Bible et Calendrier Maya 

 

Journal : " Mission Mondiale Esprit et Vérité ".

Les articles les plus anciens sont archivés dans la page "archives" du Journal.

Livre « La fin du monde en 2027 ? » :

http://www.editionsoasis.com/La-fin-du-monde-en-2027-cbYaaadga.asp

 

Dernière mise à jour : 21/03/2012.

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Les Grandes Pyramides représentent le Soleil (Chéops), la Terre (Khephren) et la Lune (Mykérinos).

 

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Calendrier Cyclique de Synthèse :

Le "Compte Long" (système du calendrier maya) :

Les mois sont des cycles de 20 jours, et les mêmes noms des mois reviennent tous les 460 jours (20 jours x 23), avec le changement d'année. Nous comptons 405 lunaisons en 11960 jours (460 jours x 13 x 2). Les jours sont comptés à partir de celui de la Crucifixion de Jésus, le Fils de Dieu, mort à notre place pour accomplir notre Salut. Le numéro du jour permet d'établir une relation cyclique avec les autres jours du calendrier. Chaque nouveau cycle de 20 jours, le mois suivant est affiché ci-dessous.

(Voir tableau des Séries Initiales au bas de la page)

 

Mois (de 20 jours) : " Euterpe 2008 ".

 

NB :

J. :

Date :

31 J

103 J

Astéroïdes

Pierres :

Fruits :

Fleurs :

Vingtaine

723460

L

14/01/2008

14

92

Euterpe

Sardoine

Citrons

Géranium

Homme

723461

M

15/01/2008

15

93

Amphitrite

Cornaline

Oranges

Giroflée

Cheval

723462

MC

16/01/2008

16

94

Laetitia

Chrysolithe

Poires

Glaïeul

Tortue

723463

J

17/01/2008

17

95

Harmonie

Béryl

Abricots

Glycine

Lézard

723464

V

18/01/2008

18

96

Nysa

Topaze

Cerises

Hortensia

Serpent

723465

S

19/01/2008

19

97

Cérès

Jaspe

Olives

Iris

Requin

723466

D

20/01/2008

20

98

Pallas

Saphir

Pêches

Jacinthe

Cerf

723467

L

21/01/2008

21

99

Junon

Calcédoine

Raisin

Jasmin

Lapin

723468

M

22/01/2008

22

100

Vesta

Emeraude

Bananes

Jonquille

Dauphin

723469

MC

23/01/2008

23

101

Astrée

Sardoine

Figues

Lavande

Chien

723470

J

24/01/2008

24

102

Hébé

Cornaline

Myrtilles

Lilas

Singe

723471

V

25/01/2008

25

103

Iris

Chrysolithe

Pommes

Liseron

Fourmi

723472

S

26/01/2008

26

1

Flora

Béryl

Ananas

Lys

Taureau

723473

D

27/01/2008

27

2

Métis

Topaze

Citrons

Marguerite

Jaguar

723474

L

28/01/2008

28

3

Hygiée

Jaspe

Oranges

Menthe

Aigle

723475

M

29/01/2008

29

4

Parthénope

Saphir

Poires

Mimosa

Perroquet

723476

MC

30/01/2008

30

5

Egérie

Calcédoine

Abricots

Muguet

Papillon

723477

J

31/01/2008

31

6

Irène

Emeraude

Cerises

Myosotis

Colombe

723478

V

01/02/2008

1

7

Eunomia

Sardoine

Olives

Narcisse

Grenouille

723479

S

02/02/2008

2

8

Psyché

Cornaline

Pêches

Nénuphar

Abeille

Le "Compte Long" (système du calendrier maya) :

Les mois sont des cycles de 20 jours, et les mêmes noms des mois reviennent tous les 460 jours (20 jours x 23), avec le changement d'année. Nous comptons 405 lunaisons en 11960 jours (460 jours x 13 x 2). Les jours sont comptés à partir de celui de la Crucifixion de Jésus, le Fils de Dieu, mort à notre place pour accomplir notre Salut. Le numéro du jour permet d'établir une relation cyclique avec les autres jours du calendrier. Chaque nouveau cycle de 20 jours, le mois suivant est affiché ci-dessus.

(Voir tableau des Séries Initiales au bas de la page)

 

Fin du monde en 2027 :

http://www.leseditionsdunet.com/histoire-et-actualites/404-fin-du-monde-en-2027-patrick-dolciani-9782312002576.html

Livre « Fin du monde en 2027 » (14 pages affichées) :

http://www.u-reed.com/lecteur.php?id=270&width=580&height=848&bg=FFFFFF

 

 

Les Articles du Journal :

 

Article N° 62 :

 

Mercredi 5 mai 2010 :

 Les 144 000 Serviteurs de Dieu de l’Apocalypse, chapitre 7, 1-8 :

Pour comprendre le passage de l’Apocalypse qui annonce l’apparition des 144 000 serviteurs de Dieu marqués du sceau divin, il faut d’abord savoir qu’ils seront manifestés après l’ouverture du sixième sceau, lequel provoque la chute d’astéroïdes sur Terre ou « étoiles » qui sont également la représentation des anges déchus précipités par la queue du Dragon (le diable) selon Apocalypse, chapitre 12.

L’Apocalypse de Saint-Jean est un texte prophétique qui fait suite aux révélations du prophète Daniel. Il s’agit de la succession des empires depuis celui de Babylone jusqu’à celui de Rome. Le livre de Daniel présente la prophétie des semaines d’années au chapitre 9 ; celle-ci est le décompte chronologique qui annonce l’arrivée du Messie attendu, de 457 avant notre ère (décret d’Artaxerxés Longue-Main pour reconstruire Jérusalem) jusqu’en 27 de notre ère, année de la crucifixion de jésus (né en 7 av. notre ère). Dans cette période chronologique, soixante-neuf « semaines d’années » se sont accomplies (69 x 7 ans = 483 ans). Il manque alors 7 ans, dernière « semaine d’années », pour accomplir le cycle complet de 70 x 7 ans ou de « soixante-dix « semaines d’années » annoncé par la prophétie. Ces 7 années ne se sont pas terminées après la crucifixion de Jésus, de l’an 27 de notre ère à l’an 34 ; mais le texte prophétique lui-même annonce que des temps de « guerres et de dévastation » (verset 26) sépareront la 69ème « semaine d’années » de la 70ème donnant la conclusion finale des visions avec l’apparition de l’antéchrist.

L’Apocalypse de Saint-Jean présente les sept messages aux sept églises d’Asie Mineure, lesquels représentent les sept âges de l’histoire de l’église ; cela signifie que le temps des visions prophétiques sont interrompus par l’histoire de l’église ou « temps de grâce » ; mais ces « temps de grâce » ont un début, en 27 de notre ère, et auront une fin, lorsque la 70ème « semaine d’années » s’accomplira : c’est alors que le « temps des visions prophétiques » reprendra son cours, objet de la Révélation apocalyptique donnée à Saint-Jean.

L’apparition des 144 000 serviteurs de Dieu de l’Apocalypse se fera pendant l’accomplissement de la 70ème « semaine d’années » de Daniel, chapitre 9, c’est-à-dire dans le cadre du temps des visions prophétiques. Cela signifie que les temps de grâce seront terminés, cédant la place aux temps des jugements de Dieu (fin des temps de patience divine). Beaucoup ont cru que l’église serait enlevée avant la manifestation de l’antéchrist, avant le début de la 70ème « semaine d’années », mais cette affirmation est en contradiction avec les textes bibliques (épîtres de Paul et texte de l’Apocalypse). Les chrétiens seront toujours sur Terre car l’enlèvement de l’église ne se fera pas avant la « dernière trompette » ou avant la septième trompette de l’Apocalypse, qui se situe juste avant les jugements des sept coupes (7 mois avant la Bataille d’Harmaguédon). Cela signifie que les 144 000 Serviteurs de Dieu marqués du sceau divin seront en réalité les derniers apôtres de l’histoire de l’église, ceux qui seront manifestés pendant les événements apocalyptiques eux-mêmes. C’est Dieu lui-même qui les choisira et ils seront pour cette raison marqués du sceau de Dieu : il ne s’agira pas des Prêtres et Pasteurs actuels qui dirigent les églises, c’est-à-dire qu’ils n’appartiendront à aucune des structures religieuses chrétiennes actuellement connues. Le pape ne sera pas le « chef » des 144 000 Serviteurs de Dieu, ni les évêques ou cardinaux de l’église officielle, ni les « chefs » des autres églises orthodoxes, protestantes ou évangéliques. Ils seront placés en dehors de toutes les structures des églises actuelles et ils conduiront dans un sens spirituel la nouvelle église ou « église renouvelée » par l’Esprit Saint. Deux prophètes seront envoyés par Dieu : ce sont les Deux Témoins de l’Apocalypse.

Cette nouvelle église, spirituelle, renouvelée par l’Esprit de Dieu comme au temps des apôtres, disciples directs de Jésus, traversera les temps de persécution de l’antéchrist jusqu’au jour où elle sera enlevée au ciel, juste avant les derniers jugements de Dieu, les plus terribles, ceux des sept coupes et la Bataille d’Harmaguédon.

C’est cela l’explication des « 144 000 Serviteurs de Dieu » de l’Apocalypse, soit l’église spirituelle appelée aussi l’Israël spirituel.

 

Patrick DOLCIANI.

 

Article N° 61 :

 

NB :

J. :

Date :

31 J

103 J

Astéroïdes

Pierres :

Fruits :

Fleurs :

Vingtaine

723465

S

19/01/2008

19

97

Cérès

Jaspe

Olives

Iris

Requin

Samedi 19 janvier 2008

L’Horloge des cycles de l’histoire du Monde

Les ères zodiacales de l’histoire du monde, qui correspondent avec la chronologie biblique, sont celles du Taureau, du Bélier et des Poissons. Elles durent chacune deux mille ans. Celle du Taureau commence à la sortie du Jardin d’Eden, lorsqu’Adam avait 100 ans (voir chronologie dans le site). L’ère zodiacale du Bélier commence sept ans avant la date de l’alliance de la circoncision d’Abraham, et celle des Poissons ne commence pas à la naissance de Jésus, mais à la date de sa crucifixion et de sa résurrection.

Nous obtenons ainsi les dates suivantes :

Ø      3974 avant notre ère : Début de l’ère du Taureau.

Ø      1974 avant notre ère : Début de l’ère du Bélier.

Ø      27 de notre ère : Début de l’ère des Poissons.

 

Nous obtenons ainsi pour les trois ères zodiacales : 3 x 2000 ans = 6000 ans.

Pour créer l’horloge de l’histoire du monde, il faut diviser le temps compté en « 24 heures ».

Or, 6000 ans se divisent en 24 fois 250 ans.

 

Ainsi « 250 ans » forment « une heure » de l’histoire du monde, soit deux siècles et demi.

De même, 1000 ans se divisent en quatre fois 250 ans et correspondent avec « quatre heures » de l’horloge de l’histoire du monde. Une ère zodiacale compte de ce fait « huit heures » de l’histoire du monde (sur vingt-quatre). Trois fois « huit heures » font « vingt-quatre heures » de l’histoire du monde ou « trois ères zodiacales ».

Détermination de l’heure de l’histoire du monde :

Heure de la crucifixion de Jésus :

4000 ans sont accomplis, soit 4000 ans / 250 ans = 16 heures de l’histoire du monde.

Heure du début de l’ère zodiacale du Verseau :

6000 ans accomplis, soit 6000 ans / 250 ans = 24 heures ou « 0 heure ».

Calcul pour l’année 2008 :

2008 – 27 (date du début de l’ère des Poissons) = 1981 ans.

4000 ans déjà accomplis (ères du Taureau et du Bélier) + 1981 ans = 5981 ans.

En 2008, 5981 ans sont accomplis de l’histoire du monde.

Détermination de l’heure de l’histoire du monde en 2008 :

5981 ans / 250 ans = 23,924 ans.

Soit :

2008 =

23 heures, 55 minutes et 26 secondes

(de l’Horloge de l’histoire du monde).

 

 

Patrick DOLCIANI

 

Article N° 60 :

 

NB :

J. :

Date :

31 J :

103 J :

Astéroïdes :

Pierres :

Fruits :

Fleurs :

Vingtaine :

723458

S

12/01/2008

12

90

Fortuna

Calcédoine

Pommes

Genêt

Grenouille

Samedi 12 janvier 2008

(Article corrigé et complété le 16 janvier 2008)

Le Temple de Jérusalem et l’Arche de l’Alliance

Le Temple de Jérusalem fut bâti par le roi Salomon. Les fondements du Temple furent posés en 1017 av. notre ère. La destruction du Temple se fit à la prise de Jérusalem par le roi de Babylone en 587 av. notre ère.

Nous comptons 430 ans depuis les fondations du Temple de Salomon jusqu’à la destruction de Jérusalem.

Le Temple fut reconstruit à partir de 537 av. notre ère après le retour d’exil, soit 50 ans après la destruction de celui de Salomon. Ce deuxième Temple fut rénové par Hérode, à partir de l’an 20 av. notre ère. Puis Jérusalem fut à nouveau détruite par les Romains en 70 de notre ère. L’histoire du deuxième Temple dura par conséquent 606 ans, de 537 à 70 de notre ère.

L’épisode des vendeurs chassés du Temple permet de dater l’année de la mort de Jésus (Evangile de Jean, chapitre 2, versets 13 à 20) :

Lorsque Jésus se rendit à Jérusalem à l’occasion de la fête de Pâque, il trouva les vendeurs de bœufs et de brebis avec les échangeurs de monnaie. Il se fabriqua un fouet avec des cordes et les chassa tous hors du Temple. Il renversa les tables avec l’argent qui s’y trouvait et réprimanda les vendeurs de colombes en leur disant : “ Ôtez ces choses d’ici ; ne faites pas de la maison de mon Père une maison de trafic ”. Les Juifs lui demandèrent de faire un miracle pour justifier son comportement, mais il leur répondit : “ Détruisez ce temple, et en trois jours je le relèverai ”. Il parlait de son propre corps dans lequel l’esprit habite comme dans un Temple, car il savait qu’il serait condamné à mort. Mais les Juifs ne comprirent pas et lui répondirent (Jean 2 v 20) : “ On a été quarante-six ans à bâtir ce temple, et toi, tu le relèveras en trois jours ! ”.

Les travaux de rénovation du Temple commencèrent la 18° année du règne d’Hérode I° le Grand (37 – 4 av. notre ère), ce qui correspond à l’an 20 av. notre ère (37 av. notre ère - 17 ans accomplis). Quarante-six ans après, cela faisait l’an 27 de notre ère, année de la crucifixion de Jésus. Cet épisode où Jésus chassa les vendeurs du Temple eut lieu la dernière année de son ministère, juste avant son arrestation. Nous avons ici une preuve de plus que Jésus a bien été crucifié en l’an 27 de notre ère.

Selon le 2ème livre des Maccabées chapitre 2, versets 4 à 8, l’Arche ne fut pas transportée à Babylone avec tous les trésors du Temple. Dans le cas où elle fut « cachée » avant la déportation à Babylone puis « perdue », nous pouvons penser que les Juifs en construisirent (peut-être) une nouvelle après le retour d’exil.

Nous savons que les Romains transportèrent les trésors du Temple à Rome après la destruction de Jérusalem en 70 de notre ère. De nos jours, l’Arc de Titus est toujours là pour en témoigner par un bas relief sur lequel la scène est représentée, mais l'Arche de l'Alliance n'y figure pas.

Dans le cas où une copie de l'Arche d'Alliance aurait effectivement été transportée à Rome, cela nous ramène à la prise de Rome en août 410 par Alaric Ier  (roi des wisigoths de 396 à 410). Alaric Ier a-t-il trouvé cette Arche ? Si c’est le cas, se trouve-t-elle depuis aux environs de Rennes-le-Château, où se trouverait également le trésor des Templiers ?

Cette question n’est toujours pas résolue, mais c’est très peu probable. En réalité, il est plus sage de penser qu’elle se trouve toujours cachée dans une grotte depuis l'époque du prophète Jérémie, juste avant la prise de Jérusalem par les Babyloniens en 587 av. notre ère.

2ème livre des Maccabées, chapitre 2, versets 4 à 8 :

"Il y avait dans cet écrit qu'averti par un oracle, le prophète se fit accompagner par la Tente et l'Arche (d'Alliance), lorsqu'il se rendit à la montagne où Moïse, étant monté, contempla l'héritage de Dieu. Arrivé là, Jérémie trouva une habitation en forme de grotte et il y introduisit la tente, l'arche, l'autel des parfums, puis il en obstrua l'entrée. Quelques-uns de ses compagnons, étant venus ensuite pour marquer le chemin par des signes, ne purent le retrouver. Ce qu'apprenant, Jérémie leur fit des reproches : Ce lieu sera inconnu, dit-il, jusqu'à ce que Dieu ait opéré le rassemblement de son peuple et lui ait fait miséricorde. Alors le Seigneur manifestera à nouveau ces objets, la gloire du Seigneur apparaîtra ainsi que la Nuée, comme elle se montra au temps de Moïse et quand Salomon pria pour que le Saint lieu fût glorieusement consacré."

Patrick DOLCIANI

 

Article N° 59 :

 

NB :

J.

Date :

31 J :

103 J :

Astéroïdes

Pierres :

Fruits :

Fleurs :

Vingtaine :

723445

D

30/12/2007

30

77

Vesta

Béryl

Pommes

Capucine

Requin

Dimanche 30 Décembre 2007

Au sujet des fausses annonces sur les dates de l'accomplissement des prophéties.

Il ne s'est rien passé en 1999, date annoncée par Nostradamus.
Nous avons également observé que "l'allumage de Jupiter" (voir de quoi il s'agit sur moteur de recherche), annoncé par certains pour fin décembre 2007, ne s'est pas accompli.
De même, nous savons qu'il ne se passera rien en 2012, date annoncée par ceux qui se basent sur le calendrier méso-américain, pour annoncer le début d'une nouvelle ère.
Pourquoi ?
Parce que le cinquième soleil méso-américain, commencé en 987 de notre ère, ne se terminera pas en 2012 (1040 x 360 jours), mais en 2027 (1040 x 365 jours).
En effet, les années du calendrier méso-américain sont des années de 365 jours, et non de 360 jours. L'erreur vient de ce que les cinq jours du "lit annuel" n'étaient pas comptés, mais n'étaient pas moins vécus et réels : ces jours là, toute activité était interrompue, mais ils s'ajoutaient aux 360 jours du calendrier (18 x 20 jours), pour faire 365 jours en tout.
La preuve vient de la relation qui existe entre les années solaires de 365 jours et les révolutions synodiques des planètes : il y a en effet cinq révolutions synodiques de Vénus en huit fois 365 jours (8 x 365 jours = 5 x 584 jours) et 63 révolutions synodiques de Mercure en 20 fois 365 jours. C'est sur ce principe fondamental qu'était fondé le calendrier méso-américain.
Cette erreur d'interprétation permet de mettre en évidence toutes les "supercheries" de ceux qui annoncent le changement d'ère pour l'année 2012 : ils ne savent pas que cette date a été déterminée par une erreur d'interprétation des cycles du calendrier méso-américain !
Ils se sont ainsi "piégés" sans même s'en douter !


Patrick DOLCIANI
 

Article N° 58 :

 

NB : J. Date : 31 J 103 J Astéroïdes Pierres : Fruits : Fleurs : Vingtaine
723347 D 23/09/2007 25 82 Laetitia Topaze Cerises Rhododendron Lapin

 

Le danger vient-il réellement de l’Iran ?

Actuellement, c'est l'Iran qui est menacé par les puissances occidentales. Il faut croire qu'une guerre va commencer contre ce pays, non à cause de ses recherches sur l'énergie nucléaire comme on veut le faire croire (enrichissement de l'uranium), mais à cause de ses réserves en pétrole.

C'était la même raison qui était à l'origine de la guerre contre l'Irak et non ce que l'on a voulu faire croire (prétextes « mensongers » dénoncés depuis par la presse internationale).

C'est l'Occident qui est « dangereux », car n'oubliez pas que selon les visions prophétiques de la Bible, l'Antéchrist sera placé à la tête de l'empire Romain recréé (c'est-à-dire de l'Union européenne qui sera alliée avec les pays musulmans). Lire les visions prophétiques de Daniel, dont la bonne interprétation est donnée par les anges eux-mêmes à l'intérieur du texte lui-même. L'Apocalypse de Saint Jean est la suite et la conclusion du livre de Daniel.

C'est l'Antéchrist, non encore manifesté à l'heure actuelle, qui attaquera Israël, et non l'Iran.

Alors, il y aura la Bataille d'Harmaguédon à la fin de laquelle se produira le retour de Jésus. Mais nous n'en sommes pas encore là!

L'Antéchrist, qui semblable à l’empereur Néron, doit régner à la tête de l'Union européenne pendant trois ans et demi, cela après la chute du Diable sur la Terre (sixième sceau de l'Apocalypse, laquelle s'inscrit dans un cycle de sept ans, la « soixante-dixième semaine d'années » de Daniel, chapitre 9, laquelle doit s'accomplir à la fin de l'histoire de l'Eglise).

La guerre contre l'Iran, si elle a lieu, favorisera les puissances occidentales, qui contrôleront presque toutes les ressources pétrolières ; et lorsque l'Antéchrist paraîtra (à la tête de l'Union européenne), son pouvoir sera de ce fait renforcé.

Note : Néron, dont le nombre de son nom est "666" (comme le sera aussi celui de l'Antéchrist), fut empereur Romain de 54 à 68, soit pendant 14 ans. Il naquit en 37 de notre ère et avait 17 ans lorsqu'il devint empereur. Mais après la mort de Burrus et la disgrâce de Sénèque, en 62, lorsqu'il avait 25 ans, il entra dans la voie du despotisme. En 64, il fit persécuter les chrétiens faussement accusés de l'incendie de Rome. Or, il se passa alors environ quatre ans, de 64 à 68, jusqu'à la mort de Néron : il faut voir dans cette période, d'à peu près « trois ans et demi », une analogie avec ce qui arrivera pendant le règne de l'Antéchrist, qui lui aussi persécutera les chrétiens pour les faire mettre à mort (voir les conséquences de  la marque de la Bête dans l'Apocalypse).

Patrick DOLCIANI

 

Article N° 57 :

 

NB : J. Date : 31 J 103 J Astéroïdes Pierres : Fruits : Fleurs : Vingtaine
723346 S 22/09/2007 24 81 Amphitrite Béryl Abricots Renoncule Cerf

Les cycles de la vie humaine :

Les cycles de l’histoire forment un schéma de même structure que les divisions cycliques de l’année solaire :

1)    73 jours (365 jours / 5) = 1460 ans ou une période sothiaque égyptienne ;

2)    1 jour = 20 ans = 63 révolutions synodiques de Mercure ;

3)    20 jours = 400 ans = 1 Baktun de la chronologie du calendrier Maya ;

4)    100 jours = 2000 ans = 1 ère zodiacale (précession des équinoxes) ;

5)    5 jours = 100 ans ou un siècle ;

6)    13 jours = 260 ans ou une « roue de katuns » dans le calendrier méso-américain (13 x 20 ans).

Les cycles de la vie humaine s’inscrivent dans le schéma des cycles historiques pour « un an » de la vie humaine = 5 jours du calendrier = 1 siècle dans l’histoire, de telle sorte que l’histoire de l’humanité se mesure par siècle (cinq siècles par exemple représentent 5 ans dans une vie humaine). Ainsi, les cycles de l’histoire de l’humanité s’inscrivent en siècles à l’intérieur des ères zodiacales qui durent chacune 2000 ans, soit en correspondance avec 20 ans pour une vie humaine. L’ère du Taureau dura 2000 ans (20 ans) ; l’ère du Bélier dura 2000 ans (4000 ans accomplis ou « 40 ans » pour une vie humaine) et l’ère des Poissons depuis le Christ doit durer également 2000 ans (6000 ans accomplis), soit en correspondance avec 60 ans accomplis pour une vie humaine.

Nous avons observé que les cycles de la vie humaine sont divisés en cycles de quatre ans depuis la naissance. Ils se divisent aussi en cycles de 12 ans, mais ils commencent à partir de l’âge de quatre ans (le premier cycle de 12 ans commence à 4 ans et se termine à 16 ans ; le second commence à 16 ans et se termine à 28 ans, etc.). Remarque : le cycle de 12 ans est connu car les 12 signes qui marquent les années du calendrier chinois forment un cycle complet de 12 ans.

Voici le tableau modèle (à copier et remplir) des cycles de la vie humaine pour visualiser les cycles de votre vie :

 

Age

Date

4 ans

12 ans

Evénements :

0

 

1

 

Naissance.

1

 

2

 

 

2

 

3

 

 

3

 

4

 

 

4

 

1

1

 

5

 

2

2

 

6

 

3

3

 

7

 

4

4

 

8

 

1

5

 

9

 

2

6

 

10

 

3

7

 

11

 

4

8

 

12

 

1

9

 

13

 

2

10

 

14

 

3

11

 

15

 

4

12

 

16

 

1

1

 

17

 

2

2

 

18

 

3

3

 

19

 

4

4

 

20

 

1

5

 

21

 

2

6

 

22

 

3

7

 

23

 

4

8

 

24

 

1

9

 

25

 

2

10

 

26

 

3

11

 

27

 

4

12

 

28

 

1

1

 

29

 

2

2

 

30

 

3

3

 

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Patrick DOLCIANI

 

Article N° 56 :

 

NB : J. Date : 31 J 103 J Astéroïdes: Pierres : Fruits : Fleurs : Vingtaine:
723253 J 21/06/2007 24 91 Euterpe Sardoine Oranges Lys Jaguar

 

Mes preuves.

 

Nous ne pouvons pas accepter une partie de la révélation biblique et, en même temps en rejeter une autre partie, car ce serait profondément malhonnête. Il faut aussi tenir compte de la réalité des cycles historiques, lesquels déterminent la position chronologique de l’Apocalypse et l’année du retour de Jésus. Celle-ci n’est pas donnée en fonction d’une volonté humaine, mais elle est déterminée par les cycles de l’histoire, lesquels sont confirmés par la chronologie biblique, c’est-à-dire par la Parole de Dieu.

Les soixante-dix semaines prophétiques du prophète Daniel, au chapitre IX, sont un exemple des cycles historiques mentionnés par la Bible. Ils s’inscrivent dans un cycle de 70 fois sept ans ou 490 ans ; 490 ans sont le quart de 1960 ans, soit d’une ère spirituelle.

Les sept âges de l’histoire de l’Eglise forment sept cycles de 280 ans chacun, soit 1960 ans.

Les 70 années de captivité des Juifs à Babylone sont tirées de 70 fois 7 ans, pendant lesquelles les années sabbatiques ne furent pas respectées à cause de l’établissement de la royauté en Israël. Elles furent annoncées par le prophète Jérémie et commencèrent en 607 av. notre ère. L’an 607 av. notre ère est placé 490 ans avant l’an 1097, année où le roi Saül régnait sur Israël, en fait depuis trois ans. Cette année là fut la première où les années sabbatiques ne furent plus respectées. Elles déterminent les cycles de sept ans de l’histoire d’Israël.

Ainsi, nous avons :

1)      490 ans de l’an 1097 à 607 av. notre ère ;

2)      483 ans de 457 av. notre ère à l’an 27 de notre ère, date de la crucifixion de Jésus, soit 490 ans moins sept ans, non accomplis, mais qui le seront à la fin de l’histoire de l’Eglise, de l’an 2020 à 2027 : il s’agit de l’Apocalypse.

Par ailleurs, le Temple de Salomon a été fondé en 1017 av. notre ère, soit 560 ans avant l’an 457 av. notre ère (début des 70 semaines d’années) ou deux fois 280 ans (deux âges spirituels).

La Circoncision d’Abraham eut lieu en 1967 av. notre ère, soit 1960 ans avant la naissance de Jésus en l’an 7 av. notre ère ou sept âges spirituels (7 x 280 ans).

Des recherches plus approfondies font ressortir tous les cycles de l’histoire d’Israël qui s’inscrivent dans un cycle de 1993 ans (soit deux mille ans moins sept ans). Il en est de même pour l’Eglise dont l’histoire forme un grand cycle de 1960 ans (7 x 280 ans), auquel s’ajoute un supplément de 33 ans pour faire également 1993 ans. A ces 1993 ans de l’histoire de l’Eglise s’ajoutent les sept années de l’Apocalypse pour faire 2000 ans. Il s’agit aussi de la 70° semaine d’année du prophète Daniel, soit les sept années qui manquaient aux 1993 ans de l’histoire d’Israël.

Le schéma des cycles de l’Histoire du Monde est fondé sur la chronologie biblique, c’est-à-dire sur la Parole de Dieu, et donne la position exacte de l’Apocalypse de 2020 à 2027 de notre ère, après laquelle, il ne cède la place qu’aux mille ans du Millénium !

Les sept âges de l’histoire de l’Eglise sont accomplis depuis 1987, année du compte à rebours de 33 ans jusqu’à l’Apocalypse !

Les preuves s’ajoutent les unes aux autres et seuls ceux qui « ne veulent pas voir » restent dans l’obscurité !

Preuve mathématique :

Il s’agit de la « preuve par l’emplacement du dernier élément du puzzle ».

En effet, le dernier élément du puzzle ne peut prendre place qu’à un seul endroit, car il n’y a pas de place pour lui ailleurs : une fois tous les éléments réunis, il ne reste plus qu’un seul emplacement, unique, pour le dernier. Ceci est une preuve mathématique : il se trouve là, parce qu’il ne peut pas se placer ailleurs !

Il en va de même avec le schéma des cycles de l’Histoire du Monde (en Adam) : l’Apocalypse ne peut pas être placée ailleurs que de l’an 2020 à 2027. Tout autre endroit entrerait en contradiction avec le plan d’ensemble du schéma et avec les données bibliques. Ce schéma est fondé sur les données chronologiques bibliques, donc, sur la Parole de Dieu ! Nous connaissons, par lui, les dates de l’Apocalypse !

La vérification de ma chronologie doit se faire à l’aide d’une Bible J.N. Darby qui comprend une chronologie, accessible à tous. Il suffit de comparer les deux chronologies, la mienne et celle de J.N. Darby, et enfin, de vérifier toutes les références bibliques (données par la Bible J.N. Darby) dans la Bible elle-même !

Il est alors possible de se rendre compte que ma chronologie tient compte de toutes les données chronologiques de la Bible, sans les trahir : elle permet de corriger les « erreurs de J.N. Darby », qui n’a pas respecté toutes les données bibliques (exemple : durées des règnes des rois de Juda depuis Salomon jusqu’à la Captivité des Juifs à Babylone).

Pour ce qui concerne la date de la naissance de Jésus, J.N. DARBY ne pouvait pas la connaître à son époque, car le travail des historiens n’était pas suffisamment avancé.

Nous savons que lorsque les Mages arrivèrent à Jérusalem, Jésus était déjà né depuis deux ans et le roi Hérode I° le Grand (37 – 4 av. notre ère) était toujours vivant. La famille alla se réfugier en Egypte sans doute pendant une année entière jusqu’en 4 av. notre ère, année de la mort du roi ; cela place la naissance de Jésus trois ans avant la mort d’Hérode I° le Grand  et c’est ici la certitude que Jésus est bien né en l’an 7 av. notre ère, année où le recensement ordonné en huit  av. notre ère fut appliqué en Palestine. Il fut crucifié en l’an 27 de notre ère, à l’âge de 33 ans. Il n’y a pas de contradiction entre les Evangiles de Luc et de Matthieu, mais Luc se rapporte à la naissance réelle de Jésus, tandis que Matthieu raconte ce qui s’est passé deux années plus tard (le temps que les Mages venus de Perse accomplissent leur voyage, car l’étoile leur était apparue dans leur pays au moment même de la naissance de Jésus). Par ailleurs, la datation de Luc (ch. III, v. 1 – 6) est, soit l’année de la composition de l’Evangile, soit une erreur de transcription des copistes qui auraient probablement changé « la 5° année du règne de Tibère-César » en « 15° année ». Jean-Baptiste aurait alors commencé son ministère à l’âge de 25 ans, en 19 de notre ère.

 

Les clés chronologiques :

1)       Création d’Adam : 0 (4074 av. notre ère) ;

2)       Déluge : 1656 ans après (2478 av. notre ère) ;

3)       Naissance de Térakh, père d’Abraham : 222 ans après (2196 av. notre ère) ;

4)       Naissance d’Abraham : 130 ans après (2026 av. notre ère) ;

5)       Abraham en Canaan : 75 ans après (1991 av. notre ère) ;

6)       Circoncision d’Abraham : 24 ans après (1967 av. notre ère) ;

7)       Exode sous Moïse : 430 ans après (1537 av. notre ère) ;

8)       Construction du Temple de Jérusalem sous Salomon : 520 ans après (1017 av. notre ère) ;

9)       Schisme Israël-Juda : 37 ans après (980 av. notre ère) ;

10)   1° Départ en Captivité à Babylone (Daniel I, 1-2) : 373 ans après (6O7 av. notre ère) ;

11)   1° Retour d’Exil : 70 ans après (537 av. notre ère) ;

12)   Départ chronologique des 69 semaines d’années de Daniel IX (Application de l’Edit d’Artaxercès selon Esdras VII) : 80 ans après (457 av. notre ère) ;

13)   Crucifixion, mort et résurrection de Jésus : 483 ans après (27 de notre ère).

*       Total des durées : 4100 ans.

 

La preuve de l’authenticité de ma chronologie est une « preuve par neuf » :

Cette chronologie fait apparaître un schéma cyclique parfaitement en accord avec les divisions cycliques de l’année solaire pour un jour = 20 ans.

C’est une « preuve par neuf », car ces correspondances ne sont pas l’effet d’un trucage.

C’est après avoir corrigé l’unique erreur de ma première chronologie, laquelle se trouve dans mon premier livre intitulé « Mystères révélés », publié aux Editions « La Pensée Universelle » en 1989, le 15 janvier 2004, que ce schéma parfait m’est apparu !

Cette seule et unique erreur, corrigée 15 ans après la publication de « Mystères révélés » (1989 – 2004), fait apparaître une nouvelle chronologie en parfait accord avec les divisions cycliques de l’année solaire : c’est une Révélation ! Mais aussi une « preuve par neuf » ! L’année solaire, avec ses divisions cycliques, devient le cadre qui forme le « puzzle » des cycles de l’Histoire du Monde en Adam.

Il s’est en effet glissé une erreur de 40 ans dans l’interprétation chronologique classique de l’Ancien Testament, car il y a en réalité 520 ans depuis l’Exode d’Israël sous Moïse jusqu’aux fondations du Temple de Jérusalem, la quatrième année du règne du roi Salomon.

A l’origine de cette erreur il y a, au premier livre des Rois, ch. VI, v. 1, une indication chronologique, que nous avions « textuellement » prise en compte, mentionnant : « 480 ans après la sortie des Israélites du pays d’Egypte ». Il ne s’agissait pas en réalité d’une référence à l’Exode, comme nous l’avions cru, mais du temps compté depuis la « Sortie du Sinaï », sans doute considéré comme un prolongement du territoire égyptien, c’est-à-dire au moment du passage du Jourdain – et non pas de la mer Rouge – pour entrer dans la terre promise, définitivement hors d’Egypte.

Il apparaît que la chronologie du livre des Juges, trop souvent négligée, donne en réalité 390 ans depuis la première oppression d’Israël par Cusan-Risathaïm, roi de Mésopotamie (Juges ch. III, v. 8), jusqu’à celle des Philistins (Juges ch. XIII, v. 1). Nous sommes alors au début du règne de Saül, en 1100 avant notre ère. De ce fait, la chronologie des Juges nous permet de dater en 1490 avant notre ère (390 ans avant 1100) le début de la première oppression d’Israël, par le roi de Mésopotamie, juste 7 ans après l’entrée des Israélites en Palestine, laquelle se fit en 1497, c’est-à-dire 480 ans avant la fondation du Temple de Jérusalem, qui eut lieu en 1017 av. notre ère. Par ailleurs, nous observons que le livre de Josué, ch. XV, v. 15-17, et des Juges, ch. I, v. 11-13, que le premier libérateur, Othniel, était effectivement contemporain de Josué et Caleb.

Il faut donc compter, après l’Exode, 40 ans de marche dans le désert du Sinaï sous la conduite de Moïse, puis 397 ans pour le temps des Juges (après la mort de Moïse), jusqu’au début du règne de Saül, premier roi d’Israël, et, enfin, 83 ans jusqu’à la quatrième année du règne du roi Salomon, soit 520 ans au total au lieu de « 480 ans ». Nous obtenons, après cette étude, bel et bien une différence de 40 ans, origine de notre erreur.

Le schéma corrigé des cycles de l’Histoire du Monde se trouve par conséquent modifié et il révèle, ce qui nous avait échappé jusqu’ici, à savoir : l’emplacement exact de l’Apocalypse, de 2020 à 2027 de notre ère.

Car nous observons dès lors qu’il y a en réalité 1993 ans, au lieu de « 1953 ans » depuis l’alliance de la Circoncision faite avec Abraham en 1967 av. notre ère (c’est-à-dire 430 ans avant l’Exode, durée indiquée dans Galates III, v. 17, ou 470 ans avant l’entrée d’Israël en Palestine), jusqu’à la Crucifixion de Jésus en 27 de notre ère, sachant qu’il est né en l’an 7 av. notre ère. Soit 1960 ans (ou 7 fois 280 ans, les sept âges de la « postérité d’Abraham »), jusqu’à la naissance de Jésus, auxquels il faut ajouter les 33 années de sa vie.

De même, il y a aussi une durée de 1993 ans depuis la Résurrection de Jésus, soit 1960 ans (ou 7 fois 280 ans, les sept âges de l’Histoire de l’Eglise), auxquels il faut ajouter un temps supplémentaire de 33 ans (répétition des cycles ou « effet miroir »), jusqu’au début de l’Apocalypse. C’est pourquoi nous devons ajouter 33 ans aux dates initialement prévues dans « Mystères révélés ».

Ces observations faites, il faut ensuite ajouter les sept années de l’Apocalypse elle-même, dont nous connaissons la durée exacte grâce à la prophétie des « 70 semaines d’années » du prophète Daniel (ch. IX, v. 24-27), pour rattraper ce qui reste des « 40 ans » qui avaient été « oubliés » à cause de notre erreur chronologique (7 ans ajoutés à 33 ans font bien 40 ans). Cela donne enfin 2000 ans car l’Apocalypse commence à la fin du cycle de 1993 ans. Nous obtenons deux millénaires depuis la Mort et la Résurrection de Jésus jusqu’à son prochain Retour, de l’an 27 de notre ère jusqu’en 2027 (et non pas depuis sa naissance).

Le schéma général des cycles, définitivement achevé, compte 71 siècles depuis la Création d’Adam en 4074 av. notre ère, jusqu’à la fin du Millénium en 3027, alors que d’autres ont cru devoir en trouver soixante-dix (7000 ans).

Cependant, il apparaît que l‘ensemble des cycles de l’histoire schématique du Monde compte 72 siècles depuis le début de la Création en 4174 av. notre ère, laquelle a été probablement décidée et mise en œuvre après un cataclysme d’ordre planétaire (et non cosmique), provoqué probablement par la chute d’un ou de plusieurs astéroïdes (voir à ce sujet les explications détaillées dans « Mystères révélés » à partir de la page 105 et la traduction du premier chapitre de la Genèse, pages 114 à 116). Nous obtenons un siècle de plus car il faut compter 100 ans depuis le milieu du premier jour (apparition de la lumière), jusqu’au milieu du sixième jour (création d’Adam), chaque « jour » de la Création ayant une durée « schématiquement » définie de 20 ans.

Nous pouvons néanmoins obtenir un ensemble de 70 siècles. Pour cela, il faut compter 2000 ans depuis la sortie d’Adam « schématiquement » indiquée (voir le schéma des cycles de l’histoire du Monde) du Jardin d’Eden en 3974 av. notre ère, lorsqu’il avait 100 ans (nous savons qu’il vécut 930 ans), jusqu’au début du « compte à rebours » de sept années avant la destruction, faite par les anges, de Sodome et Gomorrhe (destruction par le « feu du ciel » après sept ans d’attente par rapport à la position d’origine du nouveau cycle, ce qui peut être interprété comme une préfiguration de l’Apocalypse). Il faut ensuite ajouter les 2000 ans qui suivent le début de ce premier « compte à rebours » jusqu’à la Crucifixion de Jésus, soit 4000 ans accomplis. Pour tenir compte du temps complet de l’Histoire de l’Eglise (1960 ans + 33 ans + 7 ans), il faut ajouter 2000 ans depuis la Résurrection de Jésus jusqu’à son Retour attendu pour l’an 2027, soit 6000 ans accomplis. Enfin, pour terminer, nous devons ajouter les 1000 ans du Millénium, dont la durée est nettement indiquée dans l’Apocalypse de Saint-Jean (ch. XX, v. 1-3 et 7-10), pour obtenir très exactement une durée globale de 7000 ans (70 siècles), depuis l’entrée dans le Monde du péché en Adam jusqu’à la libération finale du Diable suivie du Jugement dernier.

Pour ce qui concerne l’ensemble des cycles de 1040 ans (périodes méso-américaines de quatre fois 260 ans ou « roues de katuns »), ils existent toujours dans cette nouvelle structure, mais ils se confondent avec ceux du calendrier méso-américain lui-même dont nous avions déjà indiqué les dates dans « Mystères révélés ». De ce fait, le schéma général des cycles de l’Histoire du Monde s’en trouve simplifié.

 

CHRONOLOGIE CORRIGEE DES JUGES :

 

            Noms :             Durée :             Chrono :          Dates :             Ch. :     Vers. :

1          Cusan-Risathaïm :         8          2584 :               1490-1482         3          8                     

2          Othniel :                       40        2592 :               1482-1442         3          11                   

3          Eglon :                         18        2632 :               1442-1424         3          14                   

4          Ehud :                          80        2650 :               1424-1344         3          30                   

5          Jabin :                          20        2730 :               1344-1324         4          3                     

6          Débora-Barak :              40        2750 :               1324-1284         5          31                   

7          Madian :                       7          2790 :               1284-1277         6          1                     

8          Gédéon :                      40        2797 :               1277-1237         8          28                   

9          Abimélek :                    3          2837 :               1237-1234         9          22                   

10        Thola :                          23        2840 :               1234-1211         10        1 & 2               

11        Jaïr :                            22        2863 :               1211-1189         10        3 à 5               

12        Ammonites :                 18        2885 :               1189-1171         10        8                     

13        Jephté :                        6          2903 :               1171-1165         12        7 & 11-26         

14        Ibtsan :                         7          2909 :               1165-1158         12        8 à 10              

15        Elon le Zabulon :           10        2916 :               1158-1148         12        11 & 12

16        Abdon :                        8          2926 :               1148-1140         12        13 à 15

17        Philistins :                    40        2934 :               1140-1100         13        1                     

18        Saül, roi d'Israël :          0          2974 :               1100                                                   

            Total :  390 ans.                                                                                

 

Corrections faites, l’œuvre est maintenant achevée.

 

Maintenant, nous savons par la foi en la Parole de Dieu, que le « Compte à rebours » est commencé !

Il peut être représenté par une « carte de vœux » pour les fêtes de fin d’année, qui comprend deux dates : celle de la nouvelle année en cours et l’année du retour de Jésus, programmée par les cycles de l’histoire, fondés sur la chronologie de la Bible (la Parole de Dieu), c’est-à-dire l’année 2027 !

 

Exemple :

2027 – 2006 = 21 ans avant le Retour de Jésus !

2027 – 2007 = 20 ans avant le Retour de Jésus !

2027 – 2008 = 19 ans avant le Retour de Jésus !

Etc.

 

Chaque année, la même carte peut être envoyée à ses « amis », avec seulement la date de la nouvelle année changée, laquelle peut représenter le Témoignage de la foi chrétienne : « Jésus, né de la Vierge Marie, le Fils de Dieu, est mort pour nos péchés, il est ressuscité pour notre justification et il revient bientôt ! ».

Ma « doctrine » est la « doctrine évangélique classique », telle que nous pouvons la voir exposée dans certains sites chrétiens sur Internet ! Il ne s’agit pas d’une « doctrine sectaire », car je n’ai fondé aucune religion, aucune Eglise, ni aucune secte ! Je m’adresse simplement aux responsables des Eglises catholiques, orthodoxes, protestantes et évangéliques ! Pas aux responsables des sectes avec lesquels je ne suis pas d’accord ! Je ne suis pas un « gourou » et je ne « fais pas d’argent » ! C’est le Seigneur lui-même, avec lequel j’ai bénéficié à plusieurs reprises d’un véritable dialogue, au mois de juin 2005, qui m’a demandé de « m’ouvrir au monde sur Internet » ! Cela dans le but de faire connaître mes découvertes ! Vous n’y croyez peut être pas, mais je dis la vérité : je ne suis pas un menteur ! Je dis la vérité en Christ ! Il est mon Juge et il sera aussi le vôtre !

Pour toute documentation supplémentaire, vous êtes invité à consulter les deux livres de Patrick DOLCIANI déjà publiés : « Mystères révélés » publié aux Editions « La Pensée Universelle » en 1989 et « Les mots du ciel » publié aux Editions Louise Courteau en 1991.

Ils peuvent être consultés à la Bibliothèque Nationale de Paris.

  

Article N° 55 :

723115 S 03/02/2007 10 56 Euterpe Saphir Pêches Œillet Perroquet

Samedi 3 février 2007

Conclusions de la Conférence de Paris (à l'Élysée) sur l'environnement, du lundi 29 janvier jusqu'au vendredi 2 février 2007 (avec 200 participants) :

Les 113 pays réunis, ont évalué à plus de 90% la probabilité d'une responsabilité de l'homme dans le réchauffement climatique. Des personnalités politiques, scientifiques et culturelles sont venues de 60 pays et le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) a conclu dans son rapport final, long de 20 pages, que le réchauffement climatique est «très probablement» causé par l'activité humaine. Le groupe d'experts prévoit une hausse des températures d'ici 2100, comprise entre 1,1 et 6,4 degrés Celsius, tout en précisant que les estimations les plus précises se situent entre 1,8 et 4,0 degrés Celsius. Une hausse du niveau des mers de 18 à 59 centimètres est prévue d'ici la fin du siècle. L'élévation du niveau des mers se poursuivra pendant plus d'un millénaire. Cette augmentation est conditionnée, soulignent-ils, à une "stabilisation" des concentrations de dioxyde de carbone (CO2) dans l'atmosphère à 55O parties par million (ppm). 550 ppm est un plafond à ne pas dépasser. La concentration de CO2 atteint déjà aujourd'hui 380 ppm - niveau inégalé en 650.000 ans - contre 270 ppm avant 1750, et elle continue d'augmenter chaque année de 2 ppm.

Bien sûr, les conclusions de cette Conférence seront vite "oubliées", car pour "changer les choses", il faut d'abord s'attaquer aux structures fondamentales de la société, fondées avant tout sur la recherche du profit. Il y a d'abord la concurrence internationale qui impose aux entreprises de produire "toujours plus et moins cher", cela bien sûr au détriment de leurs salariés, ce qui explique les "délocalisations". Il y a ensuite le système démocratique lui-même qui empêchera la réalisation des changements qui s'imposent... Oui, car cela dépendra des élections dans les pays industrialisés, c'est-à-dire des électeurs ! Qu'en ressort-il ? Il suffit pour comprendre d'observer les résultats électoraux des formations écologiques, pour lesquelles le plus grand nombre d'électeurs ne votent pas et ne voteront jamais ! Avant les préoccupations écologiques, même s'il s'agit de "sauver la planète", les électeurs penseront d'abord à eux-mêmes, à leur propre survie individuelle : échapper au chômage, obtenir un revenu suffisant pour vivre, se loger, élever les enfants, garantir l'emploi autant que possible, etc.

En clair, les causes qui nous ont conduits à cette situation catastrophique sont des causes structurelles qui affectent toute la société et elles ne peuvent pas être changées. Sur ce point, il y aura des contradicteurs, mais la vérité, c'est que rien ne changera, car c'est comme lorsque les hommes politiques promettent "le changement" en période électorale : l'expérience prouve que rien ne change jamais, sauf les discours ! Mais ce n'est pas avec des discours que nous sauverons la planète des dangers qui la menacent ! En vérité, nous ne la sauverons pas ! Cela, c'est une vérité qui dérange et c'est pourquoi le traitement du problème consistera probablement à l'ignorer le plus longtemps possible, jusqu'à ce qu'il soit "trop tard" !

Alors, qu'arrivera-t-il ? Pour répondre à cette dernière question il faut revenir à la "connaissance" authentique, qui ne se fonde pas uniquement sur le "matérialisme". Car c'est le "matérialisme" qui a conduit le monde à la situation dans laquelle nous nous trouvons et il n'y aura pas de remède tout aussi longtemps que l'existence de Dieu sera "niée" ! Il faut donc s'attendre à l'accomplissement des prophéties auxquelles le monde refuse de croire... Mais bientôt, personne n'aura plus le temps de réfléchir et il faudra choisir : se tourner vers Dieu ou continuer définitivement à l'ignorer !

Patrick DOLCIANI

 

Article N° 54 :

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L

27/11/2006

4

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Amphitrite

Cornaline

Abricots

Pavot

Lapin

21/03/2012

Alerte aux OVNI :

Les OVNI ont fait leur apparition en 1944 ; auparavant, leurs manifestations n’étaient que sporadiques dans l’Histoire.

Depuis 1944, ils ont en premier lieu étudié les avions et tout ce qui volait dans le ciel afin de tester les capacités de défense de la technologie humaine de l’époque. Cela se comprend, car ils apparaissent en premier lieu dans notre ciel et c’est là qu’ils auraient été en danger si notre technologie était suffisamment évoluée pour les combattre. Mais il n’en était rien car personne ne pouvait rien faire contre ces OVNI dont les prouesses de vol et de défense dépassaient l’entendement humain !

Après cela, ils ont étudié tout ce qui se trouvait sur la terre, au sol, pays par pays, de façon systématique et en procédant par vagues successives. Ainsi il y eut trois vagues d’apparitions d’OVNI aux Etats-Unis : la première en 1947, la deuxième en 1952 et la troisième en 1957. Elles ont été séparées de cinq années, certainement dans le but de “se faire oublier” avant de réapparaître. La France connut sa vague d’apparition d’OVNI en 1954 et la Russie, comme la Belgique, en 1989.

Ils ne sont pas apparus partout en même temps, c’est-à-dire en différentes “ vagues mondiales ”, car sinon, ils auraient “ défrayé la chronique ” sur le plan international et provoqué de ce fait une réaction mondiale de défense “ Anti-OVNI  ”. De plus, cette méthode d’apparitions en vagues pays par pays, l’un après l’autre, leur a permis d’agir efficacement tout en économisant leurs moyens.

Ils ont donc mis en application un plan d’intervention sur le globe terrestre, prévu et planifié à l’avance, appliqué étape par étape, de façon systématique.

Pour ce qui concerne les enlèvements d’êtres humains, ils les ont réalisés essentiellement aux Etats-Unis et ils ont placé des “ implants ” sur leurs victimes après leur avoir rendu la liberté, certainement dans le but d’espionner la plus grande puissance économique et militaire de la planète. En agissant essentiellement aux Etats-Unis pour procéder aux enlèvements, ils n’ont pas alerté les autres pays du monde et les Américains, victimes de ces abus, sont passés pour d’heureux “ illuminés ” aux yeux des autres peuples de la planète !

Ce plan d’intervention des OVNI sur la Terre est une réalité incontestable, établie par des milliers de témoins, des observations visuelles de pilotes d’avions confirmées par des radars, par des traces laissées au sol, et par des photographies dont certaines ont été reconnues authentiques après expertise.

Les questions qui se posent sont celles-ci : Pourquoi sont-ils arrivés en si grand nombre depuis 1944, et que préparent-ils depuis ? Comment auraient-ils pu entreprendre une mission d’une telle envergure, d’une dimension planétaire, si ce n’était pas pour de sérieuses raisons ? Ils viennent de loin, de Sirius peut-être, ou bien de plus loin encore ! Mais que préparent-ils aujourd’hui sur Terre ? Une invasion ? Certainement, car elle a déjà commencé ! Quelles sont leurs intentions réelles ? Que veulent-ils faire finalement ? Que préparent-ils en réalité ? Viennent-ils de Dieu ou du Diable ?

S’il faut répondre à cette dernière question, les prophéties indiquent que le Diable doit d’abord prendre le pouvoir sur la Terre avant le retour du Christ !

Aujourd’hui, nous observons qu’ils sont arrivés dans notre ciel en grand nombre depuis maintenant 62 ans (1944-2006) et qu’ils n’ont pas cessé d’agir et de se manifester !

Imaginons tout le travail qu’ils ont déjà accompli autour de nous avec leur technologie qui défie encore et toujours l’entendement humain !

Les OVNI sont les “signes du ciel” dont parlait Jésus, lesquels doivent se manifester à l’approche de son retour, soit “les étoiles qui tombent du ciel”, c’est-à-dire les “anges déchus”.

 

 

Article N° 53 :

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V

17/11/2006

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81

Hygiée

Sardoine

Pêches

Mimosa

Colombe

Vendredi 17 novembre 2006

La Vision de David WILKERSON :

David WILKERSON est un évangéliste américain qui reçut une vision en 1973, il y a maintenant 33 ans.

Celle-ci consistait à voir les principaux « événements » qui devaient se produire pendant les années à venir juste avant l’accomplissement de l’Apocalypse elle-même. Il ne donna pas de date, mais il s’agissait des « temps de la dernière génération », c’est-à-dire probablement pendant les cinquante dernières années environ…

Il hésita beaucoup avant de la « publier » et il la fit d’abord connaître au cours d’une conférence en août 1973. Notons ici que c’était environ deux mois avant la Guerre israélo-arabe du « Yom Kippour », qui eut lieu en octobre de la même année deux mois plus tard, laquelle fut suivie de la première « crise du pétrole », début de la crise économique mondiale. Depuis les statistiques du chômage n’ont fait que grimper pendant des années.

Il parla des « crises majeures » qui devaient frapper les Etats-Unis, le Japon et l’Europe Occidentale, puis le monde entier : la crise économique, les bouleversements climatiques, la crise de la moralité et enfin celle de la spiritualité. Le « mouvement pour Jésus » devrait se transformer en « révulsion contre Jésus ». Le mouvement œcuménique mondial devrait s’opposer au mouvement spirituel charismatique et aux chrétiens qui annoncent le retour de Jésus… Cela doit-il nous étonner ?

Il annonça l’évangélisation des pays de l’Est et de la Chine. La démocratisation de l’Europe Orientale se fit en 1989 et celle de la Russie en 1991.

La crise économique n’est pas arrivée à son extrême, ni les bouleversements climatiques, mais nous pouvons déjà observer en 2006 qu’il ne s’était pas trompé.

Beaucoup s’élevèrent contre sa vision, mais assurément elle venait de Dieu !

Une cassette de sa vision (pour magnétophone) fut d’abord diffusée et nous avons pris connaissance de la publication traduite en langue française suivante :

La Vision de David WILKERSON

(Nouvelle traduction française de Philippe Le Perru)

Editions VIDA, achevé d’imprimer à Miami, dans l’Etat de Floride en août 1981.

Patrick DOLCIANI

 

 

Article N° 52 :

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D

01/10/2006

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34

Métis

Calcédoine

Pommes

Volubilis

Singe

Dimanche 1er octobre 2006

Scénario hypothétique des prophéties « non accomplies » en 2027 :

Comment faudrait-il s’expliquer, par exemple face à la presse, dans le cas où, en 2027, les prophéties apocalyptiques ne se seraient toujours pas accomplies, pas plus que le retour de Jésus ?

C’est une question très importante à laquelle il me semble nécessaire de répondre à l’avance, maintenant, en 2006.

Nous pouvons constater que tout correspond, depuis les événements historiques connus du passé jusqu’à la « projection dans le futur » de leur trame cyclique, avec une disposition de l’Apocalypse allant dans les années à venir de 2020 à 2027. Il n’y a aucune autre « place » pour situer les événements apocalyptiques dans le futur, sinon le schéma des cycles qui correspond avec les divisions cycliques de l’année solaire (pour un jour = 20 ans) ne serait plus respecté. Les éléments du « puzzle » ne laissent en effet aucun autre emplacement cyclique ou « vide » à l’intérieur du « puzzle de l’histoire » dans lequel l’Apocalypse trouverait sa position. Il ne serait donc pas possible d’apporter une explication : la bouche serait fermée et il y aurait un « démenti formel » de tout ce qui a été annoncé.

Il y aurait de quoi se « trouver mal » face à un tel « démenti ». Pourtant, le risque a été pris, mais non sans mûre réflexion !

Que faudrait-il honnêtement conclure ?

a)     les prophéties seraient fausses ;

b)     les cycles historiques ne seraient pas réels, mais seulement une « vue de l’esprit » ;

c)      le schéma des cycles historiques serait erroné ;

d)     Dieu n’accomplit les prophéties qu’au moment choisi par lui et connu de lui seul, que nul ne peut connaître à l’avance, comme beaucoup l’affirment ;

e)     Jésus ne serait pas « le Fils de Dieu », mais seulement « un prophète » et il ne reviendra jamais ;

f)       la Bible n’est pas un « livre historique », et rien ne peut être daté dans le futur ;

g)     l’avenir est impossible à connaître, sauf de Dieu seul ;

h)    Dieu n’existe pas et l’histoire est l’aboutissement de différentes causes naturelles qui produisent des effets logiques ;

i)       les cycles historiques seraient « globalement vrais », mais il ne faut pas les cerner avec précision.

Nous observons, dans tous les cas de figure cités où l’on chercherait à expliquer la raison pour laquelle les prophéties ne se seraient pas accomplies en 2027, qu’il serait alors nécessaire d’abandonner toutes les découvertes qui ont été faites jusque là après de nombreuses années de recherches et de découvertes, à savoir : les cycles de l’histoire de l’Eglise ou d’Israël (sur la base de sept fois 280 ans), les cycles de l’histoire du monde (sur la base de sept fois 1040 ans), les cycles du calendrier mésoaméricain associés avec les révolutions synodiques des planètes, etc.

Toutes ces découvertes « extraordinaires » seraient alors vite oubliées, car elles n’auraient pas pu servir à connaître à l’avance les dates à venir des événements apocalyptiques. Autrement dit, elles n’auraient servi à rien !

Quel échec et quel découragement pour l’auteur de ces découvertes, après tant de travail ! Tout cela pour rien, sinon avoir involontairement « trompé » ceux qui y auraient cru ! Comment s’en remettre ? Je crois que ce ne serait pas « possible » !

Il reste cependant une dernière possibilité qu’il faut prendre en compte : les prophéties s’accompliraient réellement de 2020 à 2027 ! Mais pourquoi le croire et le dire, en prenant un risque évident, celui qui vient d’être évoqué ? Il y a deux raisons : la première, c’est la conviction intime ! Cela ne s’explique pas très bien, mais la « conviction intime », après des années de travail et de réflexions, ce n’est pas sans valeur. C’est donc la « conscience tranquille » que l’auteur de ces découvertes avait eu le courage de commencer à en parler par expédition postale d’une « lettre circulaire » à différentes Eglises en France à partir de mars 2004, plutôt que de les tenir cachées. Il y a eu aussi une deuxième raison qui s’est ajoutée à la première, car j’avais renoncé, à partir de juin 2004, à continuer à faire connaître mes découvertes par voie postale ou d’autres manières, parce qu’elles contiennent les dates de l’Apocalypse (découvertes en Janvier 2004), lesquelles sont effectivement déterminées par les cycles de l’histoire, mais ne sont généralement pas acceptées par les Eglises (très peu de réponses, quelques-unes hostiles et très peu d’autres, apparemment favorables)… En janvier 2005, je pensais avoir « définitivement » renoncé à faire connaître mes découvertes, et j’avais décidé de ne plus rien faire en attendant l’année 2020 (début programmé par les cycles historiques des événements apocalyptiques). J’avais commencé des lectures personnelles en temps de loisir et j’avais décidé d’attendre pendant plusieurs années en gardant désormais le silence sur mes découvertes… Je me souviens que j’avais suivi de près la maladie et la mort de Jean-Paul II auquel j’avais déjà écrit, puis l’élection de Benoît XVI à la télévision, auquel j’avais envoyé une première lettre. Ensuite, Jésus m’a parlé (en juin 2005) alors que je ne m’y attendais pas du tout, pour que je n’abandonne pas… Etait-ce une illusion ? Chacun est libre de le croire, mais l’auteur de ces lignes n’en doute pas car sinon, il vous l’assure, il aurait réellement et définitivement abandonné ! Je suis un « libre chercheur » et un petit salarié, comme beaucoup d’autres ! Cela ne me rapporte rien, mais me coûte plutôt ! Je le fais par amour pour Dieu parce que Jésus me l’a demandé ! C’est tout ! Je n’attends rien et je n’espère rien de personne à cause de ce que je fais, mais j’aime Dieu, lui qui nous aime tous !

Patrick DOLCIANI

 

 

Article N° 50 :

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22/09/2006

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Nysa

Calcédoine

Poires

Renoncule

Cheval

Vendredi 22 septembre 2006

L’énigmatique Nostradamus :

Période historique de 1512 (Nostradamus avait 9 ans) à Henri III (1574-1589) :

1512-1517

Concile de Latran V (conflit avec le roi de France Louis XII)

1512-1513

Martin Luther est "illuminé" par la lecture de l'épître aux Romains

1515-1547

François I°, roi de France

1517

Luther publie ses 95 thèses

1519-1522

Tour du monde par Magellan

1519

Charles Quint accède à l'empire (Saint Empire)

1519

Début de la conquête de l'Empire aztèque par Cortez

1520

Soliman le Magnifique, sultan d'un grand empire

1521

Excommunication de Luther : début de la Réforme protestante

1521

L'Empire aztèque est renversé par les Espagnols

1522-1527

Hernan Cortès gouverne le Mexique

1523

Mennonites, fondé par Menno Simmons

1529-1533

Conquête de l'Empire inca par Pizarro

1530

Confession d'Augsbourg de Luther en Allemagne

1534

Les Français s'installent au Canada

1534-1540

Débuts de la Compagnie de Jésus, d'Ignace de Loyola

1536

Calvinisme : Institution de la religion chrétienne

1540-1546

L'Empire maya est soumis par les Espagnols

1541

Fondation de l'Eglise réformée à Genève par Calvin

1543

Copernic : Des révolutions des corps célestes

1545-1563

Concile de Trente : la Réforme catholique

1547-1559

Henri II, roi de France

1555

Paix d'Augsbourg : principe cujus regio, ejus religio

1555-56

Centuries de Nostradamus

1556-1564

Ferdinand I°, empereur

1556-1605

Akbar, empereur moghol en Inde

1559-1560

François II, roi de France

1560-1574

Charles IX, roi de France

1562

Réforme des Carmélites en Espagne (sainte Thérèse)

1562-1598

Guerres de Religion en France

1564

Naissances de Shakespeare et de Galilée

1564

Nostradamus, médecin de Charles IX

1566

Mort de Nostradamus.

1574-1589

Henri III, roi de France

 

Nostradamus ou Michel de Nostre-Dame est né à Saint-Rémy-de-Provence en 1503 et mort à Salon en 1566. Il fut médecin et astrologue français et l’auteur en 1555 des Centuries astrologiques. Catherine de Médicis (1519-1589), reine de France par son mariage avec Henri II, en fit le médecin de Charles IX en 1564. Mère des trois derniers rois Valois, François II, Charles IX et Henri III, elle fut Régente de Charles IX (1560-1574). Six ans après la mort de Nostradamus, elle décida le massacre des Protestants à Paris dans la nuit de la Saint Barthélémy du 24 août 1572 après avoir persuadé son fils, Charles IX, d’un complot huguenot : 3000 protestants avec leurs chefs furent tués et la Guerre des religions fut relancée pendant plusieurs mois en province.

Médecin à Salon, Nostradamus se rendit populaire lors des pestes du Midi, mais sa célébrité universelle se fit à partir de la publication de ses « Centuries astrologiques », prédictions en quatrains. Ce recueil de prophéties est très critiqué car, rédigé de façon énigmatique et souvent incompréhensible, on peut en tirer « toutes les interprétations que l’on désire ». Cependant, il est admis qu’il prédit la mort sans héritier des trois fils d’Henri II, lui-même roi de France de 1547 à 1559 où il mourut accidentellement, blessé à l’œil par Montgomery dans un tournoi.

Rien ne semble crédible dans les prophéties de Nostradamus et, pourtant, elles ont « défrayé la chronique » !

Voici la méthode proposée pour « décoder » les quatrains des Centuries :

1)      Sélectionner ceux qui peuvent être reconnus comme déjà accomplis ;

2)      Sélectionner ceux qui ne sont pas encore accomplis en 2006 ;

3)      Sélectionner ensuite ceux qui se rapportent aux événements apocalyptiques, dont nous connaissons la teneur prophétique et les traduire ;

4)      Prenant en compte le temps qui reste jusqu’aux événements apocalyptiques, de 2006-2007 à 2020, tenter de sélectionner et traduire tous les quatrains qui restent pour cette période en tenant compte de la situation politique internationale actuellement connue ;

5)      Placer le tout dans l’ordre chronologique le plus probable, c’est-à-dire en tenant compte de l’effet d’engrenage suivant lequel « un événement en entraîne un autre » ;

6)      Enfin, trouver la clé de décodage des Centuries.

Si cette opération réussie, alors les prophéties de Nostradamus pourraient être reconnues comme authentiques ! Mais ce travail ne peut être achevé avant quelques mois.

Patrick DOLCIANI

 

 

Article N° 49 :

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V

22/09/2006

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Nysa

Calcédoine

Poires

Renoncule

Cheval

Vendredi 22 septembre 2006

Le Coran contre le Salut en Jésus, le Fils de Dieu :

Voici des extraits du Coran qui prouvent qu’il ne peut être accepté en aucun cas par les Chrétiens eux-mêmes, car il nie la divinité de Jésus et, par voie de conséquence, le Salut en Jésus-Christ. Mahomet ne reconnaît pas Jésus comme celui qui a accompli le Salut, c’est-à-dire qu’il ne reconnaît pas la valeur expiatoire du sacrifice de Jésus accompli sur la croix. C’est donc bien la doctrine du Salut, telle que nous la trouvons dans le Nouveau Testament, qui est remise en cause par le Coran !

 

Sourate 81. L'obscurcissement (At-Takwir)

19. Ceci [le Coran] est la parole d'un noble Messager,

20. doué d'une grande force, et ayant un rang élevé auprès du Maître du Trône,

21. obéi, là-haut, et digne de confiance.

22. Votre compagnon (Muhammad) n'est nullement fou;

23. il l'a effectivement vu (Gabriel), au clair horizon

24. et il ne garde pas avarement pour lui-même ce qui lui a été révélé.

25. Et ceci [le Coran] n'est point la parole d'un diable banni.

 

Sourate 112. Le monothéisme pur (Al-Ihlas)

1. Dis: ‹Il est Allah, Unique.

2. Allah, Le Seul à être imploré pour ce que nous désirons.

3. Il n'a jamais engendré, n'a pas été engendré non plus.

4. Et nul n'est égal à Lui›.

 

Sourate 61. Le rang (As-Saff)

6. Et quand Jésus fils de Marie dit: ‹Ô Enfants d'Israël, je suis vraiment le Messager d'Allah [envoyé] à vous, confirmateur de ce qui, dans la Thora, est antérieur à moi, et annonciateur d'un Messager à venir après moi, dont le nom sera ‹Ahmad›. Puis quand celui-ci vint à eux avec des preuves évidentes, ils dirent: ‹C'est là une magie manifeste›.

9. C'est Lui qui a envoyé Son messager avec la guidée et la Religion de Vérité, pour la placer au-dessus de toute autre religion, en dépit de l'aversion des associateurs.

 

Sourate 53. L'étoile (An-Najm)

1. Par l'étoile à son déclin!

2. Votre compagnon ne s'est pas égaré et n'a pas été induit en erreur

3. et il ne prononce rien sous l'effet de la passion;

4. ce n'est rien d'autre qu'une révélation inspirée.

5. que lui a enseigné [L'Ange Gabriel]: à la force prodigieuse,

6. doué de sagacité; c'est alors qu'il se montra sous sa forme réelle [angélique],

7. alors qu'il se trouvait à l'horizon supérieur.

8. Puis il se rapprocha et descendit encore plus bas,

9. et fut à deux portées d'arc, ou plus près encore.

10. Il révéla à Son serviteur ce qu'Il révéla.

11. Le cœur n'a pas menti en ce qu'il a vu.

 

Sourate 57. Le fer (Al-Hadid)

26. Nous avons effectivement envoyé Noé et Abraham et accordé à leur descendance la prophétie et le Livre. Certains d'entre eux furent bien- guidés, tandis que beaucoup d'entre eux furent pervers.

27. Ensuite, sur leurs traces, Nous avons fait suivre Nos [autres] messagers, et Nous les avons fait suivre de Jésus fils de Marie et lui avons apporté l'Evangile, et mis dans les cœurs de ceux qui le suivirent douceur et mansuétude. Le monachisme qu'ils inventèrent, Nous ne le leur avons nullement prescrit. [Ils devaient] seulement rechercher l'agrément d'Allah. Mais ils ne l'observèrent pas (ce monachisme) comme il se devait. Nous avons donné leur récompense à ceux d'entre eux qui crurent. Mais beaucoup d'entre eux furent des pervers.

 

Sourate 42. La consultation (Achoura)

13. Il vous a légiféré en matière de religion, ce qu'Il avait enjoint à Noé, ce que Nous t'avons révélé, ainsi que ce que Nous avons enjoint à Abraham, à Moïse et à Jésus: ‹Etablissez la religion; et n'en faites pas un sujet de division›. Ce  à quoi tu appelles les associateurs leur paraît énorme. Allah élit et rapproche de Lui qui Il veut et guide vers Lui celui qui se repent.

 

Sourate 19. Marie (Maryam)

2. C'est un récit de la miséricorde de ton Seigneur envers Son serviteur Zacharie.

3. Lorsqu'il invoqua son Seigneur d'une invocation secrète,

4. et dit: ‹Ô mon Seigneur, mes os sont affaiblis et ma tête s'est enflammée de cheveux blancs. [Cependant], je n'ai jamais été malheureux [déçu] en te priant, ô mon Seigneur.

5. Je crains [le comportement] de mes héritiers, après moi. Et ma propre femme est stérile. Accorde-moi, de Ta part, un descendant

6. qui hérite de moi et hérite de la famille de Jacob. Et fais qu'il te soit agréable, ô mon Seigneur›.

7. ‹Ô Zacharie, Nous t'annonçons la bonne nouvelle d'un fils. Son nom sera Yahya [Jean]. Nous ne lui avons pas donné auparavant d'homonyme›.

8. Et [Zacharie dit]: ‹Ô mon Seigneur, comment aurai-je un fils, quand ma femme est stérile et que je suis très avancé en vieillesse ?›

9. [Allah] lui dit: ‹Ainsi sera-t-il! Ton Seigneur a dit: ‹Ceci m'est facile. Et avant cela, Je t'ai créé alors que tu n'étais rien›.

10. ‹Ô mon Seigneur, dit [Zacharie], accorde-moi un signe›. ‹Ton signe, dit [Allah,] sera que tu ne pourras pas parler aux gens pendant trois nuits tout en étant bien portant.

11. Il sortit donc du sanctuaire vers son peuple; puis il leur fit signe de prier matin et soir.

12. ...‹Ô Yahya, tiens fermement au Livre (la Thora) ! › Nous lui donnâmes la sagesse alors qu'il était enfant,

13. ainsi que la tendresse de Notre part et la pureté. Il était pieux,

14. et dévoué envers ses père et mère; et ne fut ni violent ni désobéissant.

15. Que la paix soit sur lui le jour où il naquit, le jour où il mourra, et le jour où il sera ressuscité vivant!

16. Mentionne, dans le Livre (le Coran), Marie, quand elle se retira de sa famille en un lieu vers l'Orient.

17. Elle mit entre elle et eux un voile. Nous lui envoyâmes Notre Esprit (Gabriel), qui se présenta à elle sous la forme d'un homme parfait.

18. Elle dit: ‹Je me réfugie contre toi auprès du Tout Miséricordieux. Si tu es pieux, [ne m'approche point].

19. Il dit: ‹Je suis en fait un Messager de ton Seigneur pour te faire don d'un fils pur›.

20. Elle dit: ‹Comment aurais-je un fils, quand aucun homme ne m'a touchée, et je ne suis pas prostituée ?›

21. Il dit: ‹Ainsi sera-t-il! Cela M'est facile, a dit ton Seigneur! Et Nous ferons de lui un signe pour les gens, et une miséricorde de Notre part. C'est une affaire déjà décidée›.

22. Elle devient donc enceinte [de l'enfant], et elle se retira avec lui en un lieu éloigné.

23. Puis les douleurs de l'enfantement l'amenèrent au tronc du palmier, et elle dit: ‹Malheur à moi! Que je fusse morte avant cet instant! Et que je fusse totalement oubliée!›

24. Alors, il l'appela d'au-dessous d'elle, [lui disant:] ‹Ne t'afflige pas. Ton Seigneur a placé à tes pieds une source.

25. Secoue vers toi le tronc du palmier: il fera tomber sur toi des dattes fraîches et mûres.

26. Mange donc et bois et que ton œil se réjouisse! Si tu vois quelqu'un d'entre les humains, dis [lui:] ‹Assurément, j'ai voué un jeûne au Tout Miséricordieux: je ne parlerai donc aujourd'hui à aucun être Humain›.

27. Puis elle vint auprès des siens en le portant [le bébé]. Ils dirent: ‹Ô Marie, tu as fait une chose monstrueuse!

28. ‹Sœur d’Haroun, ton père n'était pas un homme de mal et ta mère n'était pas une prostituée›.

29. Elle fit alors un signe vers lui [le bébé]. Ils dirent: ‹Comment parlerions-nous à un bébé au berceau ?›

30. Mais (le bébé) dit: ‹Je suis vraiment le serviteur d'Allah. Il m'a donné le Livre et m'a désigné Prophète.

31. Où que je sois, Il m'a rendu béni; et Il m'a recommandé, tant que je vivrai, la prière et la Zakat;

32. et la bonté envers ma mère. Il ne m'a fait ni violent ni malheureux.

33. Et que la paix soit sur moi le jour où je naquis, le jour où je mourrai, et le jour où je serai ressuscité vivant.›

34. Tel est Hissa (Jésus), fils de Marie: parole de vérité, dont ils doutent.

35. Il ne convient pas à Allah de S'attribuer un fils. Gloire et Pureté à Lui! Quand Il décide d'une chose, Il dit seulement: ‹Soi!› et elle est.

36. Certes, Allah est mon Seigneur tout comme votre Seigneur. Adorez-le donc. Voilà un droit chemin›.

 

Sourate 9. Le repentir (At-Tawbah)

30. Les Juifs disent: ‹Uzayr est fils d'Allah› et les Chrétiens disent: ‹Le Christ est fils d'Allah›. Telle est leur parole provenant de leurs bouches. Ils imitent le dire des mécréants avant eux. Qu'Allah les anéantisse! Comment s'écartent-ils (de la vérité) ?

31. Ils ont pris leurs rabbins et leurs moines, ainsi que le Christ fils de Marie, comme Seigneurs en dehors d'Allah, alors qu'on ne leur a commandé que d'adorer un Dieu unique. Pas de divinité à part Lui! Gloire à Lui! Il est au-dessus de ce qu'ils [Lui] associent.

32. Ils veulent éteindre avec leurs bouches la lumière d'Allah, alors qu'Allah ne veut que parachever Sa lumière, quelque répulsion qu'en aient les mécréants.

33. C'est Lui qui a envoyé Son messager avec la bonne direction et la religion de la vérité, afin qu'elle triomphe sur toute autre religion, quelque répulsion qu'en aient les associateurs.

34. Ô vous qui croyez! Beaucoup de rabbins et de moines dévorent, les biens des gens illégalement et [leur] obstruent le sentier d'Allah. A ceux qui thésaurisent l'or et l'argent et ne les dépensent pas dans le sentier d'Allah, annonce un châtiment douloureux,

35. le jour où (ces trésors) seront portés à l'incandescence dans le feu de l'Enfer et qu'ils en seront cautérisés, front, flancs et dos: voici ce que vous avez thésaurisé pour vous-mêmes. Goûtez de ce que vous thésaurisiez.›

 

Sourate 5. La table servie (Al-Maidah)

14. Et de ceux qui disent: ‹Nous sommes chrétiens›, Nous avons pris leur engagement. Mais ils ont oublié une partie de ce qui leur a été rappelé. Nous avons donc suscité entre eux l'inimitié et la haine jusqu'au Jour de la Résurrection. Et Allah les informera de ce qu'ils faisaient.

15. Ô gens du Livre! Notre Messager (Muhammad) vous est certes venu, vous exposant beaucoup de ce que vous cachiez du Livre, et passant sur bien d'autres choses! Une lumière et un Livre explicite vous sont certes venus d'Allah !

16. Par ceci (le Coran), Allah guide aux chemins du salut ceux qui cherchent Son agrément. Et Il les fait sortir des ténèbres à la lumière par Sa grâce. Et Il les guide vers un chemin droit.

17. Certes sont mécréants ceux qui disent: ‹Allah, c'est le Messie, fils de Marie!› - Dis: ‹Qui donc détient quelque chose d'Allah (pour L'empêcher), s'Il voulait faire périr le Messie, fils de Marie, ainsi que sa mère et tous ceux qui sont sur la terre?... A Allah seul appartient la royauté des cieux et de la terre et de ce qui se trouve entre les deux›. Il crée ce qu'Il veut. Et Allah est Omnipotent.

18. Les Juifs et les Chrétiens ont dit: ‹Nous sommes les fils d'Allah et Ses préférés.› Dis: ‹Pourquoi donc vous châtie-t-Il pour vos péchés ?› En fait, vous êtes des êtres humains d'entre ceux qu'Il a créés. Il pardonne à qui Il veut et Il châtie qui Il veut. Et à Allah seul appartient la royauté des cieux et de la terre et de ce qui se trouve entre les deux. Et c'est vers Lui que sera la destination finale.

19. Ô gens du Livre! Notre Messager (Muhammad) est venu pour vous éclairer après une interruption des messagers afin que vous ne disiez pas: ‹Il ne nous est venu ni annonciateur ni avertisseur›. Voilà, certes, que vous est venu un annonciateur et un avertisseur. Et Allah est Omnipotent.

46. Et Nous avons envoyé après eux Jésus, fils de Marie, pour confirmer ce qu'il y avait dans la Thora avant lui. Et Nous lui avons donné l'Evangile, où il y a guide et lumière, pour confirmer ce qu'il y avait dans la Thora avant lui, et un guide et une exhortation pour les pieux.

47. Que les gens de l'Evangile jugent d'après ce qu'Allah y a fait descendre. Ceux qui ne jugent pas d'après ce qu'Allah a fait descendre, ceux-là sont les pervers.

48. Et sur toi (Muhammad) Nous avons fait descendre le Livre avec la vérité, pour confirmer le Livre qui était là avant lui et pour prévaloir sur lui. Juge donc parmi eux d'après ce qu'Allah a fait descendre. Ne suis pas leurs passions, loin de la vérité qui t'est venue. A chacun de vous Nous avons assigné une législation et un plan à suivre. Si Allah avait voulu, certes Il aurait fait de vous tous une seule communauté. Mais Il veut vous éprouver en ce qu'Il vous donne. Concurrencez donc dans les bonnes œuvres. C'est vers Allah qu'est votre retour à tous; alors Il vous informera de ce en quoi vous divergiez.

51. Ô les croyants! Ne prenez pas pour alliés les Juifs et les Chrétiens; ils sont alliés les uns des autres. Et celui d'entre vous qui les prend pour alliés, devient un des leurs. Allah ne guide certes pas les gens injustes.

65. Si les gens du Livre avaient la foi et la piété, Nous leur aurions certainement effacé leurs méfaits et les aurions certainement introduits dans les Jardins du délice.

66. S'ils avaient appliqué la Thora et l'Evangile et ce qui est descendu sur eux de la part de leur Seigneur, ils auraient certainement joui de ce qui est au-dessus d'eux et de ce qui est sous leurs pieds. Il y a parmi eux un groupe qui agit avec droiture; mais pour beaucoup d'entre eux, comme est mauvais ce qu'ils font!

72. Ce sont, certes, des mécréants ceux qui disent: ‹En vérité, Allah c'est le Messie, fils de Marie.› Alors que le Messie a dit: ‹Ô enfants d'Israël, adorez Allah, mon Seigneur et votre Seigneur›. Quiconque associe à Allah (d'autres divinités) Allah lui interdit le Paradis; et son refuge sera le Feu. Et pour les injustes, pas de secoureurs!

73. Ce sont certes des mécréants, ceux qui disent: ‹En vérité, Allah est le troisième de trois.› Alors qu'il n'y a de divinité qu'Une Divinité Unique! Et s'ils ne cessent de le dire, certes, un châtiment douloureux touchera les mécréants d'entre eux.

 

Article N° 48 :

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J

21/09/2006

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Harmonie

Saphir

Oranges

Primevère

Homme

Jeudi 21 septembre 2006

Au sujet du Coran et de la foi chrétienne :

Mahomet (en arabe « Le Loué »), est né à La Mecque vers 570 et il est mort à Médine en 632. Orphelin, il fut élevé par son oncle et garda les troupeaux. Il entra par la suite au service d’une veuve, Khadîdja, pour accompagner ses caravanes en Syrie et bientôt ils se marièrent. Ils eurent une fille, Fatima, qui épousa Ali, cousin de Mahomet et assurera la descendance du prophète.

Mahomet avait l’habitude de méditations solitaires et il se rendait pour cela dans une grotte du mont Hira, proche de La Mecque. Il eut des songes et des visions. Un ange se présenta à lui sous l’identité de l’archange Gabriel.

Alors, il délivra son message à son entourage, mais les riches de La Mecque refusèrent sa doctrine. Il présentait dans ces conditions tous les aspects d’un prophète authentique car les humbles formèrent un groupe d’adeptes qui partageaient sa foi, mais pas les riches, naturellement « amis de l’argent » et « ennemis de Dieu ». En 622, Mahomet et ses disciples furent contraints d’aller se réfugier à Yathrib, une palmeraie qui se trouvait au Nord-ouest de La Mecque. Cette année là, celle de l’émigration où tout semblait perdu pour Mahomet, devint au contraire le début de l’ère musulmane appelée hégire (hidjra). Ce fut la caractéristique de toute l’histoire de l’Islam : lorsque tout semble perdu, il triomphe toujours ! Et le nom de Yathrib fut changé en Médine (la ville du prophète).

Mahomet y organisa sa communauté (umma) formée par les émigrés de La Mecque et les nouveaux disciples de Médine.

Il y eut guerre entre La Mecque et Médine, la ville du prophète. Mais les défaites et les victoires se succédèrent les unes aux autres sans résultat définitif. Six ans après le début de l’hégire, en 628, une trêve de 10 ans fut conclue, laquelle permettait l’organisation de pèlerinages. Mais deux ans plus tard, en 630, La Mecque rompit la trêve et, contrairement à toute attente, Mahomet s’empara de la ville. Dès lors, il fit ce que les prophètes inspirés ont toujours fait : il détruisit les idoles et décréta une amnistie générale : c’était un triomphe !

Mahomet retourna à Médine, devenue sa ville. Les derniers adversaires se rallièrent à l’Islam et en 632, dix ans après le début de l’hégire, toute l’Arabie était conquise !

Mahomet fit le pèlerinage de l’adieu à La Mecque, codifia les rites de l’Islam, et, à son retour il tomba malade et mourut le 8 juin 632.

Le troisième calife, Uthman ordonna, entre les années 644 et 656, de recenser tous les recueils existants du Coran afin d’en rédiger une version unique et définitive ; lorsqu’elle fut établie, toutes les anciennes versions du Coran furent détruites.

Le Coran contient 114 chapitres ou sourates, rangés en ordre décroissant en fonction de leur longueur. Ils ressemblent à des « Psaumes » qui peuvent et doivent être appris « par cœur ». Ils racontent différents aspects de l’histoire biblique et donnent l’interprétation qu’il faut en tirer selon les révélations faites par l’ange qui est apparu à Mahomet. Le Coran se présente comme la dernière révélation, supérieure aux précédentes, parce qu’il est l’interprétation de l’histoire biblique, Ancien et Nouveau Testament, du point de vue des anges.

Dans ces conditions, comment ne pas penser que la révélation du Coran est extraordinaire ? Une intervention de Dieu, par l’intermédiaire de « l’Archange Gabriel » aurait été jugée nécessaire pour « rétablir la vérité » et la faire connaître aux hommes, mission dont Mahomet, le prophète, fut chargé !

Quiconque lit le Coran sans avoir lu la Bible se laisse séduire !

Car, quelle est la différence ? Quelle est la « grande révélation » du Coran ?

Le savez-vous ?

D’après le Coran, Jésus n’est pas le Fils de Dieu, mais seulement un prophète !

Voilà la vérité ! Le Coran n’existe que pour s’opposer à Jésus, le Fils de Dieu, le seul par lequel nous puissions recevoir le Salut ! C’est sa raison d’être !

Mais il y a aussi une autre raison : c’est le jugement de Dieu contre l’Eglise qui a abandonné les enseignements fondamentaux de Jésus et des apôtres !

C’est aussi un jugement de nos jours contre tout l’Occident !

En effet, tous ceux qui, dans les pays chrétiens, ont abandonné la foi, sont soumis au jugement de Dieu : l’Islam triomphe au détriment de la foi chrétienne et s’impose toujours plus dans le monde !

Choisir le matérialisme, la loi du profit, celle de l’exploitation de l’homme par l’homme est un péché, car c’est l’établissement de l’injustice !

Les pays riches en Occident le sont devenus parce qu’ils avaient reçu l’Evangile avec foi et qu’ils ont été bénis ! Mais cette même foi a été abandonnée d’abord pour « l’amour de l’argent », et ensuite pour « l’amour des plaisirs et du péché » ! L’Occident a rejeté Dieu, mais, dans sa providence, Dieu a permis à l’Islam d’exercer son jugement ! Pourquoi ? Parce qu’on ne se moque pas de Dieu, on ne prêche pas l’Evangile pour « faire de l’argent » sans s’attirer la réprobation divine, on n’exploite pas le peuple, alors qu’on se dit « chrétien », sans avoir à rendre des comptes ! Le monde chrétien est jugé et il ne peut rien faire, parce qu’il s’est « moqué de Dieu » et maintenant, il ne reste pour lui que l’attente du jugement.

Allez-vous convertir les musulmans au christianisme, vous qui avez abandonné la foi chrétienne ? Et vous, qui « prêchez l’Evangile pour faire de l’argent », croyez-vous que Dieu entendra vos prières ? Jamais de la vie ! Car Dieu n’exauce pas les pécheurs, et c’est ce que vous êtes, car vous faites de l’Evangile un prétexte pour « faire de l’argent » ! Malheur à vous, car votre jugement est prononcé ! Ils ont reçu le Coran, mais ils ne savaient pas, ils ne comprenaient pas qu’il y avait là un « piège », à savoir : ils perdaient en même temps la possibilité de recevoir le salut en Jésus-Christ, le seul que Dieu ait donné pour notre salut ! Mais, vous, vous êtes infiniment plus coupables, car vous connaissiez l’Evangile, la Parole de Dieu, et vous vous êtes détournés de la foi ! Vous avez « préféré le péché » !

Patrick DOLCIANI

 

Article N° 47 :

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J

21/09/2006

30

24

Harmonie

Saphir

Oranges

Primevère

Homme

Jeudi 21 septembre 2006

Au sujet de la puissance des ténèbres :

L’amour de la matière s’oppose à la vision spirituelle des choses, l’amour de l’argent agit contre l’amour du prochain et le plaisir des sens s’oppose à l’amour de Dieu. Il y a la matière et l’esprit, mais la matière annule l’esprit, l’amour de l’argent annule l’amour du prochain et le plaisir des sens égare l’esprit.

Il y a par conséquent deux chemins : la vie de la chair est le chemin large et la vie de l’esprit est le chemin étroit. Le large est suivi par le plus grand nombre car c’est aussi le plus facile à suivre. Il est l’amour du monde, l’orgueil de la vie et la violence. Mais le chemin de l’esprit, celui qui est étroit, est celui du renoncement, de la recherche de la vérité qui est « ailleurs », de la vie spirituelle et de la rencontre avec Dieu. Alors les yeux s’ouvrent et l’esprit s’éclaire : nous découvrons l’amour divin car Dieu est amour !

Regardons-nous le ciel ou la terre ? Ici-bas règne la puissance des ténèbres et les richesses du monde conduisent aux portes de l’enfer…

Elevons les yeux au ciel, dans l’immensité de l’Univers infini car Dieu est au-dessus de la Terre ! Nous découvrons le Soleil, la Lune et les étoiles… Nous observons l’espace infini, symbole d’éternité, mais aussi de paix, enfin le repos ! Le Soleil donne la lumière et la chaleur, la Lune donne la paix de l’esprit dans le silence de la nuit et les étoiles sont l’expression de l’amour infini de Dieu ! Là se trouve la vérité ! Celui qui regarde le ciel reste humble et obtient la paix de l’esprit, mais celui qui regarde la terre et observe les richesses qui s’y trouvent plonge son esprit dans l’égarement des ténèbres car ici se trouve la voie de la perdition éternelle !

Car la terre englouti les hommes et les animaux. Elle est dominée par les puissants de ce monde et elle se couvre d’un nombre infini de tombes… Voici le défilement des cercueils, les plaintes et les gémissements, car « les morts enterrent leurs morts » ! Avide, la terre avale les hommes, les grands de ce monde et les autres, elle englouti leurs corps et leurs âmes qui tombent dans l’oubli, car elle dévore toutes choses… L’homme est de la terre et y retourne, car ce qui est en lui conduit à l’abîme, à l’enfer éternel. Mais ce qui est en haut délivre de la mort, car le salut vient du ciel et non de la terre…

Laissons ici les richesses du monde et les puissances de l’enfer qui règne dans les ténèbres ! Tournons-nous vers le ciel d’où vient le salut, élevons nos esprits ! Plaçons-nous devant Dieu, car il est l’auteur de notre salut éternel ! Voici le ciel s’ouvre et la lumière paraît : Dieu se révèle à nous ! Il vient vers nous, se mélange à nous et en Christ, il se substitue à nous ! Il nous délivre de la puissance du péché et de la mort et nous purifie par son sang : il nous offre la vie éternelle ! Il nous délivre de la puissance des ténèbres et de la mort ! Voici : la mort n’est plus !

Mais quiconque fait des richesses de ce monde le trésor de son cœur ne vient pas à la lumière et demeure dans les ténèbres, dans l’ombre de la mort ! Car là où est ton cœur se trouve aussi ta destinée éternelle ! Abraham, le « père de la foi », n’a pas choisi les richesses de ce monde et il s’est éloigné de Sodome et Gomorrhe ! « Sauve-toi, ô Lot ! », dit l’ange, « Ne te retourne pas dans ton chemin, ne regarde pas en arrière ! » Car voici, ces villes sont détruites par le feu et la fumée de leur tourment éternel monte jusqu’au ciel ! Ainsi le monde, avec toutes ses richesses est condamné car il sera détruit de la même façon ! « Sortez du milieu d’eux, mon peuple ! », dit le Seigneur !

Patrick DOLCIANI

 

Article N° 46 :

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MC

20/09/2006

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23

Laetitia

Jaspe

Citrons

Pivoine

Abeille

Mercredi 20 septembre 2006

Aux "sources" de l’Indus et du Gange :

Extraits du séjour d’Apollonius de Tyane chez les Sages :

« Après plusieurs jours de marche à travers un pays fertile et cultivé, et la rencontre, qui lui sembla de bon augure, d’un berger qui rassemblait au son de sa flûte un blanc troupeau de biches, Apollonius et sa suite parvinrent au pied de la citadelle des Sages. »

« Comme les pèlerins se proposaient d’héberger en un village voisin, ils aperçurent un jeune homme qui venait en courant. Porteur d’une ancre d’or, symbole de salut, ce messager était plus noir que tous les autres Indiens, et une lune brillante étincelait entre ses deux sourcils. S’approchant d’Apollonius : Salut lui dit-il en s’exprimant en grec ! Les Sages t’attendent Apollonius, et m’envoient te chercher. Viens sans tarder : eux-mêmes te réclament. »

« La citadelle des Sages s’élevait au milieu de la plaine. Un plateau rocheux, d’une élévation comparable à celle de l’Acropole d’Athènes, en formait les assises, et le roc lui-même, tel un mur en couronne, constituait l’enceinte de cette forteresse. »

« Sans autrement s’attarder, le messager introduit son hôte dans l’assemblée des Sages. Ils portaient tous des cheveux longs, des mitres blanches, des vêtements de lin blanc qui laissaient un bras à découvert et qui tombaient en plis jusque sur leurs pieds nus. Dès qu’il apparut, tous se levèrent de leur siège d’airain et l’accueillirent en lui tendant la main. Seul, leur Grand Maître Jarchas ne quitta point le siège plus élevé que les autres où il était assis. »

« Alors Jarchas, sans embarras et sans ambiguïté, lui donna les plus larges détails sur ce qu’étaient et le père et la mère du Sage de Tyane, lui rappela tout ce qu’il avait fait dans sa jeunesse et dans son âge mûr, tout ce qu’il avait appris ou rencontré au cours de son voyage, comme s’il eut été son compagnon de route. »

« Une fois lavés et sortis du bain, ils se ceignirent le front d’une couronne, gagnèrent un lieu sacré en chantant des cantiques, se rangèrent en cercle, et, frappant la terre à l’aide d’une baguette douée de vertus souveraines, ils quittèrent le sol qui se gonflait sous eux comme les flots de la mer, s’élevèrent lentement dans le ciel et restèrent, à un mètre de haut, suspendus dans les airs. Cette lévitation, les Sages la pratiquaient en l’honneur du Soleil, car ils pensaient que ceux qui, comme eux, vivaient sur la terre sans s’attacher à la terre, se rendaient plus digne de ce « dieu » en s’arrachant à l’attirance du sol. Leurs hymnes terminés, les Sages reprirent contact avec la terre et revinrent s’asseoir sur leurs sièges d’airain. »

« Avec son frère et son fils d’une rare beauté, le roi, qui venait en visite non prévue chez les Sages, ne tarda pas à paraître. Revêtu d’or, il était constellé de bijoux flamboyants et de pierreries aux multiples couleurs. Apollonius allait se lever en signe de respect, mais Jarchas le retint sur son siège, en lui disant que cet usage n’existait point chez eux. Les Sages donc restèrent tous assis, et le roi, tel un suppliant, s’avança vers eux en leur tendant les mains. En signe d’accueil, les Sages inclinèrent légèrement la tête. Jarchas alors se leva et convia le roi, en omettant d’inviter et son fils et son frère, à partager avec eux la collation frugale qu’ils prenaient chaque soir. Rien n’avait été prévu ni préparé. Mais tout à coup, la terre se recouvrit d’un gazon plus moelleux qu’un tapis, des tables se chargèrent avec ordre et façon de légumes, de pain, de fruits et de racines (nous savons de nos jours que ces aliments sont les meilleurs pour la santé). Quarante trépieds d’airain (notons que ces petites tables n’avaient que trois pieds), se déplaçant d’eux-mêmes, offrirent aux convives qui s’étaient étendus sur des lits de verdure au hasard de la place où chacun se trouvait, du vin et de l’eau chaude (thé ?) ou froide. Des échansons d’airain (machines) servaient à boire en des coupes taillées dans l’intérieur des pierres transparentes ou roses que l’on trouve dans l’Inde. »

« Les sages, après avoir bu à tour de rôle à une coupe d’immortalité qui se remplissait au fur et à mesure que chacun s’y abreuvait, se couchèrent sur le lit de gazon que la terre leur avait spontanément préparé. Au milieu de la nuit, ils se levèrent et commencèrent à célébrer ce feu sans autel qu’ils tiraient du soleil et qui, tel un rayon réfléchi par les eaux, flottait dans l’atmosphère. Pour honorer cet éclat, le préserver des ténèbres et le prier de se garder aussi pur qu’il était au sortir de son foyer solaire, ils s’élevèrent comme à midi dans les airs et s’y tinrent de nouveau suspendus en chantant des cantiques. Leurs cérémonies achevées, les Sages se réunirent et se mirent à l’entière disposition du roi, car la nuit, pensaient-ils, est le temps le plus propre aux délibérations. »

« Apollonius et Damis, son disciple, admiraient la science inépuisable et les pouvoirs miraculeux de ces Sages qu’ils ne virent jamais pris au dépourvu, ni consultés sans donner un remède efficace. Toutefois, si extraordinaires qu’elles fussent, les guérisons dont ils étaient témoins ne frappaient pas autrement leur esprit, car les Sages chez lesquels ils vivaient accomplissaient bien d’autres étourdissants prodiges. N’avaient-ils point, en dehors du don de lévitation, la possibilité de se rendre invisibles, de s’environner d’un nuage pour se garantir des intempéries, et de se dérober, en l’enveloppant à leur gré d’un singulier brouillard, la montagne rocheuse où s’élevait leur sainte citadelle ? »

« Apollonius se fit expliquer les propriétés de cette pierre, appelée Pantarbe, qui brillait la nuit comme du feu et qui, durant le jour, éblouissait les yeux par mille ardents rayons. Jarchas la lui montra et lui donna la preuve que cette pierre a l’étrange pouvoir d’attirer les autres pierres, de se les attacher et de les maintenir suspendues en grappe comme un essaim d’abeilles. »

« Au jour fixé, après s’être mutuellement félicité d’avoir pu se connaître, s’apprécier et s’aimer, Apollonius et les Sages se firent leurs adieux… En souvenir de son passage, il lui fit don de sept anneaux au nom des sept planètes ; et, chaque jour depuis lors, Apollonius en porta un au doigt (un pour chaque jour de la semaine). »

 

Il s’agit ici de quelques extraits, parmi les plus significatifs, du voyage d’Apollonius de Tyane en Inde, dans un lieu tenu secret, qui pourrait bien avoir été une base « extra-terrestre » ou un immense vaisseau spatial positionné sur un plateau rocheux au Nord de l’Inde. Comprenons que les « extra-terrestres » sont aussi des « anges » et qu’ils se firent appeler eux-mêmes des « Sages » afin de ne pas effrayer les gens du peuple.

Faut-il s’étonner de cela ? Nous pensons que non, car Jésus s’était incarné et vivait en Palestine pendant qu’Apollonius de Tyane voyageait en Orient, au début du premier siècle de notre ère.

La tenue vestimentaire des « Sages » rappelle celle des moines bouddhistes : est-ce dire qu’à l’origine, beaucoup d’entre eux les avaient rencontrés ? Oui, car nous pensons que cela explique en grande partie l’histoire du bouddhisme tibétain.

Jésus avait pour mission d’annoncer le salut chez les Juifs, puis à l’Ancien Monde par l’intermédiaire de ses disciples qui ont évangélisé l’Empire romain. Par ailleurs, les « Sages » enseignaient en Inde la sagesse divine. Ce sont les moines bouddhistes qui, par la suite, répandirent leur sagesse dans tout l’Extrême-Orient. En effet, la prescience divine envisageait autre chose pour les pays du soleil levant, lesquels n’allaient pas être évangélisés par les apôtres car ils se trouvaient en des régions beaucoup trop éloignées. Nous pensons que le bouddhisme tibétain était destiné à se « substituer provisoirement au christianisme », non pour servir les « intérêts du Diable », mais pour compléter les enseignements du christianisme. Ce fut aussi la mission d’Apollonius de Tyane, qui apporta pour un temps en Occident le même enseignement que celui des moines tibétains en Extrême-Orient.

Pourquoi cette dualité spirituelle ? Pourquoi deux enseignements : celui du Christ et celui apparemment contradictoire des « Sages » de l’Inde ? L’Eglise formée par les apôtres et leurs successeurs ne pouvait pas « supporter » ce double enseignement, car il aurait certainement « affaibli » la puissance et l’importance du message du Salut par la foi en Jésus-Christ ; par ailleurs, l’enseignement de l’Eglise était très insuffisant, faut-il le souligner ? Car celle-ci, sans s’en rendre compte, n’a-t-elle pas été, au cours des siècles qui ont suivi, un véritable « creuset d’obscurantisme » ? Elle l’a effectivement été au Moyen-âge et elle l’est encore souvent de nos jours, hélas ! Il fallait donc un « double enseignement » pour établir un équilibre, celui de l’Eglise, mais aussi un « enseignement complémentaire », que nous retrouvons fort heureusement dans la « Sagesse de l’Orient ».

C’est pourquoi les prêcheurs contradicteurs, très « forts en paroles » à cause de leur habitude à « donner sans cesse des leçons de morale », condamnent sans réfléchir l’enseignement de la réincarnation, prétendant que celui-ci est l’apanage exclusif du Diable ! L’obscurantisme religieux fait peur, non sans raison ! Souvenons-nous du Moyen-âge !

Aujourd’hui, nul ne pourra plus annuler la « sagesse de l’Orient », laquelle sera finalement prise en compte par l’Occident car tel était le plan mis en œuvre dès le début par les « Sages » de l’Inde : apporter au christianisme tout ce qui lui devait lui faire défaut dans la suite des temps, grâce à un autre « espace », celui de l’Extrême-Orient, jusqu’au temps de la fin, où la connaissance augmentée des êtres humains les mettra enfin en mesure de pouvoir prendre en compte la vérité dans toute sa plénitude : celle du Salut en Jésus-Christ, mais aussi de la réalité de la réincarnation des âmes ! Toutefois, il faut rappeler que le salut n’est pas dans la réincarnation, mais en Jésus seulement, le seul Sauveur : la réincarnation de l’âme donne à tous la possibilité de trouver un jour la véritable Délivrance et offre ainsi à tous les mêmes chances, car Dieu, contrairement aux hommes, n’est pas « inique », et ses pensées ne sont pas celles d’ici-bas ! Elles s’élèvent au-dessus de celles des théologiens, souvent de bonne foi mais « aveugles », comme les cieux s’élèvent au-dessus de la terre !

Patrick DOLCIANI

 

 

Article N° 45 :

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M

19/09/2006

28

22

Amphitrite

Topaze

Ananas

Phlox

Grenouille

Mardi 19 septembre 2006

La Création Cosmique en sept « stances » du livre de Dzyan :

Les lignes et les dessins de Nazca, au Pérou correspondent au récit de la Création du livre de Dzyan. Il ne s’agit pas d’un « calendrier », mais de l’œuvre de la Création représentée en différentes figurations, lignes et figures géométriques. Elles forment une « illustration » du livre de Dzyan, dont les sept premières stances représentent les « sept jours de la Création ». L’origine du livre de Dzyan est la même que celle des représentations de Nazca : elle est « extra-terrestre ». Il s’agit des « dieux » de l’Antiquité ou des anges de la Bible : ce sont les mêmes. C’est pourquoi, il faut connaître le livre de Dzyan et en comprendre la signification.

Le livre de Dzyan est gardé dans les profondeurs des grottes souterraines du Tibet. Il y a des Bibliothèques, mais aussi une ville cachée sous terre. Là se trouvent les manuscrits de l’histoire du Monde, qui seront révélés lorsque le moment sera venu…

S’agit-il du Diable et des anges déchus ? Cette question doit être posée de façon légitime. Mais nous ne trouvons rien qui le signifie ou le prouve. Il s’agit en réalité des « Archives Secrètes de l’Histoire du Monde ». C’est pourquoi les « gardiens » savent tout !

Quiconque a reçu le don de « connaissance » peut lire le livre de Dzyan et en comprendre la signification, mais les autres demeurent dans les « Ténèbres » car ils ne font probablement pas partie des « élus ». Lisez et comprenez !

 

Stance 1 (premier jour de la Création) :

1)     La mère éternelle, enveloppée dans ses Robes à jamais Invisibles, avait de nouveau sommeillé pendant Sept Eternités.

2)     Le Temps n’était pas, car il dormait dans le Sein Infini de la Durée.

3)     Le Mental Universel n’était pas, car il n’y avait pas d’Ah-hi pour le contenir.

4)     Les Sept Chemins de Béatitude n’étaient pas. Les Grandes Causes de la Misère n’étaient pas, car il n’y avait personne pour les produire, ni pour tomber dans leur piège.

5)     Les Ténèbres seules remplissaient le Tout sans Bornes, car le Père, la Mère et le Fils étaient de nouveau un, et le Fils ne s’était pas encore réveillé pour la Roue nouvelle et son Pèlerinage sur elle.

6)     Les Sept Seigneurs Sublimes et les Sept Vérités avaient cessé d’être, et l’Univers, Fils de la Nécessité, était plongé en Paranishpanna, pour être exhalé, par le souffle de ce qui est, et cependant n’est pas. Rien n’était.

7)     Les Causes de l’Existence avaient été éliminées ; le Visible qui avait été, et l’Invisible qui est, reposaient dans le Non-être Eternel – l’Etre Unique.

8)     Seule, l’Unique Forme d’Existence s’étendait sans bornes, infinie, sans cause, dans un Sommeil sans Rêves ; et la Vie vibrait inconsciente dans l’Espace Universel, partout en cette Présence Absolue qui est ressentie par l’Œil Ouvert de Dangma.

9)     Mais où était Dangma lorsque l’Alaya de l’Univers était en Paramârtha, et que la Grande Roue était Anupâdaka ?

 

Stance 2 (deuxième jour de la Création) :

1)     Où étaient les Constructeurs, les Fils Lumineux de l’aurore Manvantarique ? Dans les Ténèbres Inconnues, dans leur Ah-hi Paranishpanna. Les Producteurs de la Forme depuis la non-Forme – la Racine du Monde – Dévamâtri et Svabhâvat, reposaient dans la Félicité du Non-être.

2)     Où était le Silence ? Où se trouvaient les oreilles pour le percevoir ? Non, il n’y avait ni Silence, ni Son : rien que le Souffle Eternel, qui ne cesse jamais, qui ne se connaît pas lui-même.

3)     L’Heure n’avait pas encore sonné ; le Rayon n’avait pas encore jailli dans le Germe ; la Mâtripadma ne s’était pas encore gonflée.

4)     Son cœur ne s’était pas encore ouvert pour laisser entrer le Rayon Unique et le laisser tomber ensuite, comme Trois en Quatre, dans le Sein de Mâyâ.

5)     Les Sept n’étaient pas encore nés du Tissu de la Lumière. Les Ténèbres seules étaient Père-Mère, Svabhâvat : et Svabhâvat était dans les Ténèbres.

6)     Ces Deux-là sont le Germe, et le Germe est Un. L’Univers était encore caché dans la Pensée Divine et dans le Sein Divin.

 

Stance 3 (troisième jour de la Création) :

1)     La dernière Vibration de la Septième Eternité tressaille à travers l’Infini. La Mère se gonfle, elle croît de dedans au dehors, comme le Bouton du Lotus.

2)     La Vibration se propage soudain, touchant de son Aile rapide tout l’Univers et le Germe qui réside dans les Ténèbres, les Ténèbres qui soufflent sur les Eaux sommeillantes de la Vie.

3)     Les Ténèbres rayonnent la Lumière, et la Lumière laisse tomber un Rayon solitaire dans les Eaux, dans l’Abîme-Mère. Le Rayon traverse rapidement l’Œuf Vierge ; il fait frissonner l’Œuf Eternel, qui laisse tomber le Germe non éternel, qui se condense en l’Œuf du Monde.

4)     Les Trois tombent dans les Quatre. L’Essence Radieuse devient Sept en dedans et Sept en dehors. L’Œuf Lumineux, qui en lui-même est Trois, se coagule et s’étend en Caillots blancs comme du lait dans les Profondeurs de la Mère, la Racine qui croît dans les Profondeurs de l’Océan de Vie.

5)     La Racine demeure, la Lumière aussi, les Caillots également et cependant Oeaohu est Un.

6)     La Racine de la Vie était en chaque Goutte de l’Océan de l’Immortalité, et l’Océan était la Lumière Radieuse, qui était Feu, Chaleur et Mouvement. Les Ténèbres disparurent et ne furent plus ; elles disparurent dans leur propre Essence, le Corps de Feu et d’Eau, du Père et de la Mère.

7)     Vois, ô Lanou, l’Enfant Radieux des Deux, la Gloire resplendissante sans pareille : l’Espace Brillant, Fils de l’Espace Obscur, qui émerge des Profondeurs des grandes Eaux Sombres. C’est Oeaohu, le plus jeune… Il resplendit comme le Soleil. Il est le Dragon de Sagesse, Flamboyant et Divin ; l’Eka est Chatur, et Chatur s’approprie Tri, et l’Union produit le Sapta, en qui sont les Sept qui deviennent le Tridasha, les Armées et les Multitudes. Vois-le, relevant le Voile et le déployant, de l’Orient à l’Occident. Il cache ce qui est en Dessus, et laisse voir le Dessous comme la Grande Illusion. Il désigne leurs places aux Etres Lumineux, change le Dessus en une Mer de Feu sans rivages, et change l’Un Manifesté en les Grandes Eaux.

8)     Où était le Germe, où étaient alors les Ténèbres ? Où est l’Esprit de la Flamme qui brûle dans la Lampe, ô Lanou ? Le Germe est Cela, et Cela est la Lumière, le Blanc et Brillant Fils du Père Obscur et Caché.

9)     La Lumière est la Flamme Froide, et la Flamme est le Feu, et le Feu produit la Chaleur qui donne l’Eau – l’Eau de Vie dans la Grande Mère.

10) Le Père-Mère tisse une Toile dont l’extrémité supérieure est attachée à l’Esprit – la Lumière des Ténèbres-Unes – et l’extrémité inférieure à son ombre, la Matière. Cette toile est l’Univers, tissé avec les Deux Substances combinées en Une, qui est Svabhâvat.

11) Cette Toile s’étend lorsque le Souffle de Feu la couvre ; elle se contracte lorsque le Souffle de la Mère la touche. Alors les Fils se séparent et se dispersent pour rentrer dans le Sein de leur Mère, à la fin du Grand Jour, et redevenir un avec elle. Lorsqu’elle se refroidit, elle devient rayonnante. Ses fils se gonflent et se contractent par leur propre Soi et par leur Cœur ; ils embrassent l’Infini.

12) Alors Svabhâvat envoie Fohat pour durcir les Atomes. Chacun est une partie de la Toile. Réfléchissant « le Seigneur Existant par Lui-même », comme un Miroir, chacun devient, à son tour, un Monde.

 

Stance 4 (quatrième jour de la Création) :

1)     O Fils de la Terre, écoutez vos Instructeurs – les Fils du Feu. Apprenez-le : il n’y a ni premier, ni dernier ; car tout est Nombre Unique, issu du Non-Nombre.

2)     Apprenez ce que nous, issus des Sept Primordiaux, nous qui sommes nés de la Flamme Primordiale, avons appris de nos Pères…

3)     De la splendeur de la Lumière – Rayon des Ténèbres Eternelles – surgirent dans l’Espace les Energies réveillées ; l’Unique de l’Œuf, le Six et le Cinq. Puis le Trois, l’Un, le Quatre, le Un, le Cinq, au Total, les deux fois Sept. Ce sont là les Essences, les Flammes, les Eléments, les Constructeurs, les Nombres, l’Aroûpa, le Roûpa, et la Force, ou l’Homme Divin, qui en est la somme totale. Et de l’Homme Divin émanèrent les Formes, les Etincelles, les Animaux Sacrés et les Messagers des Pères Sacrés contenus dans les Saints Quatre.

4)     C’était l’Armée de la Voix – la Mère divine des Sept. Les Etincelles des Sept sont les sujets et les serviteurs du Premier, du Second, du Troisième, du Quatrième, du Cinquième, du Sixième et du Septième des Sept. Ces étincelles sont nommées Sphères, Triangles, Cubes, Lignes et Modeleurs ; car c’est ainsi que se tient l’Eternel Nidâna – le Oi-Ha-Hu (Oeaohu).

5)     L’Oi-Ha-Hu, qui est « Ténèbres », le Sans-Bornes, ou le Non-Nombre, Adi-Nidâna, Svabhâvat, le « O » (cercle). A) Le Adi-Sanat, le Nombre, car il est Un. B) La Voix du Verbe, Svabhâvat, les Nombres, car il est Un et Neuf. C) Le « Carré sans Forme ». Et ces Trois, inclus dans le « O » (cercle), sont les Quatre sacré : et les Dix sont l’Univers Arûpa. Alors viennent les « Fils », les Sept Combattants, le Un, le Huitième laissé de côté, et son Souffle qui est le Faiseur de Lumière.

6)     Viennent alors les Sept Seconds qui sont les Lipika, produits par les Trois. Le Fils Rejeté est Un. Les Soleils-Fils sont innombrables.

 

Stance 5 (cinquième jour de la Création) :

1)     Les Sept Primordiaux, les Sept Premiers Souffles du Dragon de Sagesse, produisent à leur tour, de leurs Souffles Giratoires Sacrés, le Tourbillon Ardent.

2)     Ils en font le Messager de leur Volonté. Le Dzyu devient Fohat ; le fils agile des Fils Divins, dont les Fils sont les Lipika, faits de courses circulaires. Fohat est le Coursier, et la Pensée le Cavalier. Il passe comme un éclair à travers les nuages de feu ; il fait Trois, Cinq et Sept Pas à travers les Sept Régions supérieures et les Sept inférieures. Il élève la Voix, appelle les Etincelles innombrables et les réunit.

3)     Il est l’Esprit qui les guide et les conduits. Lorsqu’il commence son travail, il sépare les Etincelles du Royaume Inférieur, qui flottent et vibrent de joie dans leurs demeures lumineuses, et il forme les Germes des Roues. Il les place dans les Six Directions de l’Espace, et en laisse Une au milieu – la Roue Centrale.

4)     Fohat trace des lignes spirales pour unir le Sixième au Septième – la Couronne. Une armée de Fils de Lumière se tient à chaque angle ; les Lipika dans la Roue du Centre. Ils disent : « Cela est bon ». Le premier Monde Divin est prêt : le Premier, le Second. Alors « l’Arûpa Divin » se réfléchit dans le Châyâ Lôka, le Premier Vêtement d’Anupâdaka.

5)     Fohat fait cinq pas, et construit une roue ailée à chaque coin du carré pour les quatre Très Saints… et leurs Armées.

6)     Les Lipika circonscrivent le Triangle, le Premier Etre, le Cube, le Second Etre et le Pentacle dans l’Œuf. C’est l’Anneau appelé « Ne Passe Pas », pour ceux qui descendent et qui montent ; et aussi pour ceux qui, durant le Kalpa, s’avancent vers le grand Jour « Sois Avec Nous »… Ainsi furent formés l’Arûpa et le Rûpa : d’Une Lumière, Sept Lumières ; de chacune des Sept, sept fois Sept Lumières. Les Roues surveillent l’anneau…

 

Stance 6 (sixième jour de la Création) :

1)     Par le pouvoir de la Mère de Merci et de Connaissance, Kwan-Yin – le « Triple » de Kwan-Shaï-Yin, demeurant en Kwan-Yin-Tien – Fohat, le Souffle de leurs Descendants, le Fils des Fils, ayant appelé de l’Abîme inférieur la Forme Illusoire de Sien-Tchan et les Sept Eléments.

2)     L’Etre Rapide et Radieux produit les sept Centres Laya, contre lesquels nul ne prévaudra jusqu’au Grand Jour « Sois Avec Nous » ; et il place l’Univers sur ces Fondations Eternelles, entourant Sien-Tchan des Germes Elémentaires.

3)     Des Sept – d’abord Un est manifesté, Six cachés ; Deux manifestés, Cinq cachés ; Trois manifestés, Quatre cachés ; Quatre produits, Trois cachés ; Quatre et Un Tsan révélés, Deux et demi cachés ; Six devant être manifestés. Un mis de côté. Finalement, Sept Petites Roues tournent, l’une donnant naissance à l’autre.

4)     Il les construit sur le modèle des Roues plus anciennes, les plaçant sur les Centres Impérissables. Comment Fohat les construit-il ? Il rassemble la Poussière de Feu. Il forme les Boules de Feu ; passe à travers, et autour d’elles, leur incluant la vie, et il les met ensuite en mouvement ; les unes dans un sens, les autres dans un autre. Elles sont froides, il les réchauffe. Elles sont sèches, il les humecte. Elles brillent, il les évente et les refroidit. Ainsi agit Fohat, d’un Crépuscule à l’autre, pendant sept Eternités.

5)     A la Quatrième, les Fils reçoivent l’ordre de créer leurs Images : Un Tiers refuse. Deux obéissent. La Malédiction est prononcée. Ils naîtront dans la Quatrième ; ils souffriront et causeront de la souffrance. C’est la Première Guerre.

6)     Les Roues les plus Anciennes tournèrent en bas et en haut… Le Frai de la Mère remplit le tout. Il y eut des combats entre les Créateurs et les Destructeurs, et des Combats pour l’Espace ; la Semence apparaissant et réapparaissant continuellement.

7)     Fais tes calculs, ô Lanou, si tu veux savoir l’âge exact de la Petite roue. Son Quatrième Rayon est notre Mère. Atteins le Quatrième « Fruit » du Quatrième Sentier de Connaissance qui conduit à Nirvâna, et tu comprendras, car tu verras…

 

Stance 7 (septième jour de la Création) :

1)     Vois le commencement de la Vie sensible et sans forme. D’abord, le Divin, le Un issu de l’Esprit-Mère ; puis le Spirituel : les Trois issus de l’Un, les Quatre de l’Un, et les Cinq, d’où les Trois, les Cinq et les Sept. Voilà le Triple et le Quadruple, en descendant ; les Fils, nés du Mental du Premier Seigneur, les Sept Radieux. Ce sont eux qui sont toi, moi, lui, ô Lanou ; eux qui veillent sur toi et sur ta mère, Bhumi.

2)     Le Rayon Unique multiplie les Rayons moindres. La Vie précède la Forme et survit au dernier atome. A travers les Rayons innombrables, le Rayon de la Vie, l’Unique passe comme un Fil à travers bien des Perles.

3)     Lorsque l’Un devient Deux, le Triple apparaît, et les Trois sont Un ; c’est notre Fils, Lanou, le cœur de la Plante-Homme appelée Saptaparna.

4)      C’est la Racine qui ne meurt jamais ; la Flamme à Trois Langues des Quatre Mèches. Les Mèches sont les Etincelles qui émanent de la Flamme aux Trois Langues projetées par les Sept – leur Flamme – les Rayons et les Etincelles d’une Lune unique réfléchie dans les Flots agités de tous les Fleuves de la Terre.

5)     L’Etincelle est suspendue à la Flamme par le fil le plus délié de Fohat. Elle voyage à travers les Sept Mondes de Mâyâ. Elle s’arrête dans le Premier, et y est un Métal et une Pierre ; elle passe dans le Second, et voilà – une Plante ; la Plante tourbillonne à travers sept changements et devient un Animal Sacré. Des attributs combinés de ce qui précède, Manu, le Penseur, est formé. Qui le forme ? – Les Sept Vies et la Vie Une. Qui le complète ? – Le Quintuple Lha. Et qui perfectionne le dernier Corps ? – Le Poisson, Sin et Soma…

6)     Depuis le Premier-né, le fils qui unit le Veilleur Silencieux à son Ombre, devient plus fort et plus radieux à chaque Changement. La lumière Solaire du matin s’est changée en l’éclat glorieux de midi.

7)     « Voilà ta Roue actuelle, dit la Flamme à l’Etincelle. Tu es moi-même, mon image et mon ombre. Je me suis vêtue de toi, et tu es mon Vâhan jusqu’au Jour ‘‘Sois Avec Nous’’, où tu deviendras moi-même et d’autres, toi-même et moi ». Alors les Constructeurs, s’étant revêtus de leur première Enveloppe, descendent sur la Terre rayonnante, et règnent sur les Hommes – qui sont eux-mêmes…

 

Fin des Sept Stances.

 

 

Article N° 44 :

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Massalia

Chrysolithe

Myrtilles

Pervenche

Papillon

Dimanche 17 septembre 2006

Visions apocalyptiques sur la Côte d’Azur :

Il y a aujourd’hui 398 ans, en août 1608, sur les côtes françaises et italiennes, des visions apocalyptiques apparurent et furent consignées dans un manuscrit des archives de Nice intitulé « Discours des terribles et épouvantables signes apparus sur la mer de Gennes » :

« Au commencement du mois d’août dernier (1608), avec les prodiges du sang tombé en pluie du ciel du côté de Nice et en plusieurs endroits de la Provence. Nous vîmes l’apparition en l’air de deux hommes qui se sont battus plusieurs fois et ont été observés avec admiration pendant trois jours sur l’île de Martègue qui forme une ville sur la mer à cinq lieues de Marseille. Les prodiges qui nous apparaissent sont sans doute des courriers et postillons célestes qui dénoncent les malheurs qui doivent arriver et il semble qu’ils nous invitent à recourir à la prière et au jeûne pour apaiser la colère du grand Dieu, lequel est journellement offensé.

En effet, lorsque les Romains apercevaient des prodiges, ils faisaient des sacrifices aux « dieux » pour apaiser leur colère, par des victimes offertes aux idoles. Et nous qui sommes chrétiens et de meilleure école, il faut que nous présentions nos cœurs avec sainteté, contrits et repentants, afin de prier humblement le Tout-Puissant de nous pardonner nos fautes et d’apaiser sa juste colère : cela afin que les malheurs qui nous ont été annoncés par ces présages de justice soient détournés et chassés loin de nous par sa sainte miséricorde.

Au commencement du mois d’août 1608 (1° août), sur la mer de Gênes (en Italie), sont apparus les plus horribles signes que de mémoire humaine nous ayons entendu parler ou ait été écrit ! Les uns ressemblaient à des êtres humains avec des bras qui semblaient être recouverts d’écailles et tenaient en chacune de leurs mains deux horribles serpents volants qui enserraient leurs bras et semblaient sortir du nombril ; ils se trouvaient en haut, hors de la mer, et jetaient des cris si horribles qu’il était épouvantable de les entendre. Parfois ils plongeaient dans la mer et ressortaient à un autre endroit placé plus loin. Leurs cris étaient si épouvantables que plusieurs en sont tombés malades de peur. Ils en voyaient qui ressemblaient à des femmes tandis que d’autres avaient des corps semblables à des êtres humains mais recouverts d’écailles tandis que leurs têtes ressemblaient à celles des dragons.

Depuis le premier jour du mois d’août, ils ont été couramment vus au grand étonnement de tous les Génois. Le Seigneur de Gennes fit tirer quelques coups de canon pour essayer de les faire s’éloigner de cet endroit. Les soldats tirèrent jusqu’à huit cents coups de canon, mais en vain car ces créatures ne s’en étonnèrent aucunement. Les Eglises s’assemblèrent et recoururent aux vrais remèdes : elles organisèrent de grandes processions et ordonnèrent le jeûne. Les bons pères Capucins ordonnèrent les « quarante heures » pour tenter d’apaiser la colère de Dieu avec leur « remède salutaire ».

Le 15° jour du mois d’août apparurent sur la mer du port de Gennes trois carrosses traînés chacun par six créatures en feu qui ressemblaient à des dragons. Les carrosses avançaient, traînés par ces créatures qui étaient toujours enserrées de serpents, et elles continuaient à pousser des cris épouvantables en se rapprochant de Gennes. Elles s’approchèrent tellement que le plus grand nombre des observateurs, étonnés, s’enfuirent par crainte des conséquences de l’approche de ces créatures. Mais après avoir fait trois fois le tour du port, en poussant des cris si puissants que les collines environnantes renvoyaient leurs échos, ils plongèrent et se perdirent dans la mer et on n’en eut plus aucune nouvelle.

Cela provoqua un grand dommage aux citoyens de Gennes car plusieurs sont décédés de terreur, comme entre autres le fils de Monsieur GASPARINO DE LORO, et aussi le frère du Seigneur ANTHONIO BAGATELLO ; plusieurs femmes ont également été affligées de terreur au point qu’elles en sont mortes. Depuis on chante le TE DEUM… Depuis le bord de la mer de Nice et tout le long de la Provence, tant du côté de la mer que du rivage, est tombée une pluie de sang naturel qui coulait et tachait de rouge les feuilles et les fruits des arbres. A Toulon, la plupart des maisons du littoral étaient recouvertes de taches de sang, de même que le pavé de l’Eglise paroissiale du lieu où, à la sortie de la Messe du sang pur et naturel dégoulinait du toit.

Le 18° jour du mois d’août, il pleuvait du sang avec une telle abondance qu’il coulait le long des rues comme si l’on avait égorgé une infinité de personnes à Riliane. A Lambex, le 20° jour du mois d’août, en présence de tout le peuple, il y eut une telle pluie de sang que nul ne pouvait sortir à l’extérieur des maisons sans être obligatoirement taché de sang qui dégoulinait des toits ou qui tombait directement du ciel. Bref, le long du rivage, depuis Nice jusqu’à Marseille, il a plu du sang certains jours. Il s’agissait certes de prodiges mais ils annonçaient de funestes présages.

D’autres événements dignes de mémoire se produisirent presque en même temps dans la ville de l’île de Martègue. Le 22° jour du mois d’août apparurent deux hommes dans le ciel, ayant en main chacun armes et boucliers ; ils se battaient au point d’étonner les observateurs. Après s’être longuement battus, ils se reposèrent un certain temps puis recommencèrent le combat pendant deux heures. Le 27° jour du mois d’août, ils combattirent à pied avec une telle violence qu’ils évoquaient des forgerons en train de battre l’enclume. Le lendemain (28° jour), ils se trouvaient à cheval, faisant « voltiger » leurs chevaux comme des guerriers, puis se battirent au point qu’on s’attendait à voir tomber l’un ou l’autre à terre. Le jour suivant (29° jour), chacun d’eux semblait avoir conquis un quartier ou une forteresse ; après avoir eu l’air satisfait l’un en face de l’autre, il y eut comme un bruit de plusieurs tirs de canons. Ce bruit était si effroyable que ceux qui les entendirent crurent que c’était la fin du monde. Après ces jours, une nuée épaisse apparut instantanément dans le ciel, persista pendant sept heures et fut obscure au point que rien ne pouvait être aperçu pendant deux heures. Ce furent des nuées de brouillard noir, très obscures et sentant le salpêtre. Après leur dissipation, l’air fut purifié et il ne resta plus rien de toutes les visions qui s’étaient évanouies…

Ces visions prodigieuses touchèrent l’âme de plusieurs chrétiens, lesquels, ayant considéré les merveilles de ce grand Dieu, sachant qu’il est puissant et sa bonté infinie, qu’il a voulu nous avertir avant de nous envoyer le châtiment qui nous est dû, se sont les uns rendus religieux, les autres ayant choisi de faire pénitence pour apaiser la colère divine. L’Esprit de Dieu leur porte assistance à cause de leur bonne volonté. »

Il ne s’agit pas ici d’apparition d’O.V.N.I. comme certains l’ont cru, mais bien de « Visions Prophétiques », lesquelles furent bien comprises par les nombreux témoins qui les observèrent. Elles font penser aux visions de Daniel comme par exemple la vision du « Bélier et du Bouc » au chapitre huit de son livre. Elles suscitèrent des vocations religieuses et non de la révolte parmi le peuple, qui fut pourtant terrorisé !

Il ne s’agit pas non plus de l’annonce d’un « raz-de-marée » à Nice et sur la Côte d’Azur, mais d’une vision concernant l’accomplissement de l’Apocalypse, c’est-à-dire des événements qui doivent précéder le retour de Jésus.

Les monstres sortis de la mer font penser à la « Bête qui monte de la mer » (Apocalypse 13, 1-2), c’est-à-dire qu'il s'agit des « îles de la mer » vues à partir de l'ancien Orient ou de l’Europe occidentale (Grèce, Italie, France, Espagne, Grande Bretagne, etc.) ; aujourd'hui il s'agit de l'Union Européenne, laquelle succède à l'ancien Empire romain. Ces créatures aux têtes de "dragons" étaient bien des monstres au service du Diable, enveloppés de serpents volants, c’est-à-dire de créatures destinées à l’enfer éternel, dont les cris ne pouvaient tromper personne. Bientôt, ces monstres entraînèrent avec eux trois chars, lesquels évoquaient la "Trinité Satanique" : Satan, l’Antéchrist et le Faux Prophète (Apocalypse chapitres 12 & 13). Lorsque les trois carrosses s'approchèrent du port de Gennes, le peuple pouvait apercevoir les personnages qui se trouvaient à l'intérieur de chacun d'eux : le Diable lui-même dans le premier carrosse, ensuite l'Antéchrist, et enfin le Faux Prophète. En les observant, certains rendirent l'âme de terreur ! Le Diable devait se "complaire" en ces lieux car il annonçait les débuts du "tourisme" sur la Côte d'Azur, en ce mois d'août, lui le Maître du "Carnaval" de ce monde ! Après cela, les fléaux de l’Apocalypse sévirent : ce sont les jugements des sept trompettes et des sept coupes caractérisés par les pluies abondantes de sang humain. Enfin, il y a la bataille d’Harmaguédon accompagnée d'une épaisse nuée qui recouvre et assombrit tout, laquelle représente la puissance des ténèbres sur la Terre. Il suffit de lire l’Apocalypse de Saint Jean pour comprendre la signification de ces visions apparues sur le littoral de la Côte d’Azur au mois d’août 1608, depuis la ville de Gennes jusqu’à Marseille. C'est ce à quoi ressemble la Côte d'Azur d'un point de vue spirituel ! Mais c'est aussi l'image du Monde !

Pourquoi une telle vision apocalyptique dans le Sud-est de la France, il y a aujourd'hui presque quatre siècles ? C’était pour qu’elle soit consignée par écrit et retrouvée plus tard, pour qu'elle soit enfin comprise et annoncée au monde le moment venu ! Voilà qui est fait à partir de ce jour, le dimanche 17 septembre 2006 ! En ce temps là, il y a quatre siècles, les hommes croyaient encore en Dieu et ils se repentirent ! Mais, de nos jours il n'est pas question de repentance, pas plus que de croire en Dieu ; par conséquent, plus rien ne peut retenir le bras de la justice divine ! Nous savons que personne ne croit plus en ces choses et "tous s'en moquent" éperdument (il n'en ont "rien à faire" !), mais l'Apocalypse est pour bientôt et le monde ne pourra pas échapper au jugement de Dieu !

Patrick DOLCIANI 

 

Article N° 43 :

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17/09/2006

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Massalia

Chrysolithe

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Pervenche

Papillon

Dimanche 17 septembre 2006

Moïse et les anges associés au phénomène O.V.N.I.

Thoutmès III se fit remarquer par ses campagnes militaires, mais c’est aussi à cause de l’une d’elle qu’il fit une observation digne d’intérêt pour notre époque. Nous en trouvons le récit dans un papyrus de ses annales relatée dans le « papyrus Tulli », découvert par Alberto Tulli, ancien directeur de la section d’égyptologie du musée du Vatican à Rome. Il fut traduit par le prince Boris de Racheviltz.

« En l’année 22, au 3° mois de l’hiver, à la septième heure du jour… les scribes de la Maison de la Vie virent que c’était un cercle de feu qui apparaissait dans le ciel… Il n’avait pas de « tête » et son « haleine » avait une odeur fétide. Son corps était long d’une perche et large d’une perche. Il n’avait pas de voix (il était silencieux). Comme il jetait la confusion dans leurs cœurs, ils se prosternèrent à plat ventre… Ils se présentèrent à Pharaon… pour le lui raconter. Sa Majesté ordonna… Ainsi tout est écrit dans les rouleaux de papyrus de la Maison de la Vie. Sa Majesté méditait et songeait à cet événement. Or, au bout de quelques jours, ces choses devinrent encore plus nombreuses dans les cieux. Elles brillaient dans le ciel, plus que le soleil, et s’étendaient aux bornes des quatre soutiens du ciel… Puissante était la position des cercles de feu. L’armée du Pharaon les considérait, Sa Majesté se tenant au milieu. C’était après souper. Alors ces cercles de feu montèrent plus haut dans le ciel, vers le Sud. Des poissons et des volatiles (cailles) tombèrent du ciel. Une merveille jamais observée depuis la fondation de la nation. Et Pharaon fit apporter de l’encens qu’il brûla afin d’attirer la paix sur le foyer… Et ces événements furent inscrits sur l’ordre de Pharaon dans les annales de la Maison de la Vie… afin qu’ils ne soient jamais oubliés. »

 

Epoque historique de l’événement :

1730-1618

XV° et XVI° Dynasties Egyptiennes (HYKSOS)

1705

Mort de Joseph en Egypte après 80 ans de règne

1618-1580

XVII° Dynastie Egyptienne

1617

Naissance de Moïse (1617-1497)

1580-1085

Nouvel-Empire égyptien

1580-1350

XVIII° Dynastie Egyptienne

1580-1557

Amosis Pharaon

1577

Fuite de Moïse

1557-1537

Aménophis I° (Pharaon de l'Exode ?)

1537

Exode sous Moïse

1536-1448

Thoutmosis I°, Thoutmosis II, Hatsschepsout, Thoutmosis III

1497

Mort de Moïse

1497-1492

Conquête de Canaan conduite par Josué

 

Le règne de Thoutmès III dura environ 54 ans ; il commença vers 1501  et s’acheva vers 1447 avant notre ère. L’Exode sous Moïse eut lieu en 1537 avant notre ère et la marche des Israélites dans le désert du Sinaï dura 40 ans jusqu’en 1497  avant notre ère, date de la mort de Moïse. Il y a de 1501, date probable du début du règne de Thoutmès III, à 1497, date de la mort de Moïse, 4 années qui s’étaient écoulées. Dans ces conditions, la date donnée, l’année 22, 3° mois de l’hiver, n’est probablement pas comptée à partir du début de son règne, mais à partir de sa naissance. Cet événement extraordinaire se trouve par conséquent placé entre les années 1501 et 1497 avant notre ère, à l’intérieur d’une « fourchette » de quatre ans, c’est-à-dire vers la fin des quarante ans de la marche des Israélites dans le désert du Sinaï.

Nous savons que les Israélites furent nourris par de la manne « tombée du ciel », et quelquefois par des cailles également « tombées du ciel » (Exode, chapitre 16 et Nombres, chapitre 11, dans lequel Moïse parle aussi de poissons, au verset 22). Il se trouve qu’un tel événement fut observé par l’armée du Pharaon Thoutmès III « vers le Sud » de sa position, alors qu’elle était en campagne militaire et se trouvait certainement dans le Sud de la Palestine. Les cailles et les poissons n’étaient pas destinés à l’armée du Pharaon qui les vit « tomber du ciel », mais aux Israélites dont le camp était placé plus au Sud, dans le désert du Sinaï. Les Egyptiens eurent peur et firent brûler de l’encens. Le Pharaon se souvenait sans doute du départ des Hébreux hors d’Egypte dont il avait entendu parler et des plaies dont son pays fut frappé.

Grâce à ce témoignage, nous savons aujourd’hui comment les Israélites étaient nourris : par des O.V.N.I. qui leur envoyaient la nourriture du ciel : la manne, des cailles et même des poissons. Mais nous savons aussi, d’où l’intérêt du témoignage des Egyptiens, que les O.V.N.I. étaient bien en rapport avec les « anges » qui accompagnaient et suivaient les Israélites dans le désert. C’est bien cela : les anges n’étaient pas des « esprits invisibles » ou des « vapeurs impalpables », mais des entités bien réelles et concrètes, ayant une réalité physique tout comme nous ! A la « résurrection », nous serons par conséquent dotés de corps physiques immortels comme celui des anges, c’est-à-dire comme celui des êtres qui se trouvaient à l’intérieur des O.V.N.I.

Patrick DOLCIANI

 

Article N° 42 :

722975

S

16/09/2006

25

19

Fortuna

Cornaline

Figues

Perce-neige

Perroquet

Samedi 16 septembre 2006

Mythologie égyptienne et Bible :

Il y a un rapport entre l’ancienne mythologie égyptienne et la Bible, car le commencement de l’histoire de l’Egypte se confond avec celui de l’humanité en Adam.

Le dieu suprême de l’Egypte était ATOUN, dieu de la création et du verbe. Il s’identifie avec Rê, le dieu Soleil et il était représenté sous l’apparence d’un homme barbu et âgé. Il apparaît au travers du dieu NOUN, représentant du chaos originel des eaux, lesquelles recouvraient la terre. Le dieu CHOU, représentant l’air ou le vent, lui est alors associé pour expliquer la « séparation des eaux » et l’apparition du ciel au-dessus de la terre. Il s’agit très exactement de la même chose que ce qui est raconté dans le premier chapitre du livre de la Genèse.

Toute la cosmogonie de l’ancienne Egypte s’exprime à partir d’une triade : le dieu Rê (le Soleil qui représente également le Dieu suprême), le dieu GEB (la terre exprimée au travers d’un principe mâle) et la déesse NOUT (le ciel exprimé au travers d’un principe femelle). GEB et NOUT sont les parents d’OSIRIS, d’ISIS (sœur d’Isis), de SETH et de NEPHTHYS (sœur jumelle de Seth). Osiris et Isis sont les parents d’HORUS (représenté avec une tête de faucon).

Ce sont ici les premiers « dieux » de l’Egypte du point de vue cosmogonique. Leur histoire fait apparaître leur identification avec celle de la Bible. Adam, tiré de la terre est le dieu GEB, tandis que son épouse, Eve, tirée et sortie de son corps (côte d’Adam), est la déesse NOUT. Elle est perçue par Adam comme « un don du ciel ». Les enfants de ce couple primordial s’identifient à ceux d’Adam et Eve au point qu’il n’y a plus de place au doute. En effet, ils sont les parents d’OSIRIS (Abel) et de SETH (Caïn). La Bible raconte comment Caïn, jaloux d’Abel, le tua. Il en est de même avec Seth qui tua Osiris.

Osiris avait une épouse, sa sœur ISIS, qui lui donna un fils : HORUS. Lorsqu’Osiris fut tué, il fut embaumé et pleuré par Isis. Ressuscité par les larmes d’Isis, Osiris choisit d’abandonner le séjour terrestre pour rejoindre celui du ciel. Il devient une "préfiguration" du Christ.

Après cela, Seth (Caïn) représentera le dieu des ténèbres et du mal. Toute la mythologie de l’ancienne Egypte se transforme au fil des siècles en « confusion », car elle mélange ses dieux par des identifications les uns par rapport aux autres et les pharaons eux-mêmes s’identifient aussi avec tel ou tel dieu. Si bien que « c’est à ne plus rien y comprendre » ! Mais il reste toujours une « clé », celle des analogies, laquelle permettra de s’y retrouver malgré toute cette confusion.

Ce que nous devons retenir, c’est que le commencement de l’histoire de l’Egypte se confond avec celle de la Bible. Dans ces conditions, nous comprenons que les Grandes Pyramides ont servi de tombeaux à Adam, Eve et Abel plutôt qu’à des pharaons. Par ailleurs, Enoch s’identifie avec Thot, le scribe au service des « dieux », c’est-à-dire des anges (Elohim), descendus du ciel et premiers initiateurs des descendants d’Adam et Eve. Le livre d’Enoch, lequel faisait partie de la Bible des premiers chrétiens, raconte leur histoire : en effet, il faisait partie du canon des Saintes Ecritures et était lu par tous les chrétiens du premier siècle ; son manuscrit, que l’on croyait perdu à jamais, fut retrouvé en Ethiopie grâce à la providence divine.

Patrick DOLCIANI

 

Article N° 41 :

722974

V

15/09/2006

24

18

Melpomène

Sardoine

Bananes

Pavot

Aigle

Vendredi 15 septembre 2006

Où sont passés les douze obélisques du plateau de Gizeh ?

Les deux premiers (Karnak en Egypte) :

Les deux premiers obélisques, dits de « la reine Hatshepsout » se trouvent à Karnak ; ils pèsent 323 tonnes et mesurent 29 mètres de haut.

Les troisième et quatrième (Louxor en Egypte et Paris en France) :

Les suivants sont les obélisques de Louxor ; il y a celui de Paris, érigé place de la Concorde, haut de 22,83 mètres et pesant 230 tonnes ; l’autre est resté sur place. Ils marquaient l’entrée du Temple d’Amon à Louxor où « Ramsès II » les érigea.

Le cinquième (Rome en Italie) :

L’obélisque du Champs de Mars, haut de 22 mètres et pesant 214 tonnes, érigé par « Psammétik II », il venait d’Héliopolis. Il fut transporté à Rome par Auguste et orne la Place de Montecitorio depuis 1789. Il fut consacré au soleil à l’occasion de la conquête de l’Egypte.

Le sixième (Rome en Italie) :

L’obélisque de Caracalla, Place Navone à Rome. Couvert d’hiéroglyphes, il mesure 25 mètres de haut.

Le septième (Rome en Italie) :

L’obélisque du Grand Cirque de Rome, dit de « Séthi I° et de Ramsès II » à Héliopolis ; il fut transporté à Rome par Auguste et retrouvé sous les ruines du Grand Cirque, brisé, réduit à une hauteur de 23 mètres et pesant 235 tonnes. Il fut enfin érigé sur la Piazza de Popolo sous le pontificat de Sixe V en 1589.

Le huitième (Rome en Italie) :

Venant de Thèbes, dit de « Thoutmès III et IV », il fut enlevé par ordre de Constantin et destiné à Byzance, mais Constance II le transporta finalement à Rome où il fut érigé sur la spina du Grand Cirque en 357. Retrouvé en 1587, il fut restauré et transporté en 1588 sur la Place Saint-Jean-de-Latran. Haut de plus de 32 mètres, il pèse 460 tonnes.

Le neuvième (Vatican en Italie) :

L’obélisque du Vatican place Saint Pierre fut ramené d’Egypte par ordre de l’empereur Caligula et fut d’abord placé à l’extrémité de la spina du Grand Cirque. Haut de 26 mètres, il pèse 326 tonnes. Il fut érigé finalement Place Saint Pierre par Sixte V en 1586. Aucun hiéroglyphe ne fut gravé sur lui et il porte une dédicace latine à Auguste et à Tibère. Enfin, Sixte V lui ajouta une dédicace chrétienne.

Le dixième (Istanbul en Turquie) :

Il se trouve sur l’At Meydani, devant la mosquée du Sultan Ahmet ; élevé sous « Thoutmès III » à Karnak, il fut transporté à Constantinople en 390 par Théodose et repose sur l’emplacement de l’hippodrome des empereurs byzantins. Il mesure 30 mètres de haut.

Le onzième (Londres au Royaume-Uni) :

L’obélisque de Londres, dit « aiguille de Cléopâtre », fut érigé quai de la Tamise en 1878.

Le douzième (New York aux U.S.A.) :

Celui-ci, l’obélisque de New-York Central Park érigé en 1880, fut le seul qui traversa l’océan Atlantique ; originaire d’Héliopolis sous « Thoutmès III », il fut d’abord transporté par Auguste en 13 avant notre ère et placé devant le Temple des César à Alexandrie.

Nous observons que nous avons retrouvé les douze obélisques, lesquels formaient à l’origine douze degrés du cadran solaire formé par les Grandes Pyramides. Le treizième n’existait probablement pas, parce qu’il était remplacé par l’angle Sud-ouest de la pyramide de Khephren. Il y en avait donc un à l’emplacement du Grand Sphinx, sans doute placé juste à côté de lui. Ils furent probablement renversés à terre par les eaux du Déluge en 2418 avant notre ère, mais non brisés car l’eau amortit leur chute. D’abord retrouvés à terre par les Egyptiens eux-mêmes, ils furent transportés à proximité de leurs temples. Ensuite, ils furent convoités par les Romains qui en déplacèrent plusieurs.

Personne ne pouvait tailler dans le roc sans les briser des obélisques de cette dimension et c’est pourquoi ils furent convoités, saisis et transportés hors de leur lieu d’origine. Tous les autres obélisques qui ont été trouvés sont de taille très inférieure et ne sont pas originaires du plateau de Gizeh.

Patrick DOLCIANI

 

Tableau des Séries Initiales du « Compte Long » :

(Pour faciliter la lecture des tableaux)

Séries Initiales de 73, 23, 13, 9 et 20 jours :

1

Ageratum

1

Cérès

1

Abricots

1

Jaspe

1

Homme

2

Alisier

2

Pallas

2

Cerises

2

Saphir

2

Cheval

3

Amarante

3

Junon

3

Olives

3

Calcédoine

3

Tortue

4

Anémone

4

Vesta

4

Pêches

4

Emeraude

4

Lézard

5

Anis

5

Astrée

5

Raisin

5

Sardoine

5

Serpent

6

Arum

6

Hébé

6

Bananes

6

Cornaline

6

Requin

7

Aster

7

Iris

7

Figues

7

Chrysolithe

7

Cerf

8

Azalée

8

Flora

8

Myrtilles

8

Béryl

8

Lapin

9

Bégonia

9

Métis

9

Pommes

9

Topaze

9

Dauphin

10

Belle de nuit

10

Hygiée

10

Ananas

1

Jaspe

10

Chien

11

Bleuet

11

Parthénope

11

Citrons

2

Saphir

11

Singe

12

Bouton d'or

12

Egérie

12

Oranges

3

Calcédoine

12

Fourmi

13

Bruyère

13

Irène

13

Poires

4

Emeraude

13

Taureau

14

Camélia

14

Eunomia

1

Abricots

5

Sardoine

14

Jaguar

15

Campanule

15

Psyché

2

Cerises

6

Cornaline

15

Aigle

16

Capucine

16

Melpomène

3

Olives

7

Chrysolithe

16

Perroquet

17

Chardon

17

Fortuna

4

Pêches

8

Béryl

17

Papillon

18

Chèvrefeuille

18

Massalia

5

Raisin

9

Topaze

18

Colombe

19

Chrysanthème

19

Euterpe

6

Bananes

1

Jaspe

19

Grenouille

20

Ciguë

20

Amphitrite

7

Figues

2

Saphir

20

Abeille

21

Clématite

21

Laetitia

8

Myrtilles

3

Calcédoine

1

Homme

22

Colchique

22

Harmonie

9

Pommes

4

Emeraude

2

Cheval

23

Coquelicot

23

Nysa

10

Ananas

5

Sardoine

3

Tortue

24

Coucou

1

Cérès

11

Citrons

6

Cornaline

4

Lézard

25

Cyclamen

2

Pallas

12

Oranges

7

Chrysolithe

5

Serpent

26

Dahlia

3

Junon

13

Poires

8

Béryl

6

Requin

27

Fuchsia

4

Vesta

1

Abricots

9

Topaze

7

Cerf

28

Gardénia

5

Astrée

2

Cerises

1

Jaspe

8

Lapin

29

Genêt

6

Hébé

3

Olives

2

Saphir

9

Dauphin

30

Gentiane

7

Iris

4

Pêches

3

Calcédoine

10

Chien

31

Géranium

8

Flora

5

Raisin

4

Emeraude

11

Singe

32

Giroflée

9

Métis

6

Bananes

5

Sardoine

12

Fourmi

33

Glaïeul

10

Hygiée

7

Figues

6

Cornaline

13

Taureau

34

Glycine

11

Parthénope

8

Myrtilles

7

Chrysolithe

14

Jaguar

35

Hortensia

12

Egérie

9

Pommes

8

Béryl

15

Aigle

36

Iris

13

Irène

10

Ananas

9

Topaze

16

Perroquet

37

Jacinthe

14

Eunomia

11

Citrons

1

Jaspe

17

Papillon

38

Jasmin

15

Psyché

12

Oranges

2

Saphir

18

Colombe

39

Jonquille

16

Melpomène

13

Poires

3

Calcédoine

19

Grenouille

40

Lavande

17

Fortuna

1

Abricots

4

Emeraude

20

Abeille

41

Lilas

18

Massalia

2

Cerises

5

Sardoine

1

Homme

42

Liseron

19

Euterpe

3

Olives

6

Cornaline

2

Cheval

43

Lys

20

Amphitrite

4

Pêches

7

Chrysolithe

3

Tortue

44

Marguerite

21

Laetitia

5

Raisin

8

Béryl

4

Lézard

45

Menthe

22

Harmonie

6

Bananes

9

Topaze

5

Serpent

46

Mimosa

23

Nysa

7

Figues

1

Jaspe

6

Requin

47

Muguet

1

Cérès

8

Myrtilles

2

Saphir

7

Cerf

48

Myosotis

2

Pallas

9

Pommes

3

Calcédoine

8

Lapin

49

Narcisse

3

Junon

10

Ananas

4

Emeraude

9

Dauphin

50

Nénuphar

4

Vesta

11

Citrons

5

Sardoine

10

Chien

51

Œillet

5

Astrée

12

Oranges

6

Cornaline

11

Singe

52

Œillet d'Inde

6

Hébé

13

Poires

7

Chrysolithe

12

Fourmi

53

Œillet poète

7

Iris

1

Abricots

8

Béryl

13

Taureau

54

Orchidée

8

Flora

2

Cerises

9

Topaze

14

Jaguar

55

Pâquerette

9

Métis

3

Olives

1

Jaspe

15

Aigle

56

Pavot

10

Hygiée

4

Pêches

2

Saphir

16

Perroquet

57

Perce-neige

11

Parthénope

5

Raisin

3

Calcédoine

17

Papillon

58

Pervenche

12

Egérie

6

Bananes

4

Emeraude

18

Colombe

59

Pétunia

13

Irène

7

Figues

5

Sardoine

19

Grenouille

60

Phlox

14

Eunomia

8

Myrtilles

6

Cornaline

20

Abeille

61

Pivoine

15

Psyché

9

Pommes

7

Chrysolithe

1

Homme

62

Primevère

16

Melpomène

10

Ananas

8

Béryl

2

Cheval

63

Renoncule

17

Fortuna

11

Citrons

9

Topaze

3

Tortue

64

Rhododendron

18

Massalia

12

Oranges

1

Jaspe

4

Lézard

65

Romarin

19

Euterpe

13

Poires

2

Saphir

5

Serpent

66

Rose

20

Amphitrite

1

Abricots

3

Calcédoine

6

Requin

67

Seringa

21

Laetitia

2

Cerises

4

Emeraude

7

Cerf

68

Souci

22

Harmonie

3

Olives

5

Sardoine

8

Lapin

69

Tulipe

23

Nysa

4

Pêches

6

Cornaline

9

Dauphin

70

Véronique

1

Cérès

5

Raisin

7

Chrysolithe

10

Chien

71

Violette

2

Pallas

6

Bananes

8

Béryl

11

Singe

72

Volubilis

3

Junon

7

Figues

9

Topaze

12

Fourmi

73

Zinnia

4

Vesta

8

Myrtilles

1

Jaspe

13

Taureau

 

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