monde et dans le calendrier méso-américain : 2774 avant notre ère se situe au début du 4° baktun de l’histoire du monde et au début du 2° baktun du calendrier méso-américain.

Tableau des mesures des couloirs et des Chambres de la Grande Pyramide (réalisé par Patrick DOLCIANI le 27/08/06) :

 

Grande Pyramide :

Pouces :

Mètres :

Coudées :

Pieds :

0,02615

 

0,65375

0,3138

1° couloir descendant :

1071,00

28,00665

42,84

89,25000

Suite 1° couloir descendant :

3000,00

78,45000

120,00

250,00000

Chambre de la Folie:

42,00

1,09830

1,68

3,50000

Hauteur chambre de la Folie :

51,00

1,33365

2,04

4,25000

Profondeur chambre de la Folie :

1167,00

30,51705

46,68

97,25000

1° couloir ascendant :

1530,00

40,00950

61,20

127,50000

1° couloir horizontal :

1455,00

38,04825

58,20

121,25000

Longueur chambre de la Reine :

220,00

5,75300

8,80

18,33333

Largeur chambre de la Reine :

200,00

5,23000

8,00

16,66667

Grande Galerie au sol :

1832,00

47,90680

73,28

152,66667

Grande Galerie au plafond :

1785,00

46,67775

71,40

148,75000

Hauteur de la Grande Galerie :

330,00

8,62950

13,20

27,50000

Décroissance Grande Galerie :

57,00

1,49055

2,28

4,75000

1° passage bas :

50,00

1,30750

2,00

4,16667

Antichambre :

100,00

2,61500

4,00

8,33333

2° passage bas :

98,00

2,56270

3,92

8,16667

Longueur totale du couloir :

248,00

6,48520

9,92

20,66667

Longueur Chambre du Roi :

400,00

10,46000

16,00

33,33333

Largeur Chambre du Roi :

200,00

5,23000

8,00

16,66667

Hauteur Chambre du Roi :

213,00

5,56995

8,52

17,75000

Facteur-Déplacement :

279,00

7,29585

11,16

23,25000

Largeur du couloir :

42,00

1,09830

1,68

3,50000

Hauteur du couloir :

51,00

1,33365

2,04

4,25000

Longueur de l’étalon de mesure :

24,00

0,62760

0,96

2,00000

Epaisseur de l’étalon :

1,00

0,02615

0,04

0,08333

Longueur du Coffre :

88,00

2,30120

3,52

7,33333

Largeur du Coffre :

37,50

0,98063

1,50

3,12500

Profondeur du Coffre :

33,30

0,87080

1,33

2,77500

 

Note : L’étalon de mesure de la Grande Pyramide fait « deux pieds » ou « 24 pouces » au lieu d’une coudée de « 25 pouces ».

Valeur du 1° couloir descendant :

 

Grande Pyramide :

Pouces :

Mètres :

Coudées :

Pieds :

0,02615

 

0,65375

0,3138

1° couloir descendant :

1071,00

28,00665

42,84

89,25000

 

Valeur du 1° couloir ascendant :

Grande Pyramide :

Pouces :

Mètres :

Coudées :

Pieds :

0,02615

 

0,65375

0,3138

1° couloir ascendant :

1530,00

40,00950

61,20

127,50000

 

Valeur de la Grande Galerie au plafond :

Grande Pyramide :

Pouces :

Mètres :

Coudées :

Pieds :

0,02615

 

0,65375

0,3138

Grande Galerie au plafond :

1785,00

46,67775

71,40

148,75000

 

Valeur du couloir horizontal qui conduit à la Chambre du Roi :

Grande Pyramide :

Pouces :

Mètres :

Coudées :

Pieds :

0,02615

 

0,65375

0,3138

Longueur totale du couloir :

248,00

6,48520

9,92

20,66667

 

Total obtenu :

1071 pouces + 1530 pouces + 1785 pouces + 248 pouces = 4634 pouces.

Reste sur les 4800 pouces du total chronologique :

4800 pouces – 4634 pouces = 166 pouces.

Valeur traduite en années solaires (un pouce = un an) :

166 ans + 1071 ans + 1530 ans + 1785 ans + 248 ans = 4800 ans.

 

Note :

Dans la mesure où le point de départ de la chronologie de la pyramide ne correspondrait pas avec la première période sothiaque égyptienne (2774 avant notre ère), il faudrait alors envisager à sa place la date du début du calendrier méso-américain, qui correspond avec l’arrivée des Vigilants, en 3174 avant notre ère. Il y a une différence de 400 ans ou d’un baktun entre les deux dates. Cela signifie qu’il faudrait ajouter 400 ans à la période initiale de 166 ans (qui correspond avec la distance à parcourir avant d’entrer dans le 1° couloir de la pyramide), soit : 166 ans + 400 ans = 566 ans. Cela donnerait une distance de 566 pouces (15,0556 mètres) au lieu de 166 (4,4156 mètres) à parcourir avant d’accéder à l’entrée du premier couloir. Dans ces conditions, la chronologie des couloirs de la Grande Pyramide serait la même que celle du calendrier méso-américain lui-même : 13 baktuns ou 5200 ans qui se décomposeraient de la façon suivante :

566 ans + 1071 ans + 1530 ans + 1785 ans + 248 ans = 5200 ans.

5200 ans = 13 x 400 ans = 5 x 1040 ans (soleils méso-américains).

Mais comme cette distance « à parcourir » se trouve en fait placée à l’extérieur des couloirs de la pyramide, elle reste une question d’ordre hypothétique…

Reconstitution de la « chronologie pyramidale » à partir de ces données :

2774 avant notre ère : Départ de la 1° période sothiaque égyptienne ;

2608 avant notre ère : Noé (3018-2068 avant notre ère) avait 410 ans à cette date, averti du Déluge, cette année fut probablement celle où il commença la construction de l’Arche, 190 ans avant le Déluge. 190 pouces font 4,9685 mètres, peut-être était-ce l’épaisseur du « bouchon » qui obstruait l’entrée du 1° couloir ?

1537 avant notre ère : Exode des fils d’Israël sous Moïse ;

7 avant notre ère : Naissance de Jésus ;

1779 de notre ère : Cette année se situe 3 ans après l’indépendance américaine en 1776, définitivement acquise en 1783 (il y a sept ans de 1776 à 1783), et elle se situe aussi 10 ans avant la Révolution française (1789). Nous observons que l’accent est mis sur la formation des Etats-Unis d’Amérique.

2027 de notre ère : Retour de Jésus.

 

Grande Pyramide :

Pouces :

Mètres :

Coudées :

Pieds :

0,02615

 

0,65375

0,3138

1° passage bas :

50,00

1,30750

2,00

4,16667

Antichambre :

100,00

2,61500

4,00

8,33333

 

Le « premier passage bas » commence 50 ans avant l’année 1829, c’est-à-dire en 1779 de notre ère.

Le début de l’Antichambre (100 pouces) se situe 100 ans avant l’année 1929, c’est-à-dire en 1829 de notre ère. L’année suivante, en 1830, nous observons : Louis-Philippe, roi de France ; Mormons, de Joseph Smith ; Adventistes, mouvement de William Miller ; Balzac : La Comédie humaine. C’est une période de « renouveau spirituel qui commence », laquelle durera un siècle (longueur de l’Antichambre).

 

Grande Pyramide :

Pouces :

Mètres :

Coudées :

Pieds :

0,02615

 

0,65375

0,3138

2° passage bas :

98,00

2,56270

3,92

8,16667

 

Le deuxième « passage bas » abouti directement sur la Chambre du Roi ; il mesure 98 pouces et représente 98 ans. Cela donne 2027 – 98 ans = 1929 de notre ère. En 1929, Mussolini était au pouvoir depuis 4 ans (depuis 1925) et 4 ans plus tard Hitler accédait au pouvoir (en 1933). L’année 1929 se situait 11 ans après la fin de la Première Guerre Mondiale (1918) et 10 ans avant le début de la Deuxième Guerre Mondiale (1939) ; elle se situait par conséquent entre les deux Guerres Mondiales. Il n’y aura plus de « renouveau spirituel » en ce sens que le monde dans son ensemble rejette l’autorité de la « Parole de Dieu », c’est-à-dire la Bible elle-même en laquelle il ne croit plus !

 

Suivez la "ligne rouge"...

 

 

Valeurs corrigées des mesures des Grandes Pyramides et du Sphinx :

Le « pouce pyramidal » ne correspond pas avec le « pouce chronologique » et ils ne doivent pas être confondus entre eux. Ce qui signifie que les mesures des chambres et des couloirs de la pyramide de Chéops n’ont pas été faites avec le même « pouce » que celui qui a servi à réaliser les dimensions extérieures de l’ensemble des Grandes Pyramides et du Sphinx. L’explication de cette contradiction vient du fait que le « pouce chronologique » devait rester « caché » à l’extérieur des pyramides, mais il était néanmoins révélé à l’intérieur de la pyramide de Chéops, grâce aux dimensions de la Chambre du Roi et du Coffre intérieur.

Par ailleurs, le pouce pyramidal de « 0,0266 mètre » ne correspond pas avec celui de « 0,0255 mètre », qui avait servi jusqu’ici à mesurer la Grande Pyramide. Ce dernier pouvait correspondre avec les dimensions de la Pyramide de Chéops, mais pas réellement avec celles des autres pyramides. Maintenant, nous venons de découvrir le pouce pyramidal de « 0,0266 mètre », parce qu’il se rapproche de très près du « pouce chronologique » de « 0,02615 mètre » et que nous avons fait des recherches à partir de cette base. La particularité du « pouce pyramidal » de « 0,0266 mètre » est qu’il permet d’établir une relation harmonieuse entre les mesures des trois Grandes Pyramides et du Sphinx. Cette propriété extraordinaire est tout à fait unique car elle ne peut pas s’établir avec un « pouce » d’une autre taille. C’est pourquoi nous savons que ce pouce est celui qui a réellement servi à construire les Grandes Pyramides. En effet, lorsqu’un système de mesure s’applique à plusieurs constructions différentes, il ne peut s’agir que de celui qui a servi à la construction de l’ensemble : ici, il s’agit à l’évidence du pouce pyramidal de « 0,0266 mètre ». Il fut difficile à trouver, car il s’agit d’un pouce nettement « plus grand » que ceux qui ont habituellement été utilisés dans le passé ; par exemple, six coudées de 0,45 mètre (25 pouces de 0,018 mètre) font 2,5 mètres, mais six coudées de 0,665 mètre (25 pouces de 0,0266 mètre) font 3,99 mètres. Il y a une différence de 1,49 mètre pour un ensemble de six coudées (six coudées font une canne). Si un pouce nettement plus grand a été choisi pour construire les Grandes pyramides, c’est simplement parce qu’elles étaient de taille « gigantesque ».

Tableau des mesures des Grandes Pyramides établies sur la base du pouce pyramidal de 0,0266 mètre :

 

Les Grandes Pyramides et le Sphinx (en pouces) :

 

Valeur en mètres :

Valeur :

Valeur en pouces :

 

Côté :

Base :

Hauteur :

Côté :

Base :

Hauteur :

Chéops :

231,42

925,68

146,3

0,0266

8700

34800

5500

Khephren :

215,46

861,84

138,32

0,0266

8100

32400

5200

Mykérinos :

107,73

430,92

66,5

0,0266

4050

16200

2500

Sphinx :

4,1496

57,057

19,95

0,0266

156

2145

750

(Largeur)

(Longueur)

 

 

(Largeur)

(Longueur)

 

Les Grandes Pyramides et le Sphinx (en coudées) :

 

Valeur en mètres :

Valeur :

Valeur en coudées :

 

Côté :

Base :

Hauteur :

Côté :

Base :

Hauteur :

Chéops :

231,42

925,68

146,3

0,665

348

1392

220

Khephren :

215,46

861,84

138,32

0,665

324

1296

208

Mykérinos :

107,73

430,92

66,5

0,665

162

648

100

Sphinx :

4,1496

57,057

19,95

0,665

6,24

85,8

30

(Largeur)

(Longueur)

 

 

(Largeur)

(Longueur)

 

Les Grandes Pyramides et le Sphinx (en pieds) :

 

Valeur en mètres :

Valeur :

Valeur en pieds :

 

Côté :

Base :

Hauteur :

Côté :

Base :

Hauteur :

Chéops :

231,42

925,68

146,3

0,3192

725

2900

458,3333

Khephren :

215,46

861,84

138,32

0,3192

675,00

2700,00

433,3333

Mykérinos :

107,73

430,92

66,5

0,3192

337,50

1350,00

208,3333

Sphinx :

4,1496

57,057

19,95

0,3192

13

178,75

62,5

(Largeur)

(Longueur)

 

 

(Largeur)

(Longueur)

 

Les Grandes Pyramides et le Sphinx (en cannes) :

 

Valeur en mètres :

Valeur :

Valeur en cannes :

 

Côté :

Base :

Hauteur :

Côté :

Base :

Hauteur :

Chéops :

231,42

925,68

146,3

3,99

58,00

232,00

36,6667

Khephren :

215,46

861,84

138,32

3,99

54,00

216,00

34,6667

Mykérinos :

107,73

430,92

66,5

3,99

27,00

108,00

16,6667

Sphinx :

4,1496

57,057

19,95

3,99

1,04

14,3

5

(Largeur)

(Longueur)

 

 

(Largeur)

(Longueur)

 

 

  

Les Grandes Pyramides :

Tombeaux d’Adam, Eve et Abel ?

 

Tableau des trois premiers baktuns de l’histoire du monde en Adam :

Nombre :

Nombre :

Katuns :

Dates :

Evénements :

 

 

3974

 

Ere zodiacale du Taureau

1° Baktun

1° Katun

3974

3974

Sortie d’Eden

 

1° Katun

3974

3974-3374

1° cycle de 600 ans de l’Histoire du Monde

 

1° Katun

3974

3954-3174

1° Cycle de Civilisation (780 ans)

 

1° Katun

3974

3950

(?) Fondation de Jéricho, première ville entourée de murs

 

1° Katun

3974

3950

Première utilisation de la charrue au Proche-Orient

 

1° Katun

3974

3950

Début du coulage du bronze au Proche-Orient.

 

2° Katun

3954

3944

Naissance de Seth (3944-3032 av. notre ère)

 

7° Katun

3854

3839

Naissance d’Enosch (3839-2934)

 

11° Katun

3774

3764-3344

(?) Période archaïque de l’histoire de l’Egypte

 

11° Katun

3774

3764-3540

(?) I° Dynastie thinite en Egypte

 

12° Katun

3754

3749

Naissance de Kénan (3749-2839)

 

15° Katun

3694

3679

Naissance de Mahalaléel (3679-2784)

 

19° Katun

3614

3614

Naissance de Jéred (3614-2652)

2° Baktun

1° Katun

3574

 

 

 

2° Katun

3554

3540-3344

(?) II° Dynastie thinite en Egypte

 

4° Katun

3514

3500

1° Cité chinoise à Liangchengzhen (culture de Longshan)

 

4° Katun

3514

3500

Invention de la roue en Mésopotamie et de la voile en Egypte

 

4° Katun

3514

3500-3300

Temples d’Ourouk à Sumer

 

7° Katun

3454

3452

Naissance d’Enoch (3452- enlevé par les anges en 3087)

 

10° Katun

3394

3387

Naissance de Métuschélah (3387-2418)

 

11° Katun

3374

3374-2774

2° cycle de 600 ans de l’Histoire du Monde

 

12° Katun

3354

3344-3204

(?) III° Dynastie égyptienne (dynasties memphites)

 

12° Katun

3354

3344-2784

(?) Ancien Empire égyptien (III°, IV° et V° dynasties)

 

19° Katun

3214

3200

Naissance de Lémec (3200-2423)

 

19° Katun

3214

3204-3036

(?) IV° Dynastie égyptienne

 

19° Katun

3214

3200-2000

Première civilisation des Cyclades en Egée

 

 

3174

 

1° Soleil Méso-américain

 

 

3174

 

1° Baktun Méso-américain

3° Baktun

1° Katun

3174

3174-2394

2° Cycle de Civilisation (780 ans)

 

1° Katun

3174

3174

Arrivée des Vigilants

 

2° Katun

3154

3144

Mort d’Adam (4074-3144)

 

3° Katun

3134

3144-3036

(?) Construction des Grandes pyramides à la mort d’Adam

 

4° Katun

3114

3100

Ecriture cunéiforme à Sumer

 

5° Katun

3094

3087

Enlèvement d’Enoch

 

7° Katun

3054

3036-2784

(?) V° Dynastie égyptienne

 

8° Katun

3034

3032

Mort de Seth

 

8° Katun

3034

3018

Naissance de Noé (3018-2068)

 

9° Katun

3014

3000

Développement de l’agriculture en Afrique centrale

 

9° Katun

3014

3000

Utilisation des bêtes de somme en Afrique centrale

 

9° Katun

3014

3000

Utilisation du bronze en Thaïlande

 

9° Katun

3014

3000

Développement du travail du cuivre en Europe

 

9° Katun

3014

3000

Premières poteries en Amérique du Sud

 

9° Katun

3014

3000-2000

Développement des cités sumériennes

 

9° Katun

3014

3000-2000

Tombes et cercles mégalithiques

 

9° Katun

3014

3000-2000

Colonisation de la Mélanésie par les Indonésiens

 

13° Katun

2934

2934

Mort d’Enosch

 

17° Katun

2854

2839

Mort de Kénan

 

20° Katun

2794

2784-2588

(?) VI° Dynastie égyptienne

 

20° Katun

2794

2784

Mort de Mahalaléel

 

 

2774

 2774

2° Baktun Méso-américain. 2° Période sothiaque égyptienne.

4° Baktun

1° Katun

2774

2774-2174

3° cycle de 600 ans de l’Histoire du Monde

 

La chronologie de l’histoire du monde en Adam nous fait apparaître tout le contexte historique de l’époque de la construction des Grandes Pyramides en Egypte, pendant la IV° Dynastie. Elle s’inscrit à l’époque du 1° Soleil méso-américain, lequel correspond avec l’arrivée sur Terre des Vigilants (anges déchus), la mort d’Adam et l’enlèvement d’Enoch. 

Nous avons de bonnes raisons de penser que les Grandes Pyramides furent construites avec l’aide des anges, peut-être celle des « Vigilants » dont parle le livre d’Enoch. Leur construction correspond à l’époque de la mort d’Adam et c’est pourquoi il est plus logique de penser qu’elles servirent de tombeau à Adam et Eve plutôt qu’à des pharaons. Le corps d’Abel, tué par Caïn aurait également pu bénéficier d’un emplacement dans l’une des trois pyramides, sans doute la plus petite, celle de Mykérinos.

Dans ces conditions, les Grandes Pyramides leur auraient servi de tombeau, celle de Chéops à Adam et celle de Khephren à Eve. La raison est facile à comprendre : Adam a été créé par Dieu, et de même Eve, tirée de son corps. Abel, figure du Christ à venir, aurait également bénéficié du même privilège. Nous comprenons alors comment les Grandes Pyramides ont pu être construite à une époque si reculée de l’histoire de l’humanité : c’est parce que leur construction a été réalisée avec l’aide des anges eux-mêmes.

Période sothiaque = 553 265 jours = 1461 x 365 jours = 1460 x 365,25 jours.

Valeur d’une année sothiaque (ou solaire réelle) : 365,25 jours.

Durée d’une période sothiaque : 1461 années (de 365 jours).

L’année égyptienne comptait 365 jours fixes (sans compter les jours des années bissextiles) et il fallait par conséquent compter 1461 années de 365 jours pour que le premier jour du premier mois de leur calendrier reprenne la même position initiale dans l’année solaire, à l’emplacement du lever de l’étoile Sirius.

Mais, d’un point de vue astronomique, il se trouve que l’année sothiaque augmente progressivement en longueur et cela provoque une « dérive » de la période sothiaque elle-même qui se « rétrécie » de période en période.

Périodes sothiaques égyptiennes calculées d’après la position réelle au 1° jour du premier mois (1° Thot) en correspondance avec le lever héliaque réel (de Sirius) :

Valeur antérieure : 4236 avant notre ère ;

1° période (après 1460 ans) : 2776 avant notre ère ;

2° période (après 1458 ans, soit 2 années de moins) : 1318 avant notre ère ;

3° période (après 1456 ans, soit 2 années de moins) : 139 de notre ère (le 21 juillet) ;

4° période (après 1452 ans, soit 4 années de moins) : 1591 de notre ère ;

5° période (après 1448 ans, soit 4 années de moins) : 3039 de notre ère.

Périodes sothiaques théoriques, déterminées par les cycles historiques :

 

a)  Création d’Adam : 4074 avant notre ère ;

b)  Premier jour de la « Création » (après un cataclysme terrestre) : 4174 avant notre ère ;

c)  Il faut ajouter les « trois premiers jours » d’avant la « Création » (c’est-à-dire : 3 x 20 ans = 60 ans), c’est-à-dire depuis le jour du « solstice d’été » inclus jusqu’au premier jour de la « Création » en analogie avec l’année solaire : 4234 avant notre ère, point de départ des périodes sothiaques égyptiennes, avant la « Création », du point de vue de l’intervention des anges sur terre.

 

 Valeur antérieure : 4234 avant notre ère ;

1° période (après 1460 ans) : 2774 avant notre ère ;

2° période (après 1460 ans) : 1314 avant notre ère ;

3° période (après 1460 ans) : 147 de notre ère ;

 

4° période (après 1460 ans) : 1607 de notre ère ;

 

5° période (après 1460 ans) : 3067 de notre ère.

 

 Nous observons que nous trouvons une différence de deux années seulement entre les deux positions chronologiques de départ des périodes sothiaques (le départ des périodes égyptiennes en 2776 av. notre ère, calculées d’après le lever réel de Sirius et le départ chronologique en 2774 av. notre ère, défini par les cycles historiques). Il se trouve que deux années de différence ne font pas un jour entier d’écart, mais seulement un demi jour (0,5 jour) dans la position du premier jour (1° Thot) du calendrier de 365 jours fixes par rapport à la position réelle du soleil ou de Sirius, car : 2 x 365 jours = 730 jours ; et d’autre part : 2 x 365,25 jours = 730,5 jours. Nous avons effectivement une différence de : 730,5 jours – 730 jours = 0,5 jour. Nous pouvons donc retenir l’année définie par les cycles historiques comme celle de la véritable position chronologique du départ réel des périodes sothiaques du calendrier égyptien, soit l’année 2774 avant notre ère, placée 1460 ans après l’année 4234 avant notre ère, année du prélude à l’intervention des anges juste avant la « Création » elle-même.

 

 

Chapitre quatrième :

Le Déluge

 

 

A.   Le Déluge babylonien

 

Le déluge babylonien (encyclopédie Larousse) :

C’est une légende insérée dans la XIème tablette du mythe de Gilgamesh. Un conseil des dieux ayant décidé de détruire le monde par le déluge, le dieu Ea donna des instructions à Outanapishtim (Noé) pour qu’il pût se sauver. Outanapishtim construisit un vaisseau et y embarqua tous les siens, toute semence de vie, tous les animaux sauvages et domestiques, tout son or et son argent. Les flots sont déchaînés ; le feu du ciel brûle ce qui n’est pas noyé. L’ouragan dure sept jours. Tour à tour, Outanapishtim lâche une colombe et une hirondelle, qui reviennent, n’ayant pas trouvé où se poser. Un corbeau ne revient pas, et Outanapishtim atterrit au sommet d’une montagne (mont Ararat). Il offre un sacrifice aux dieux, qui « accourent comme des mouches » auprès de leur seul adorateur survivant. En récompense de sa fidélité, Outanapishtim est conduit avec sa femme à la Bouche des Fleuves, où ils vivront « éternellement », alors que leurs enfants, également sauvés du déluge, repeupleront le monde que les dieux ne puniront plus jamais par une calamité collective.

On tend à admettre l’historicité d’un cataclysme en Babylonie, au IVème millénaire avant J.-C. (en réalité en 2418 av. notre ère), d’épaisses couches de limon pur recouvrant, à Our, des vestiges de civilisation.

L’épopée de Gilgamesh (selon « Les secrets des écritures oubliées », collection dirigée par Guy Rachet, Editions Robert LAFFONT) :

« En 1872, Georges Smith, étudiant des tablettes cunéiformes déposées au British Muséum où il était l’assistant du conservateur Samuel Birch, se rendit compte que ces tablettes ne contenaient pas des contrats ou des comptes mais un véritable texte littéraire. Ce Georges Smith était lui-même un personnage exceptionnel. Né en 1840 dans une famille pauvre, il apprit le métier de graveur sur cuivre. Mais il était surtout passionné par l’Orient et la Bible, car il connaissait parfaitement ces sujets.

Ayant collaboré à la gravure des planches destinées à illustrer un ouvrage de RAWLINSON, il s’éprit des cunéiformes qu’il se mit à étudier. Distingué par BIRCH, ce dernier l’embaucha pour récolter les tablettes du British Muséum ; mais bientôt il sut lire l’assyrien avec une telle aisance que BIRCH le prit comme assistant. C’est ainsi que Smith découvrit dans les tablettes le texte poétique venu du fond des âges qui rapportait l’histoire de Gilgamesh, ce personnage d’origine semi-divine qui, à l’époque sumérienne, construisit les murailles d’Uruk. Ce Gilgamesh n’était pas un personnage ordinaire et les gens d’Uruk se plaignirent aux dieux de ses violences, car in ne laissait pas un fils à son père, une fille à son aimé. Si bien que les dieux créèrent pour s’opposer à Gilgamesh un être sauvage, ENKIDU, qui vivait parmi les bêtes. Cet ENKIDU fut dompté par une courtisane et envoyé à Uruk où il lutta contre Gilgamesh avant de devenir son ami.

Les deux frères vont alors combattre un géant mythique, HUMBALA qui règne dans la montagne des cèdres (sans doute le Liban) ; revenus victorieux de cette expédition, ils vivent encore diverses aventures avant qu’ENKIDU ne soit emporté par une maladie. Gilgamesh découvre alors la réalité de la mort et il se met en quête du secret de l’immortalité. Il s’en va alors de par le monde et après de nombreuses aventures dans un univers fantastique, il parvient au bout du monde où demeure OUTA-NAPISHTIM, le Noé suméro-babylonien qui a obtenu la vie éternelle. OUTA-NAPISHTIM fait alors à son hôte le récit du Déluge qui a servi de modèle ( ?) à celui de la Bible, découverte de première importance due à la patience de Smith, car la tablette (la onzième) sur laquelle était écrit le récit, ne se trouvait pas dans le lot du British Muséum et c’est à Ninive que Smith est allé la chercher et l’a retrouvée.

Sur les indications d’OUTA-NAPISHTIM, Gilgamesh parvint à conquérir la plante d’immortalité au fond de la mer, mais il se la fit voler par un serpent et rentra à Uruk attendre la mort qu’il n’avait pu vaincre. »

Le Déluge (selon « A la recherche des cités et des mondes perdus », collection dirigée par Guy Rachet, Editions Robert LAFFONT) :

« Les Mésopotamiens nous ont laissé plusieurs récits du Déluge qui remontent à un – ou plusieurs – prototypes sumériens non encore découverts. La plus ancienne version que nous possédions (rédigée en akkadien, langue des sémites d’Akkad) est celle trouvée dans le temple de Nippur et qui date du début du 2ème millénaire avant notre ère. Dans ce récit Enki, le « Maître de la Terre » et dieu des eaux, décide d’envoyer de l’eau sur Dilmun, le paradis mythique des Sumériens : « Puisse ta ville boire de l’eau en abondance ! ». Cette eau fécondante, si précieuse dans ces régions désertiques, tombe avec tant d’abondance qu’elle submerge le monde pendant neuf mois ! Dans le poème sumérien dit « De la création et du déluge » qui date d’Hammourabi (18ème siècle avant notre ère), on apprend que les dieux du ciel Anu et Enlil décidèrent d’envoyer « un déluge de pluie » pour « détruire la semence de l’humanité ». On y montre le dieu Enki qui semble vouloir protéger un juste, roi et prêtre, ZIUDSUDDU ; ainsi retrouve-t-on celui-ci dans une grande barque pendant les sept jours du déluge.

Cependant la recension la plus complète est celle de la 11ème tablette de l’épopée de Gilgamesh, le héros sumérien, trouvée dans la bibliothèque d’Assourbanipal par Layard. Le Noé babylonien est ici OUTA-NAPISHTIM, l’aïeul de Gilgamesh. Les dieux ayant décidé de détruire l’humanité qui ne leur offrait plus de sacrifices, sur les conseils du dieu des eaux Ea (Ea est le nom sous lequel apparaît Enki dans cette épopée), OUTA-NAPISHTIM construit un bateau et y charge ses biens, sa famille, sa parenté, les animaux de la campagne, les artisans… Le bateau affronte pendant six jours une tempête si violente que même les dieux prennent peur : « Ils s’enfuient, ils montèrent aux cieux d’Anu ; les dieux s’accroupissent comme le chien, sur la muraille ils sont couchés ». Le septième jour, la tempête s’apaise et le sommet du mont Nisir sort de la mer comme une île où aborde l’arche. OUTA-NAPISHTIM lâche une colombe et une hirondelle qui reviennent ; un corbeau ensuite lâché ne revient pas ; le héros répand alors des libations et place des offrandes sur la montagne. On peut voir combien la version biblique du récit du déluge est redevable ( ?) à ce texte babylonien. Il reste à donner une explication satisfaisante de ce mythe du déluge, car les traces d’inondations locales trouvées par Woolley à Ur ne paraissent pas témoigner d’un déluge universel, tel que le décrivent les textes. »

 

Le Déluge selon Gilgamesh (Nouveau Dictionnaire Biblique, édition de 1988) :

Le récit babylonien le plus complet figure dans le poème épique de Gilgamesh. Le texte que nous possédons vient de la bibliothèque d’Assourbanipal (669-626 av. notre ère) ; c’est une copie de textes originaux beaucoup plus anciens. Cette épopée a été écrite sur 12 tablettes, dont la 11ème relate le déluge.

« Gilgamesh était roi d’Uruk (Erech). A la mort de son ami Engidu, le roi chercha un moyen de le rappeler à la vie. Sachant qu’Ut-napishtim, survivant du déluge, avait atteint l’immortalité, il partit avec Ur-Shanabi, le pilote d’Ut-napishtim, et traversa la mer en 3 jours, ce qui exigeait d’ordinaire un mois et demi. Gilgamesh demanda à Ut-napishtim comment il avait obtenu l’immortalité ; leur conversation rapporte l’histoire du déluge. Les dieux avaient résolu d’infliger un déluge à la ville de Shuruppak, située sur l’Euphrate. Ea, divinité de la sagesse, proclama leur décision devant une cabane de roseau : Ô cabane de roseau, cabane de roseau, ô mur, mur, ô cabane de roseau, écoute, ô mur, sois attentif ! Ô homme Shuruppak, fils d’Ubar-Tutu, démolis ta maison, bâtis un navire, abandonne tes biens, penses à ta vie…

Ut-napishtim était alors, semble-t-il, endormi dans la cabane, et eut un songe qui l’avertit. Il bâtit donc une nef en forme de cube, dont chacune des trois dimensions mesuraient 120 coudées ; ce bateau avait six étages ; il en divisa l’extérieur en sept parties et l’intérieur en neuf ; il l’enduisit de trois couches de bitume à l’extérieur et en mit autant à l’intérieur. On fit provision d’huile pour la consommation et pour les libations. Ut-napishtim remplit la nef d’or et d’argent ; il fit entrer dans le bateau sa famille, ses serviteurs, ses ouvriers, et les bêtes des champs. Au temps marqué, le soir, une terrible tempête s’éleva. Ut-napishtim s’embarqua et ferma la porte. A l’aube parut à l’horizon un nuage noir où tonnait Adad. Tandis que certains dieux allaient avertir montagnards et riverains, la pluie tombait. Le déluge submergea les montagnes, les habitants du ciel ne reconnaissaient plus les humains. Les dieux s’effrayèrent : les dieux eurent peur du déluge, ils s’enfuirent, gagnèrent le ciel plus élevé ; les dieux se tapirent comme fait le chien, ils s’étendirent sous les murailles ; Ishtar cria comme une femme enceinte… les dieux baissèrent la tête et pleurèrent.

Le vent souffla six jours et six nuits, l’ouragan submergea le pays, mais diminua le septième jour. Ut-napishtim dit : Je regardai la mer, elle avait cessé de mugir, et toute l’humanité était devenue de l’argile.

Puis il ouvrit la fenêtre et regarda dans tous les sens. Douze jours plus tard une île apparut ; le bateau s’arrêta finalement sur le mont Nisir. Sept jours après, Ut-napishtim lâcha une colombe qui revint ; puis une hirondelle, qui revint aussi. Enfin il libéra un corbeau. A ce propos, il dit : Le corbeau sortit, vit les eaux s’abaisser ; il se posa, pataugea, croassa, ne revint pas.

Ut-napishtim expédia ensuite aux quatre points cardinaux tout ce qui était dans l’arche et fit un sacrifice au sommet d’une montagne. Il disposa les vases du sacrifice en rang de sept et amoncela derrière eux des roseaux, du bois de cèdre, des rameaux de myrte. Les dieux furent satisfaits, car Ut-napishtim dit : Les dieux respirèrent l’arôme, les dieux humèrent la douce saveur, les dieux s’assemblèrent autour du sacrifice comme des mouches.

Les dieux, semble-t-il, n’approuvèrent finalement pas le déluge ; Ishtar dit d’Enlil : Il manqua de sagesse ; il envoya le déluge, et dénombra mon peuple pour le détruire.

Ea dit à Enlil : Comment as-tu pu, subitement, envoyer un déluge ? Que le poids de son péché pèse sur le coupable, que le pécheur soit chargé de son méfait ; soit patient, n’envoie pas le déluge, aie pitié ! Que les hommes ne périssent pas !

Ea, descendu sur le bateau, fit comparaître Ut-napishtim et son épouse. Il les bénit et leur octroya l’immortalité. »

 

 

B.   Le Déluge biblique

 

Genèse, chapitre 6 :
 

1 Et il arriva quand les hommes commencèrent à se multiplier sur la face de la terre et que des filles leur furent nées, 2 que les fils de Dieu virent les filles des hommes, qu’elles étaient belles, et ils se prirent des femmes d’entre toutes celles qu’ils choisirent. 3 Et l’Éternel dit : Mon Esprit ne contestera pas à toujours avec l’homme, puisque lui n’est que chair; mais ses jours seront cent vingt ans. 4 Les géants étaient sur la terre en ces jours-là, et aussi après que les fils de Dieu furent venus vers les filles des hommes et qu’elles leur eurent donné des enfants : ceux-ci furent les vaillants hommes de jadis, des hommes de renom.


5 Et l’Éternel vit que la méchanceté de l’homme était grande sur la terre, et que toute l’imagination des pensées de son cœur n’était que méchanceté en tout temps.6 Et l’Éternel se repentit d’avoir fait l’homme sur la terre, et il s’en affligea dans son cœur. 7 Et l’Éternel dit : J’exterminerai de dessus la face de la terre l’homme que j’ai créé, depuis l’homme jusqu’au bétail, jusqu’aux reptiles, et jusqu’aux oiseaux des cieux, car je me repens de les avoir faits. 8 Mais Noé trouva grâce aux yeux de l’Éternel.


9 Ce sont ici les générations de Noé : Noé était un homme juste ; il était parfait parmi ceux de son temps ; Noé marchait avec Dieu. 10 Et Noé engendra trois fils : Sem, Cham, et Japhet. 11 Et la terre était corrompue devant Dieu, et la terre était pleine de violence, 12 Et Dieu regarda la terre, et voici, elle était corrompue, car toute chair avait corrompu sa voie sur la terre.

13 Et Dieu dit à Noé : La fin de toute chair est venue devant moi, car la terre est pleine de violence à cause d’eux ; et voici, je vais les détruire avec la terre. 14 Fais-toi une arche de bois de gopher. Tu feras l’arche avec des loges, et tu l’enduiras de poix en dedans et en dehors. 15 Et c’est ainsi que tu la feras : la longueur de l’arche sera de trois cents coudées (135 mètres), sa largeur de cinquante coudées (22,50 mètres), et sa hauteur de trente coudées (13,50 mètres). 16 Tu feras un jour à l’arche, et tu l’achèveras en [lui donnant] une coudée (0,45 mètre) d’en haut ; et tu placeras la porte de l’arche sur son côté ; tu y feras un étage inférieur, un second, et un troisième.


17 Et moi, voici, je fais venir le déluge d’eaux sur la terre, pour détruire de dessous les cieux toute chair en laquelle il y a esprit de vie ; tout ce qui est sur la terre expirera. 18 Et j’établis mon alliance avec toi, et tu entreras dans l’arche, toi, et tes fils et ta femme et les femmes de tes fils avec toi. 19 Et de tout ce qui vit, de toute chair, tu feras entrer dans l’arche deux de chaque [espèce], pour les conserver en vie avec toi ; ce seront le mâle et la femelle. 20 Des oiseaux selon leur espèce, et du bétail selon son espèce, de tout reptile du sol selon son espèce, deux de chaque [espèce] entreront vers toi, pour [les] conserver en vie. 21 Et toi, prends de tout aliment qui se mange, et tu en feras provision près de toi et cela vous sera pour nourriture, à toi et à eux. 22 Et Noé le fit ; selon tout ce que Dieu lui avait commandé, ainsi il fit.
 

Genèse, chapitre 7 :
 

1 Et l’Éternel dit à Noé : Entre dans l’arche, toi et toute ta maison, car je t’ai vu juste devant moi en cette génération. 2 De toutes les bêtes pures tu prendras sept par sept, le mâle et sa femelle, et des bêtes qui ne sont pas pures, deux, le mâle et sa femelle ; 3 de même des oiseaux des cieux, sept par sept, mâle et femelle, pour conserver en vie une semence sur la face de toute la terre. 4 Car encore sept jours, et je fais pleuvoir sur la terre pendant quarante jours et quarante nuits, et j’exterminerai de dessus la face de la terre tout ce qui existe [et] que j’ai fait.


5 Et Noé fit selon tout ce que l’Éternel lui avait commandé. 6 Et Noé était âgé de six cents ans quand le déluge eut lieu [et qu’il vint] des eaux sur la terre. 7 Et Noé entra dans l’arche, et ses fils et sa femme et les femmes de ses fils avec lui, à cause des eaux du déluge. 8 Des bêtes pures, et des bêtes qui ne sont pas pures, et des oiseaux, et de tout ce qui rampe sur le sol, 9 il en entra deux par deux vers Noé dans l’arche, mâle et femelle, comme Dieu l’avait commandé à Noé.


10 Et il arriva, au bout de sept jours, que les eaux du déluge furent sur la terre. 11 L’an six cent de la vie de Noé, au second mois, le dix-septième jour du mois, en ce jour-là, toutes les fontaines du grand abîme se rompirent et les écluses des cieux s’ouvrirent ; 12 et la pluie fut sur la terre quarante jours et quarante nuits. 13 En ce même jour-là, Noé, et Sem et Cham et Japhet, fils de Noé, et la femme de Noé, et les trois femmes de ses fils avec eux, entrèrent dans l’arche, 14 eux, et tous les animaux selon leur espèce, et tout le bétail selon son espèce, et tous les reptiles qui rampent sur la terre selon leur espèce, et tous les oiseaux selon leur espèce, tout oiseau de toute aile ; 15 et ils entrèrent vers Noé dans l’arche, deux par deux, de toute chair ayant en elle esprit de vie. 16 Et ce qui entra, entra mâle et femelle, de toute chair, comme Dieu le lui avait commandé. Et l’Éternel ferma [l’arche] sur lui.

17 Et le déluge fut sur la terre quarante jours ; et les eaux crûrent et soulevèrent l’arche, et elle fut élevée au-dessus de la terre. 18 Et les eaux se renforcèrent et crûrent beaucoup sur la terre ; et l’arche flottait sur la face des eaux. 19 Et les eaux se renforcèrent extraordinairement sur la terre ; et toutes les hautes montagnes qui étaient sous tous les cieux furent couvertes. 20 Les eaux se renforcèrent de quinze coudées par-dessus, et les montagnes furent couvertes. 21 Et toute chair qui se mouvait sur la terre expira, tant les oiseaux que le bétail et les bêtes [des champs] et tout ce qui fourmille sur la terre, et tout homme. 22 Tout ce qui avait le souffle de vie dans ses narines, de tout ce qui était sur la terre sèche, mourut. 23 Et tout ce qui existait sur la face de la terre fut détruit, depuis l’homme jusqu’au bétail, jusqu’aux reptiles et jusqu’aux oiseaux des cieux : ils furent détruits de dessus la terre ; et il ne resta que Noé et ce qui était avec lui dans l’arche.


24 Et les eaux se renforcèrent sur la terre, cent cinquante jours.
 

Genèse, chapitre 8 :

1 Et Dieu se souvint de Noé, et de tous les animaux et de tout le bétail, qui étaient avec lui dans l’arche ; et Dieu fit passer un vent sur la terre, et les eaux baissèrent ; 2 et les fontaines de l’abîme et les écluses des cieux furent fermées, et la pluie qui tombait du ciel fut retenue.
3 Et les eaux se retirèrent de dessus la terre, allant et se retirant ; et les eaux diminuèrent au bout de cent cinquante jours. 4 Et l’arche reposa sur les montagnes d’Ararat, au septième mois, au dix-septième jour du mois.


5 Et les eaux allèrent diminuant jusqu’au dixième mois ; au dixième mois, le premier jour du mois, les sommets des montagnes apparurent. 6 Et il arriva, au bout de quarante jours, que Noé ouvrit la fenêtre de l’arche qu’il avait faite ; 7 et il lâcha le corbeau, qui sortit, allant et revenant jusqu’à ce que les eaux eussent séché de dessus la terre. 8 Et il lâcha d’avec lui la colombe, pour voir si les eaux avaient baissé sur la face du sol ; 9 mais la colombe ne trouva pas où poser la plante de son pied, et revint à lui dans l’arche, car les eaux étaient sur la face de toute la terre ; et il étendit sa main, et la prit, et la fit entrer auprès de lui dans l’arche. 10 Et il attendit encore sept autres jours, et il lâcha de nouveau la colombe hors de l’arche. 11 Et la colombe vint à lui au temps du soir, et voici, dans son bec, une feuille d’olivier arrachée. Et Noé sut que les eaux avaient baissé sur la terre. 12 Et il attendit encore sept autres jours, et il lâcha la colombe, et elle ne revint plus de nouveau vers lui.

13 Et il arriva, l’an six cent un (de la vie de Noé), au premier [mois], le premier [jour] du mois, que les eaux furent séchées de dessus la terre ; et Noé ôta la couverture de l’arche et regarda, et voici, la face du sol avait séché. 14 Et au second mois, le vingt-septième jour du mois, la terre fut sèche.


15 Et Dieu parla à Noé, disant : 16 Sors de l’arche, toi, et ta femme et tes fils et les femmes de tes fils avec toi. 17 Fais sortir avec toi tout animal qui est avec toi, de toute chair, tant oiseaux que bétail, et tout reptile qui rampe sur la terre, et qu’ils foisonnent en la terre, et fructifient et multiplient sur la terre. 18 Et Noé sortit, et ses fils, et sa femme et les femmes de ses fils avec lui. 19 Tout animal, tout reptile et tout oiseau, tout ce qui se meut sur la terre, selon leurs espèces, sortirent de l’arche.

20 Et Noé bâtit un autel à l’Éternel, et prit de toute bête pure et de tout oiseau pur, et offrit des holocaustes sur l’autel. 21 Et l’Éternel flaira une odeur agréable; et l’Éternel dit en son cœur : Je ne maudirai plus de nouveau le sol à cause de l’homme, car l’imagination du cœur de l’homme est mauvaise dès sa jeunesse ; et je ne frapperai plus de nouveau tout ce qui est vivant, comme je l’ai fait. 22 Désormais, tant que seront les jours de la terre, les semailles et la moisson, et le froid et le chaud, et l’été et l’hiver, et le jour et la nuit, ne cesseront pas.
 

Chapitre 8

Commentaire :

Le mont Ararat, situé en Arménie dans la Turquie orientale, culmine à 5 165 mètres d’altitude, ce qui a fait croire pendant longtemps que le Déluge de Noé n’était qu’un mythe. Mais la présence de l’Arche de Noé sur ce mont a été signalée à plusieurs reprises : d’abord par des ouvriers turcs en 1839 et ensuite, en 1955, par les alpinistes français Navarra et De Riquier qui dégagèrent une partie de la structure en bois enfouie sous la glace ; ils ramenèrent un morceau de poutre et les analyses faites démontrèrent qu’il s’agissait d’une pièce de chêne équarrie, âgée d’environ 5 000 ans. Or le Déluge de la Genèse a eu lieu de 2418 à 2417 av. notre ère, ce qui lui faisait exactement 4 372 années d’ancienneté en 1955 (2418 av. notre ère à 1955). Depuis, il y a eu bien d’autres témoins et un film de l’Arche a même été diffusé sur FR3. Mais, après cela, cette information est restée étrangement très « occultée ».

Genèse, chapitre 7, 10-16 :
10 Et il arriva, au bout de sept jours, que les eaux du déluge furent sur la terre. 11 L’an six cent de la vie de Noé, au second mois, le dix-septième jour du mois, en ce jour-là, toutes les fontaines du grand abîme se rompirent et les écluses des cieux s’ouvrirent ; 12 et la pluie fut sur la terre quarante jours et quarante nuits. 13 En ce même jour-là, Noé, et Sem et Cham et Japhet, fils de Noé, et la femme de Noé, et les trois femmes de ses fils avec eux, entrèrent dans l’arche, 14 eux, et tous les animaux selon leur espèce, et tout le bétail selon son espèce, et tous les reptiles qui rampent sur la terre selon leur espèce, et tous les oiseaux selon leur espèce, tout oiseau de toute aile ; 15 et ils entrèrent vers Noé dans l’arche, deux par deux, de toute chair ayant en elle esprit de vie. 16 Et ce qui entra, entra mâle et femelle, de toute chair, comme Dieu le lui avait commandé. Et l’Éternel ferma [l’arche] sur lui.
 

Genèse, chapitre 8, 1-3 :
« 1 Et Dieu se souvint de Noé, et de tous les animaux et de tout le bétail, qui étaient avec lui dans l’arche ; et Dieu fit passer un vent sur la terre, et les eaux baissèrent ; 2 et les fontaines de l’abîme et les écluses des cieux furent fermées, et la pluie qui tombait du ciel fut retenue.
3 Et les eaux se retirèrent de dessus la terre, allant et se retirant ; et les eaux diminuèrent au bout de cent cinquante jours. 4 Et l’arche reposa sur les montagnes d’Ararat, au septième mois, au dix-septième jour du (7°) mois. »

 

Le texte du Déluge fait référence à la date de naissance de Noé pour fixer un calendrier des événements du Déluge ; il apparaît que depuis le 17° jour du deuxième mois jusqu’au 17° jour du septième mois, il s’est passé un cycle précis de 150 jours. Nous remarquons en effet que nous comptons « cinq mois » (du 2° au 7° mois) mentionnés par ailleurs comme une période de « 150 jours », ce qui signifie que le calendrier de Noé comptait des mois invariables de trente jours :

5 x 30 jours = 150 jours.

Du premier jour du premier mois du 600° anniversaire de la naissance de Noé jusqu’au premier jour du dixième mois, lorsque les sommets des montagnes apparaissent vus de l’Arche, neuf mois de 30 jours se sont écoulés, soit 270 jours.

Ensuite, le premier jour du premier mois de l’an 601 de la vie de Noé, lorsque Noé ôta la toiture de l’Arche, une année de 365 jours s’était écoulée, laquelle avait commencé en même temps que le cycle de neuf mois dont nous venons de parler. Par conséquent, depuis la fin du cycle de 9 mois, ou de 270 jours, jusqu’au moment où Noé fêtait son 601° anniversaire, il s’était passé 95 jours :

365 jours – 270 jours = 95 jours.

Or, dans ces 95 jours, nous avons trois mois de trente jours et cinq jours additionnels, lesquels sont les cinq jours « épagomènes » du calendrier égyptien qui définit les périodes sothiaques de 1460 ans :

v      Année du calendrier égyptien : 12 x 30 jours = 360 jours ; 360 jour + 5 jours = 365 jours = une année solaire égyptienne.

v      Année du calendrier de Noé : 95 jours = 30 jours + 30 jours + 30 jours + 5 jours ; 270 jours [9 x 30 jour] + 95 jours = 365 jours = 360 jours + 5 jours « épagomènes ».

 

La date citée de la sortie de l’Arche était le 27° jour du 2° mois de l’an 601 de la vie de Noé, soit un an et dix jours (ou 375 jours) depuis le 17° jour du même 2° mois de l’année précédente, lorsque commençait le Déluge. Le Déluge a duré 375 jours (un an et 10 jours) jusqu’à la sortie de l’Arche. 375 jours font aussi 12,5 x 30 jours.

Il y a eu en tout :

1°) Douze mois de trente jours, soit 360 jours (12 x 30 jours = 360 jours) :

2°) Cinq jours additionnels, soit 365 jours (360 jours + 5 jours = 365 jours) ;

3°) Dix jours qu’il faut à nouveau ajouter, car ils séparent le 27° jour du 17° jour du même « deuxième mois » de l’année (le 27° jour du 2° mois – le 17° jour du 2° mois = 10 jours), soit 375 jours (365 jours + 10 jours = 375 jours).

Soit : 360 jours + 5 jours + 10 jours = 375 jours.

 

Récapitulatif chronologique :

a)  L’an 600, le 2° mois (Paophi), le 10° jour (de la vie de Noé), sept jours avant le Déluge, Noé est averti (il avait alors 600 ans et 39 jours) :

« 4 Car encore sept jours, et je fais pleuvoir sur la terre pendant quarante jours et quarante nuits, et j’exterminerai de dessus la face de la terre tout ce qui existe et que j’ai fait. »

b)  L’an 600, le 2° mois (Paophi), le 17° jour (de la vie de Noé qui avait 600 ans et 46 jours), le Déluge commence :

« 5 Et Noé fit selon tout ce que l’Éternel lui avait commandé. 6 Et Noé était âgé de six cents ans quand le déluge eut lieu et qu’il vint des eaux sur la terre. 10 Et il arriva, au bout de sept jours, que les eaux du déluge furent sur la terre. 11 L’an six cent de la vie de Noé, au second mois, le dix-septième jour du mois, en ce jour-là, toutes les fontaines du grand abîme se rompirent et les écluses des cieux s’ouvrirent ; 12 et la pluie fut sur la terre quarante jours et quarante nuits. 13 En ce même jour-là, Noé, et Sem et Cham et Japhet, fils de Noé, et la femme de Noé, et les trois femmes de ses fils avec eux, entrèrent dans l’arche. »

c)  L’an 600, le 3° mois (Athyr), le 27° jour (de la vie de Noé qui avait 600 ans et 86 jours), fin de la montée des 40 jours premiers jours du Déluge :

« 17 Et le déluge fut sur la terre quarante jours ; et les eaux crûrent et soulevèrent l’arche, et elle fut élevée au-dessus de la terre. 18 Et les eaux se renforcèrent et crûrent beaucoup sur la terre ; et l’arche flottait sur la face des eaux. 19 Et les eaux se renforcèrent extraordinairement sur la terre ; et toutes les hautes montagnes qui étaient sous tous les cieux furent couvertes. 20 Les eaux se renforcèrent de quinze coudées par-dessus, et les montagnes furent couvertes. 21 Et toute chair qui se mouvait sur la terre expira, tant les oiseaux que le bétail et les bêtes des champs et tout ce qui fourmille sur la terre, et tout homme. »

d)  L’an 600, le 7° mois (Phaménoth), le 17° jour (de la vie de Noé qui avait 600 ans et 196 jours), l’Arche se pose sur l’Ararat :

150 jours sont passés depuis le début du Déluge.

« 24 Et les eaux se renforcèrent sur la terre, cent cinquante jours. 3 Et les eaux se retirèrent de dessus la terre, allant et se retirant ; et les eaux diminuèrent au bout de cent cinquante jours. 4 Et l’arche reposa sur les montagnes d’Ararat, au septième mois, au dix-septième jour du mois. »

e)  L’an 600, le 10° mois (Payni), le 1° jour (de la vie de Noé qui avait 600 ans et 270 jours), les sommets des montagnes apparaissent vus de l’Arche :

90 jours (3 mois après le 7° mois) - 16 jours (différence du 1° jour au 17° jour) = 74 jours ; 74 jours + 150 jours (déjà passés) = 224 jours. Il y a donc 224 jours depuis le début du Déluge jusqu’à ce que les sommets des montagnes apparaissent vus de l’Arche.

« 5 Et les eaux allèrent diminuant jusqu’au dixième mois ; au dixième mois, le premier jour du mois, les sommets des montagnes apparurent. »

f) Quarante jours (11° jour d’Epiphi, 11° mois) après « l’an 600, 10° mois, 1° jour (de la vie de Noé) », le corbeau et la colombe sont lâchés (cela faisait : 9 x 30 = 270 jours ; 270 jours + 40 jours = 310 jours passés depuis la date anniversaire de la vie de Noé) :

224 jours  + 40 jours = 264 jours qui s’étaient passés depuis le commencement du Déluge jusqu’à ce que le corbeau et la colombe soient lâchés.

« 6 Et il arriva, au bout de quarante jours, que Noé ouvrit la fenêtre de l’arche qu’il avait faite ; 7 et il lâcha le corbeau, qui sortit, allant et revenant jusqu’à ce que les eaux eussent séché de dessus la terre. »

g)  Quarante sept jours (18° jour d’Epiphi, 11° mois) après « l’an 600, 10° mois, 1° jour (de la vie de Noé) », la colombe est lâchée pour la deuxième fois (cela faisait : 9 x 30 = 270 jours ; 270 jours + 40 jours = 310 jours ; 310 jours + 7 jours = 317 jours passés depuis la date anniversaire de la vie de Noé) :

224 jours  + 40 jours + 7 jours = 271 jours qui s’étaient passés depuis le commencement du Déluge jusqu’à ce que la colombe soit à nouveau lâchée.

« 10 Et il attendit encore sept autres jours, et il lâcha de nouveau la colombe hors de l’arche. 11 Et la colombe vint à lui au temps du soir, et voici, dans son bec, une feuille d’olivier arrachée. Et Noé sut que les eaux avaient baissé sur la terre. »

h)  Cinquante-quatre jours (25° jour d’Epiphi, 11° mois) après « l’an 600, 10° mois, 1° jour (de la vie de Noé) », la colombe ne revient plus (cela faisait : 9 x 30 = 270 jours ; 270 jours + 40 jours = 310 jours ; 310 jours + 7 jours = 317 jours ; 317 jours + 7 jours = 324 jours passés depuis la date anniversaire de la vie de Noé) :

224 jours  + 40 jours + 7 jours + 7 jours = 278 jours qui s’étaient passés depuis le commencement du Déluge jusqu’à ce que la colombe soit lâchée pour la troisième fois et ne revienne plus.

« 12 Et il attendit encore sept autres jours, et il lâcha la colombe, et elle ne revint plus de nouveau vers lui. »

i)   L’an 601, le premier mois (Thot), le 1° jour du mois, la couverture de l’Arche est ôtée (cela faisait : 9 x 30 = 270 jours ; 270 jours + 40 jours = 310 jours ; 310 jours + 7 jours = 317 jours ; 317 jours + 7 jours = 324 jours ; 324 jours + 41 jours = 365 jours passés depuis la date anniversaire de la vie de Noé) :

L’an 600, le 2° mois, le 17° jour (de la vie de Noé), le Déluge commence : cela faisait 46 jours (30 jours + 16 jours passés = 46 jours) après la date anniversaire de Noé. Il y a donc : 365 jours – 46 jours = 319 jours passés après le début du Déluge lorsque Noé retire la couverture de l’Arche. Cela se produisit 41 jours après le troisième départ de la colombe (319 jours – 278 jours).

« 13 Et il arriva, l’an six cent un (de la vie de Noé), au premier mois, le premier jour du mois, que les eaux furent séchées de dessus la terre ; et Noé ôta la couverture de l’arche et regarda, et voici, la face du sol avait séché. »

j)   L’an 601, le 2° mois, le 27° jour du mois, la terre est sèche (cela faisait 56 jours passés depuis la date anniversaire de la vie de Noé) :

L’an 600, le 2° mois, le 17° jour (de la vie de Noé), le Déluge commence : il y a donc 365 jours + 10  jours (différence du 17° jour au 27° jour) = 375 jours passés après le début du Déluge. Cela se produisit 56 jours après le retrait de la couverture de l’Arche (375 jours – 319 jours).

« 14 Et au second mois, le vingt-septième jour du mois, la terre fut sèche. »

 

Cycles du Déluge en nombre de jours :

40 jours (montée des eaux) + 110 jours (jusqu’à ce que l’Arche se pose sur le mont Ararat) + 74 jours (jusqu’à ce que les sommets des montagnes apparurent) + 40 jours (jusqu’à ce que le corbeau soit lâché et ne revienne pas) + 7 jours (jusqu’à ce que la colombe soit relâchée et revienne avec une feuille d’olivier dans son bec) + 7 jours (jusqu’à ce que la colombe soit à nouveau relâchée et ne revienne plus) + 41 jours (jusqu’à ce que la couverture de l’arche soit retirée)  + 56 jours (jusqu’à ce que la terre soit sèche) = 375 jours.

Soit trois périodes (150 jours + 128 jours + 97 jours) :

a) Les 150 premiers jours (montée des eaux qui couvrent la terre jusqu’à ce que l’Arche se pose sur l’Ararat) :

40 jours = 30 jours + 10 jours ;

110 jours = 30 jours + 30 jours + 30 jours + 20 jours.

1° total : 40 jours + 110 jours = 150 jours.

 

b) Les 128 jours suivants (jusqu’à ce que la colombe ne revienne plus) :

74 jours = 30 jours + 30 jours + 14 jours ;

40 jours = 30 jours + 10 jours ;

14 jours = 7 jours + 7 jours.

2° total : 150 jours + 74 jours + 40 jours + 14 jours = 278 jours.

 

c) Les 97 derniers jours (jusqu’à ce que la terre soit sèche) :

41 jours = 30 jours + 11 jours ;

56 jours = 30 jours + 26 jours.

3° total : 278 jours + 41 jours + 56 jours = 375 jours

Il apparaît que les phases du Déluge se divisent en trois périodes : une première période de 150 jours (5 mois), une seconde période de 128 jours (4 mois et 8 jours) et une troisième période de 97 jours (3 mois et 7 jours), ce qui fait au total 375 jours (12,5 x 30 jours) ou 360 jours et 15 jours, soit :

Un premier cycle de 360 jours (12 x 30 jours) auquel il faut ajouter 5 jours supplémentaires pour faire une année solaire de 365 jours, laquelle est augmentée de 10 jours pour obtenir les 375 jours (12,5 x 30 jours) du début du Déluge jusqu’à la sortie de l’Arche.

Les mois de trente jours ne sont pas comptés à partir du premier jour du Déluge, mais à partir du jour de la date de l’anniversaire de Noé, ce qui a rendu le calcul chronologique du Déluge plus difficile. Il est possible que l’anniversaire de Noé tombait le premier jour du premier mois du calendrier égyptien, c’est-à-dire le 1° Thot. Dans ce cas, la reconstitution de toutes les dates du Déluge est devenue possible. Par ailleurs, la précision remarquable de ces dates, reconstituées grâce au texte de la Genèse, permet de penser que ces événements se sont réellement produits, conformément à ce qui est écrit. Cette double correspondance, d’une part avec le calendrier égyptien et d’autre part avec les données de la Genèse, peut être considérée comme une « preuve par neuf » de l’accomplissement réel du Déluge à l’époque de Noé.

 

Reconstitution des dates du Déluge :

 

L’an 600 de la vie de Noé (2418 av. notre ère), le 2° mois (Paophi), le 10° jour :

Noé est prévenu de l’arrivée du Déluge une semaine plus tôt.

Le 2° mois (Paophi), le 17° jour :

Début du Déluge.

Le 3° mois (Athyr), le 27° jour :

Montée des eaux pendant les quarante premiers jours du Déluge.

Le 7° mois (Phaménoth), le 17° jour :

L’Arche se posa sur le mont Ararat 110 jours après la fin de la montée des eaux ou 150 jours après le début du Déluge.

Le 10° mois (Payni), le 1° jour :

Les sommets des montagnes apparaissent vus de l’Arche (apparition des terres comme pendant la Création) 74 jours après l’échouage de l’Arche sur l’Ararat. 224 jours sont passés après le début du Déluge.

Le 11° mois, Epiphi, le 11° jour :

Le corbeau et la colombe sont lâchés 40 jours après l’apparition des sommets des montagnes, mais seule la colombe revient. 264 jours sont passés après le début du Déluge.

Le 11° mois, Epiphi, le 18° jour :

La colombe relâchée sept jours plus tard revient avec une feuille d’olivier dans son bec. 271 jours sont passés après le début du Déluge.

Le 11° mois, Epiphi, le 25° jour :

La colombe relâchée (pour la troisième fois) après une semaine ne revient plus. 278 jours sont passés après le début du Déluge.

L’an 601 de la vie de Noé (2417 av. notre ère), le premier mois (Thot), le 1° jour :

Noé retire la couverture de l’Arche 41 jours après le dernier départ de la colombe. 319 jours sont passés après le début du Déluge.

Le 2° mois, le 27° jour :

Sortie de l’Arche 56 jours après avoir retiré la couverture de l’Arche. 375 jours sont passés après le début du Déluge.

 

Conclusion sur le déluge :

Le Déluge de Noé eut lieu en 2418 av. notre ère, ce qui donne 1860 ans passés à la mort de Solon (2418 – 558).

9000 ans doit être compris comme « 1800 ans », soit 9000 ans / 5.

En effet, 2418 av. notre ère – 1800 ans = 618 av. notre ère, date qui correspond avec l’âge de Solon lorsqu’il avait 22 ans (640 av. notre ère – 22 ans).

Année solaire de 365 jours / 5 = 73 jours.

Les « 9000 ans » ne sont pas des années solaires, mais en réalité 9000 périodes de 73 jours, car la période de 73 jours avait la particularité de s’accorder à la fois avec les révolutions synodiques de Vénus et l’année solaire :

2920 jours = 40 x 73 jours = 8 x 365 jours = 5 x 584 jours (ou 5 révolutions synodiques de Vénus).

Dans ces conditions, la destruction de l’Atlantide correspond avec celle de la civilisation antédiluvienne dont parle le livre d’Enoch, laquelle se fit par le Déluge de Noé décrit dans le livre de la Genèse. L’île dont il est question dans le récit de Platon était aussi grande que les rives de la Méditerranée orientale et se situait au-delà des colonnes d’Hercule ; or, à l’époque, il fallait contourner l’Afrique pour pouvoir accéder à l’Océan Indien par mer (comme le firent les Phéniciens) et rejoindre le Golfe Persique jusqu’à Sumer, « l’île » comprenant l’Arabie, la Mésopotamie et la Perse ; en y ajoutant la région de l’Indus, cette contrée était en effet plus étendue que les terres qui se trouvaient autour de la Méditerranée orientale.

Il se trouve que les premières civilisations des descendant d’Adam avant le Déluge se trouvèrent en Mésopotamie, en Egypte et dans la vallée de l’Indus (Mohenjo-Daro). La notion « d’île » correspondrait de nos jours à « foyer de civilisation », ici celle de l’époque antédiluvienne. Ce n’est donc pas d’un continent englouti sous la mer qu’il s’agissait, mais d’une région du globe terrestre submergée par les eaux des pluies et la montée des eaux de la mer ; les eaux de la mer se retirèrent dans l’année qui suivit, car Noé resta dans l’Arche avec sa famille un peu plus d’un an. La mer était montée jusqu’au sommet du mont Ararat où échoua l’Arche, le septième mois (Genèse ch. 8, verset

Une étude approfondie du texte de l’Atlantide de Platon fait ressortir que ce n’est pas à Mohenjo-Daro dans l’Indus que se trouvait l’Atlantide à proprement parler, mais à Sumer en Mésopotamie. Les dimensions du territoire correspondent avec la vallée de Mésopotamie, de même que les relations de l’Atlantide avec les pays qui l’environnaient, en fait, les mêmes que ceux qui entouraient Sumer.

Sumer a été le centre de la première civilisation de l’humanité, laquelle fut initiée par les anges déchus selon le livre d’Enoch. A l’Est, il y avait Mohenjo-Daro dans la vallée de l’Indus, à l’Ouest l’Egypte, au Nord-Ouest en remontant les fleuves (Tigre et Euphrate) il y avait l’Asie Mineure, laquelle donnait sur la Grèce et l’Italie.

Une ligne droite peut être tracée depuis l’Italie jusqu’en Mohenjo-Daro dans la vallée de l’Indus : c’est sur cette ligne droite que se développa la civilisation d’avant le Déluge, longue d’environ 6500 kilomètres. Cela permet de penser que les pôles étaient placés perpendiculairement à cette ligne, de l’Oural vers le Sud de l’Afrique.

Le retournement du globe terrestre expliquerait le Déluge à l’époque de Noé : l’actuel pôle Sud se trouvait au Nord, et en se déplaçant il fit face au soleil, ce qui provoqua la fonte des glaces et la montée des eaux de la mer, en particulier de l’Océan Indien en direction des rives du continent Indien et du Moyen-Orient.

Le globe terrestre se stabilisa après le renversement des pôles et l’Atlantide disparue ressurgit des eaux, mais les rives de Sumer devinrent impraticables, à cause de l’envasement du golfe Persique.

 

Longueur de l’Arche de Noé retrouvée : 158,46 mètres.

Valeur déterminée de la coudée utilisée par Noé :

158,46 mètres / 300 coudées = 0,5282 m.

Largeur de l’Arche de Noé :

0,5282 m x 50 coudées = 26,41 m.

Hauteur de l’arche de Noé :

0,5282 x 30 coudées = 15,846 m.

Système des mesures utilisées par Noé (avant le Déluge) :

 

 

Conclusion :

La vérité sur les cycles historiques

 

Les cycles du calendrier mésoaméricain sont formés par un ensemble de 5 "Soleils" de « 1040 ans » chacun, soit un ensemble cyclique de « 52 siècles ».


Le début du 5ème "Soleil" se célébra en 987 de notre ère (date connue de tous les historiens) ; 520 ans plus tard (1040 ans / 2), en 1507, les feux nouveaux furent célébrés par les Aztèques, juste au milieu du cycle de 1040 ans du 5ème "Soleil" (date également connue de tous les historiens). Nous avons ici la preuve irréfutable que les cycles du calendrier mésoaméricain comptaient bel et bien des années solaires réelles de 365 jours (et non pas des cycles de 360 jours).
Or l'erreur des archéologues fut de compter des années de 360 jours (18 x 20 jours) et cela donna 1040 fois 360 jours (soit 374400 jours = 1025 années solaires), soit la détermination erronée de l'année 2012 pour dater la fin du 5ème "Soleil" (987 + 1025 ans = 2012). Or en fait le 5ème "Soleil" ne se terminera pas avant l’année 2027 (987 + 1040 ans = 2027). L’année mésoaméricaine comptait en réalité 365 jours, car il fallait lui ajouter 5 jours supplémentaires (lit annuel), comme dans l’ancien calendrier égyptien : 18 x 20 jours = 12 x 30 jours = 360 jours, auxquels il était toujours ajouté 5 jours pour obtenir une année solaire effective de 365 jours.

 

Preuves que l’année du calendrier mésoaméricain compte bien 365 jours (et non 360 jours) :

 

a) Cycle de 8 années solaires du calendrier mésoaméricain :

8 x 365 jours = 2920 jours = 5 x 584 jours ou 5 révolutions synodiques de Vénus.

 

b) Cycle de 52 ans du calendrier mésoaméricain :

52 x 365 jours = 18980 jours = 73 x 260 jours (le cycle de 260 jours représente le tiers de 780 jours, révolution synodique de Mars).

 

c) Cycle de 20 ans du calendrier Maya :

20 x 365 jours = 7300 jours = 63 x 115,8763 jours ou 63 révolutions synodiques de Mercure. Observons ici que les cycles du calendrier Maya sont les mêmes que ceux du calendrier Aztèque.

 

 

 

 

 Le système cyclique du calendrier Maya ou mésoaméricain comprend 5 ères ou "Soleils" de 1040 ans chacun.

Un « Soleil Maya » = 1040 x 365 jours = 650 révolutions synodiques de Vénus = 52 x 20 ans ou 3 276 révolutions synodiques de Mercure = 1460 x 260 jours (1/3 de la révolution synodique de Mars).

Fin du quatrième "soleil" : 987 de notre ère, date reconnue par tous les historiens sans exception.

Milieu d’un cycle de 1040 ans : 1040 ans / 2 = 520 ans.

« Feux nouveaux » pour célébrer le milieu du « quatrième soleil » par les Aztèques :

987 de notre ère + 520 ans = 1507 de notre ère (1507 de notre ère = date universellement reconnue).

Fin du quatrième « soleil » Aztèque » :

1507 de notre ère + 520 ans (qui restent sur 1040 ans) = 2027 de notre ère.

987 de notre ère + 1040 ans = 2027 de notre ère (et non 2012).

Dates du cinquième "soleil" : 987 à 2027 de notre ère.

Les années du calendrier mésoaméricain sont des années de 365 jours (et non de 360 jours). C'est en comptant des années de 360 jours, que la fin du cinquième et dernier cycle a été fixé en 2012 ; mais c'est un calcul erroné qui n'a jamais été corrigé par les archéologues (l'ont-ils fait exprès ?).
Année du calendrier mésoaméricain : 18 mois de 20 jours, soit 360 jours, auxquels s'ajoutent cinq jours (appelés "lit annuel"). Ces cinq jours s'ajoutent pour faire 365 jours (360 jours + 5 jours = 365 jours).

Dans le Compte Long maya, les cinq jours du « Lit annuel » existent bel et bien, mais ne sont pas chronologiquement comptés (jours chômés), d’où l’erreur des archéologues qui ont compté des années de 360 jours au lieu de 365 jours.

En réalité le dernier "soleil" mésoaméricain se terminera en 2027.
2027 correspond avec les deux millénaires accomplis de l'histoire de l'église (ère zodiacale des Poissons) car Jésus, né en 7 avant notre ère, a été crucifié en 27 de notre ère (et non en 30 ou 33).
Des découvertes très importantes ont été faites sur cette question, mais elles n'intéressent presque  « personne » (aveuglement général sur une question capitale qui concerne, non la fin du monde, mais le retour de Jésus).
En 2027, le système des cycles du calendrier Maya prend fin et en même temps l'histoire de l'église s'achève par le retour de Jésus.
L'Apocalypse s'accomplira de 2020 à 2027. Il s'agit de la soixante-dixième "semaine d'années" du prophète Daniel, chapitre 9.
Ne pas confondre le jour et l'heure avec le mois et l'année.
Voir prophète Zacharie, chapitre 14, et versets 6 et 7, auxquels Jésus s'était référé : il ne s'agit pas du mois et de l'année, mais bien du jour et de l'heure impossible à identifier, à cause d'une interférence d'espace-temps au moment du retour de Jésus : pour les uns le temps s'arrêtera, mais pas pour les autres...
Zacharie 14, 6-7 :
« 14.6 En ce jour-là, il n'y aura point de lumière; Il y aura du froid et de la glace. 14.7 Ce sera un jour unique, connu de l'Éternel, Et qui ne sera ni jour ni nuit; Mais vers le soir la lumière paraîtra. »

 

 

Patrick DOLCIANI

 

 

 

 

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Chronologie : Site “Histoire, Bible et Avenir”.

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